77E FESTIVAL DE CANNES

[CRITIQUE] Angelo dans la forêt mystérieuse – Trans-Animation

[CQL’EN BREF] Anzu, chat-fantôme (Yoko Kuno & Nobuhiro Yamashita)

[CRITIQUE] Les Pistolets en plastique – Perdu comme Xavier

[CRITIQUE] La Plus Précieuse des Marchandises – Conte macabre sur l’horreur humaine

[CRITIQUE] L’Amour Ouf – Avoir du Cœur

[CRITIQUE] Le Roman de Jim – Escalade d’émotions

[CQL’EN BREF] Motel Destino (Karim Aïnouz)

[CQL’EN BREF] Animale (Emma Benestan)

[CRITIQUE] Parthenope – Le retour du Voyage

[CRITIQUE] Marcello Mio – Jouer pour jouer

[CRITIQUE] Les Linceuls – Parler pour ne plus savoir quoi dire

[CRITIQUE] Baby – Do i taste like candy ?

[CQL’EN BREF] The Apprentice (Ali Abbasi)

[CRITIQUE] L’Histoire de Souleymane – Dardenne en mieux

[CRITIQUE] The Substance – Méduse de notre perversité

[CQL’EN BREF] Rumours (Guy Maddin, Evan Johnson & Galen Johnson)

[CRITIQUE] le Procès du Chien – De la Balle !

[CRITIQUE] Emilia Perez – Naissance d’une Figure

[CRITIQUE] Oh, Canada ! – Rédemption, ou pas

[CQL’EN BREF] The Surfer (Lorcan Finnegan)

[CRITIQUE] La Belle de Gaza – Regard magique

[CRITIQUE] City of Darkness – Choc mandale

[CQLC’EN BREF] Ce n’est qu’un au revoir (Guillaume Brac)

[CRITIQUE] Megalopolis – Apocataclysme Now

[CRITIQUE] When the Light Breaks – L’autoroute perdue

[CRITIQUE] The Hyperboreans – Chili con Nazis

[CRITIQUE] Les Fantômes – En moins, Ces faits

[CRITIQUE] Le Deuxième Acte – Railler le cinéma