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48E FESTIVAL DE DEAUVILLE
[CRITIQUE] 1-800-Hot-Nite – Pas niquer au bout du fil
[CRITIQUE] Aftersun – Un passé trouble sur grand écran
[CRITIQUE] Emily the Criminal – Thriller à crédit
[CRITIQUE] Blonde – Désaxée
[CRITIQUE] X – Massacre à la vibromasseuse
[CRITIQUE] Moonage Daydream – C’est très beau, oui
[CRITIQUE] Don’t Worry Darling – Wilde is the disaster artist
[CRITIQUE] The Silent Twins – Nous sommes les sœurs jumelles
[CRITIQUE] Falcon Lake – Désirs fantômes
[CRITIQUE] Palm Trees and Power Lines – Sugar Daddy pas cool
[CRITIQUE] Peace in the Valley – Le deuil n’a pas supermarché
[CRITIQUE] Alice – Aux pays des panthers
[CRITIQUE] Watcher – Arts et fenêtre bien Courbet
[CRITIQUE] Dual – Un double pour ne faire qu’un
[CRITIQUE] Call Jane – Jane, au secours
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