47E FESTIVAL DE DEAUVILLE

[CRITIQUE] The Novice – Toujours plus loin, toujours plus haut, toujours plus fort

[CRITIQUE] Ogre – J’aurais voulu crier au loup

[CRITIQUE] Inexorable – “Quelque chose de fatal doit arriver”

[CRITIQUE] Catch the Fair One – Boxing Taken

[CRITIQUE] Red Rocket – 3 prix pour un “suce-boules”

[CRITIQUE] Val – Portrait incontournablement sincère

[CRITIQUE] Jane par Charlotte – “Bonne fête Maman !”

[CRITIQUE] The Card Counter – Le “All-In” de Schrader

[CRITIQUE] Un Héros – 48 heures en enfer

[CRITIQUE] The Beta Test – Profil irrésistible

[CRITIQUE] Une femme du monde – Le plus vieux métier du monde est le plus compliqué

[CRITIQUE] Compartiment n° 6 – Before Trainrise

[CRITIQUE] La Fracture – Mise à jour système

[CRITIQUE] Pig – La truffe a du flair

[CRITIQUE] Pleasure – Sea, Sex and Shame

[CRITIQUE] Julie (en 12 chapitres) – Une étoile est née

[CRITIQUE] Flag Day – Le jour de la vanité

[CRITIQUE] Potato Dreams of America – Le coming-out d’une patate

[CRITIQUE] Stillwater – L’erreur de sujet, défaillance verbale

[CRITIQUE] L’Etat du Texas contre Melissa – Destin sans émotions

[CRITIQUE] John and the Hole – Un trou de temps

[CRITIQUE] Dune – “Ce n’est que le début”

[CRITIQUE] Kate – “Kawaii” Winstead casse des bouches

[CRITIQUE] La Proie d’une ombre – Émotions et frissons dans une enquête à rebonds

[CRITIQUE] Oslo – Ne cherchez pas la leçon, attendez l’histoire
