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Étiquette : 28e Festival international du film fantastique de Gérardmer

28ᵉ FESTIVAL DE GERARDMER (2021)

[REVIOWZ] Possessor – Un Brandon possédé par l’envie de bien faire

Possessor, réalisé par Brandon Cronenberg, fils du célèbre cinéaste David Cronenberg, témoigne de l’héritage cinématographique tout en affirmant une identité propre. Malgré des attentes élevées et une longue attente, Possessor est parvenu à se démarquer grâce à son écriture profondément juste et à une esthétique moderne et captivante. Cette dissertation vise à analyser le film de manière nuancée, en reconnaissant ses qualités tout en abordant les défis rencontrés par le réalisateur. C’est le concept L’un des points forts de Possessor

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28ᵉ FESTIVAL DE GERARDMER (2021)

[CRITIQUE] Beauty Water – La beauté ne fait pas tout

Avec l’avènement des technologies de l’information, notre ère a également été marquée par l’avènement des réseaux sociaux, ouvrant ainsi les portes à une nouvelle ère de l’individu, non plus évalué de manière modeste par lui-même, mais soumis au jugement d’un public plus vaste. Les blogs dédiés à la beauté ainsi que la montée en flèche de la demande, légitimée économiquement, de perfectionnement de soi ont fourni aux sociétés enclines à évaluer les individus sur leur apparence une plate-forme idéale pour

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28ᵉ FESTIVAL DE GERARDMER (2021)

[CRITIQUE] Cyst – Saloperie qui s’éclate

Le Dr. Guy ne compte pas se laisser démonter, pas cette fois-ci. Malgré les déboires rencontrés lors de sa tentative précédente d’obtenir un brevet pour sa machine “Get Gone”, conçue pour éliminer les kystes, il est convaincu de pouvoir prouver son efficacité cette fois-ci. Pourtant, Patricia en a assez de ce médecin excentrique. Portant encore les stigmates de la dernière expérience avec la machine, elle décide de démissionner. Son dernier jour ne se déroule pas sans incident. Alors que les

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[CRITIQUE] The Mortuary – Découvrez les morts

Malgré leur réputation entachée par quelques exceptions notables, les films d’horreur d’anthologie suscitent toujours une certaine appréhension. Souvent forgés par une pluralité de réalisateurs, œuvrant autour d’un thème commun, ils risquent parfois de manquer d’homogénéité, laissant chaque récit voguer sur des flots distincts. Cependant, dans cet océan narratif tumultueux, le scénariste et réalisateur Ryan Spindell émerge en maître d’orchestre, maniant avec brio une astuce singulière pour conjurer ces écarts : un savant méta-commentaire ponctuant chaque récit. The Mortuary s’érige en

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[CRITIQUE] Teddy – Teen Wolf en campagne

Dans l’incessante valse de la vie, le changement demeure l’unique constante. Cette assertion, bien que simple en apparence, dévoile une complexité abyssale quant aux affres du temps sur nos émotions, notre enveloppe charnelle et notre évolution intérieure. Les récits de lycanthropie, en exploitant la métamorphose physique à dessein thématique, évoquent diverses nuances, mais gravitent tous autour de la perte irrépressible de soi-même, engendrée par les altérations corporelles. Ce sous-genre horrifique, en révélant notre résistance au changement, résonne profondément auprès du

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[CRITIQUE] La Nuée – Un drame social plus qu’autre chose

La Nuée de Just Philippot s’apparente à une fresque sociale, déployant ses ailes telle la toile accueillant les sauterelles, pour envelopper subtilement l’intrigue entomologique. Loin des promesses d’un thriller haletant esquissées par la bande-annonce, ce film se révèle être un manifeste politique et écologique, peignant avec acuité le quotidien des agriculteurs et éleveurs français. Le récit s’ancre dans un réalisme poignant, délaissant les scénarios abracadabrants de films de série B pour une approche plus terre-à-terre. Suliane Brahaim incarne avec brio

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[CRITIQUE] Come True – Cauchemar Retrowave

Les tourments de Sarah, lycéenne en proie à des démons intérieurs, dessinent une toile d’existence marquée par l’évitement de sa mère pour des raisons énigmatiques, la conduisant à osciller entre le refuge de son amie Zoe et les bancs publics des parcs pour y trouver un sommeil sans repos. Son errance se mêle à des épisodes de somnolence en classe, assortis de moqueries de ses pairs, laissant présager un avenir sombre. Cependant, son plus grand fardeau réside dans des cauchemars

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[CRITIQUE] the Stylist – Trop dégradé, un peu manic

Au cours des cinq dernières années, la réalisatrice et productrice Jill Gevargizian s’est consacrée corps et âme à la réalisation d’un nombre impressionnant de courts métrages. Parmi eux, The Stylist, sorti en 2016, a remporté un succès retentissant et a captivé l’attention des amateurs d’horreur sur le circuit des festivals. En seulement quinze minutes, ce court métrage dépeint l’histoire fascinante d’une coiffeuse solitaire aux penchants morbides pour la collection de cheveux. Ce type précis de pathos meurtrier appelait une expansion.

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[CRITIQUE] Mosquito State – raid Dingue

Dans l’univers des festivals de cinéma, Filip Jan Rymsza, cinéaste d’origine américano-polonaise, s’est distingué en menant à bien l’achèvement en 2018 du film inachevé d’Orson Welles, De l’autre côté du vent. Ce long-métrage, une exclusivité Netflix, a brillé lors de sa première cette année-là, accompagné d’un autre projet de Welles produit par Rymsza, le documentaire HOPPER / WELLES. Le film, à la fois effrayant et intellectuellement stimulant, tranche radicalement avec l’œuvre habituelle de Welles, tout en pouvant être qualifié de

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[CRITIQUE] Sleep – cauchemar allemand

Les songes ont toujours été le terreau fertile des récits perturbants, les arcanes où chasser les secrets précieux, tel un navigateur explorant les antiques vérités, et parfois le seul refuge où l’horreur peut faucher une existence. Sleep conjugue ces éléments pour tisser un récit poignant sur le monde qui prend vie lorsque nos paupières se ferment. Après que sa mère, Marlene (Sandra Hüller), sombre dans un état catatonique à la suite de cauchemars obsédants, Mona (Gro Swantje Kohlhof) s’installe dans

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C'est fini, snif