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Étiquette : Horreur

LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Fear Street – Partie 2 : 1978 – Back to 13th Friday 1970

La deuxième partie de l’ambitieuse trilogie d’horreur « Fear Street » de Netflix est présentée une petite semaine après la sortie du premier film. Celui-ci, raisonnablement intitulé Fear Street – Partie 2 : 1978, comble une grande partie des lacunes du premier film et réussit mieux à mêler nostalgie et narration. Dans le même temps, il se heurte toujours à certains des problèmes qui ont fait que le premier volet ressemblait plus à une imitation de film d’horreur qu’à quelque chose ayant

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LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Fear Street – Partie 1 : 1994 – Premier volet, première ouverture sur un univers richement vide et intriguant

Lorsque je me suis assis pour regarder Fear Street – Partie 1 : 1994, je ne savais pas à quoi m’attendre. J’ai récemment commencé à essayer d’aborder les nouveaux films aussi aveuglément que possible, et j’ai donc délibérément évité une grande partie du marketing de ce film. Je savais qu’il s’agissait d’un film d’horreur surnaturel classé R, basé sur les livres Fear Street de R. L. Stine, et je savais qu’il s’agirait du premier volet d’une trilogie de films Netflix,

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] The Djinn – Conte de fées macabre au pays des cauchemars

L’adage «faites attention à ce que vous souhaitez» prend une menace sinistre dans le domaine de l’horreur. Les souhaits exaucés n’apportent jamais de bonheur et ils ont un prix élevé. Le souhait exaucé se présente souvent sous la forme d’une entité surnaturelle, un génie maléfique ou djinn. Avec The Djinn, l’accomplissement des vœux maudits arrive à un jeune enfant et met en suspens le potentiel d’une autre entrée périmée dans le scénario familier de La Patte de singe (nouvelle de

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28ᵉ FESTIVAL DE GERARDMER (2021)

[CRITIQUE] Teddy – Teen Wolf en campagne

Dans l’incessante valse de la vie, le changement demeure l’unique constante. Cette assertion, bien que simple en apparence, dévoile une complexité abyssale quant aux affres du temps sur nos émotions, notre enveloppe charnelle et notre évolution intérieure. Les récits de lycanthropie, en exploitant la métamorphose physique à dessein thématique, évoquent diverses nuances, mais gravitent tous autour de la perte irrépressible de soi-même, engendrée par les altérations corporelles. Ce sous-genre horrifique, en révélant notre résistance au changement, résonne profondément auprès du

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Freaky – Qui veut être dans le corps de Vince Vaughn ?

Le scénariste-réalisateur Christopher Landon a beaucoup retenu l’attention avec sa comédie d’horreur étonnamment amusante Happy Birthdead et sa suite pas aussi bonne mais toujours divertissante. Bien sûr, ce ne sont pas les premières incursions de Landon dans le genre. Il a écrit le thriller astucieux de 2007 Paranoïak et plusieurs suites de la franchise Paranormal Activity. Mais Happy Birthdead a montré son talent pour mélanger l’horreur et l’humour avec une portion de nostalgie. Le dernier film de Landon, Freaky, tente de

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[CRITIQUE] Sans Un Bruit 2 – La Guerre des Silences

Sans un bruit a démontré que même les concepts les plus familiers peuvent être métamorphosés en un film d’horreur efficace. Le scénariste, réalisateur et acteur John Krasinski a dépouillé le film de créatures jusqu’à sa quintessence, évoquant l’esprit de Steven Spielberg en se focalisant sur la détresse intime d’une famille tentant de survivre à une invasion apocalyptique, chargée d’une intense émotion, bien que parfois atténuée par une musique envahissante aux moments inopportuns. Krasinski a déployé des techniques de frayeur raffinées et une utilisation inventive du son pour créer un film d’horreur tendu, captivant le public. Le film, bien conçu, offrait une histoire tendue et autonome, suffisante pour se suffire à elle-même. Pourtant, Krasinski démontre à nouveau son talent pour raconter des histoires dynamiques, et Sans un bruit 2 s’appuie sur le premier film de manière surprenante, intime et sophistiquée.

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28ᵉ FESTIVAL DE GERARDMER (2021)

[CRITIQUE] La Nuée – Un drame social plus qu’autre chose

La Nuée de Just Philippot s’apparente à une fresque sociale, déployant ses ailes telle la toile accueillant les sauterelles, pour envelopper subtilement l’intrigue entomologique. Loin des promesses d’un thriller haletant esquissées par la bande-annonce, ce film se révèle être un manifeste politique et écologique, peignant avec acuité le quotidien des agriculteurs et éleveurs français. Le récit s’ancre dans un réalisme poignant, délaissant les scénarios abracadabrants de films de série B pour une approche plus terre-à-terre. Suliane Brahaim incarne avec brio

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[CRITIQUE] Conjuring : Sous l’emprise du diable – N’est pas James Wan qui veut..

L’affaire « Devil Made Me Do It« , qui donne son nom au troisième volet de la franchise The Conjuring, représente un moment marquant de l’histoire judiciaire américaine. Le 16 février 1981, à Brookfield, dans le Connecticut, Arne Cheyenne Johnson (prétendument sous l’emprise d’un démon qu’il avait invité dans son corps pour libérer David Glatzel, 11 ans, et sa famille) a tragiquement assassiné le propriétaire de son logement, Alan Bono, dans une attaque frénétique au couteau. Retrouvé à trois kilomètres de la

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[CRITIQUE] The Amusement Park – Cette vieille pellicule cachait un terrible secret

Une journée en apparence banale au sein d’un parc d’attractions se métamorphose en un cauchemar insidieux pour un homme d’âge avancé. Même après sa disparition, George A. Romero parvient toujours à délivrer davantage de messages en un seul film que la plupart de ses pairs au cours de leur carrière entière. De La Nuit des morts-vivants à Incidents de parcours, le réalisateur a toujours aspiré à susciter la réflexion chez ses spectateurs tout en les divertissant. Son ultime création, The

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C'est fini, snif