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Étiquette : Thriller

LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Night Teeth – Les Dents de la Nuit

Nouvellement ajouté au catalogue Netflix, Night Teeth narre l’histoire d’un chauffeur se retrouvant malgré lui à transporter deux passagères aux dents acérées. Ce périple sanglant lui ouvrira les portes d’un monde nocturne, entre vampires et conflits millénaires. Réalisé par Adam Randall et mettant en vedette Debby Ryan, Lucy Fry et Jorge Lendeborg Jr, cette dernière production Netflix vise à enrichir l’offre de films d’horreur à l’approche d’Halloween. Vendu comme une fusion entre Collatéral et Dracula, parvient-il à relever ce défi

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Mourir peut attendre – C’est l’histoire de Bond, James Bond

Le dernier opus de la franchise emblématique de 007, Mourir peut attendre, se situe à l’intersection des émotions humaines et des complots méchants pour la domination du monde. Prenant le relais de Sam Mendes (qui avait déjà réalisé l’un des meilleurs films de l’histoire du personnage, Skyfall, et Spectre, un film qu’il vaudrait mieux oublier si les deux histoires n’étaient pas aussi liées), le réalisateur Cary Joji Fukunaga a conçu un chant du cygne grandiose (et pas seulement en raison

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[CRITIQUE] Infinite – Tu Fuqua Antoine ?

Par excès de prudence et de bon sens, la pandémie mondiale a contraint les studios de cinéma à retarder des dizaines, voire des centaines de films qui devaient sortir l’an dernier, notamment ceux d’Antoine Fuqua (Les Sept mercenaires, Equalizer, Training Day) et Infinite, la tentative avortée de Mark Wahlberg de lancer une franchise, un film d’action de science-fiction et de fantaisie profondément dérivé et sans inspiration qui aurait probablement dû rester dans les coffres de Paramount pour un avenir prévisible,

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TOPS

[TOP] Le James Bond de Daniel Craig, la fin peut attendre

Créé par l’éminent auteur Ian Fleming dans les années 50, James Bond est une figure ancrée dans notre culture depuis plus d’un demi-siècle. L’apparition de Dr. No, porté à l’écran avec panache par Sean Connery (qui s’est également distingué dans le film À la poursuite d’Octobre rouge), marque l’avènement sur le grand écran de cet agent des services secrets britanniques en 1962. Depuis lors, plusieurs acteurs se sont succédé dans ce rôle emblématique, certains y apportant une gravité excessive, d’autres

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[CRITIQUE] The Guilty (2021) – Gyllenhaal sauveur d’un kidnapping

Les remakes, spécialement ceux des films étrangers récemment acclamés, constituent toujours un défi délicat. Comment transcender l’original, s’il en existe un, et apporter quelque chose qui échappe à la simple répétition pour offrir plutôt une réinterprétation de l’histoire avec un regard neuf, rendant ainsi le remake digne d’intérêt ? The Guilty d’Antoine Fuqua, survenant trois ans seulement après que Gustav Möller ait captivé le public et la critique avec son œuvre initiale, sélectionnée par la suite pour l’Oscar du meilleur

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47ᵉ FESTIVAL DE DEAUVILLE (2021)

[CRITIQUE] Flag Day – Le jour de la vanité

Flag Day, œuvre cinématographique de Sean Penn, se présente comme un kaléidoscope d’expressions tourmentées s’entremêlant dans une ambiance mélodramatique, s’éloignant ainsi du piège de la caricature grâce à une assurance affirmée quant à sa propre signification. Le film s’érige en une parabole américaine, capturant toute la symbolique liée au jour du drapeau. De la symphonie d’Eddie Vedder à la voix envoûtante des Badlands, jusqu’aux images granuleuses, évoquant un passé révolu, chaque élément contribue à une surévaluation ostensible. Au cœur de

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] No Sudden Move – Soderberghaissance et Ocean’s 14

Dès que le logo Warner Bros des années 1950 est apparu à l’écran, j’ai su, à cet instant précis, que No Sudden Move allait être une énième bombe de Steven Soderbergh. Le réalisateur a connu une certaine résurgence après être sorti de sa retraite en 2017 pour réaliser Logan Lucky, en allant à l’encontre du système des studios et des méthodes traditionnelles de réalisation, en tournant deux films sur des iPhones et en réalisant des films exclusivement pour des services

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47ᵉ FESTIVAL DE DEAUVILLE (2021)

[CRITIQUE] Stillwater – L’erreur de sujet

L’affaire Amanda Knox, un drame dans lequel une jeune Américaine est faussement accusée du meurtre de sa colocataire, et la manipulation de ses aveux par la police italienne pour les utiliser contre elle au tribunal, a été un événement dévastateur, parsemé de rebondissements, suffisamment dramatique pour remplir une mini-série télévisée, voire un long métrage. Bien que le nouveau film de Tom McCarthy, Stillwater, ne soit pas une reconstitution historique de l’affaire Knox, il s’inspire de ses éléments pour construire une

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47ᵉ FESTIVAL DE DEAUVILLE (2021)

[CRITIQUE] Le monde de John – Un trou de temps

Le monde de John, le premier film de Pascual Sisto, s’inscrit parfaitement dans l’attente évoquée par son titre évocateur. Sous la plume de Nicolas Giácobone, co-scénariste de Birdman, le récit narre les péripéties d’un jeune garçon de douze ans, John (interprété par Charlie Shotwell), qui découvre un étrange trou dans le sol et y confine ses parents ainsi que sa sœur aînée pour une durée indéterminée. Dès le début, ses parents tentent de minimiser la situation en présentant ce trou

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C'est fini, snif