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Auteur : Louan Nivesse

AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] La Famille Addams 2 : Une virée d’enfer – Fétide corvée

Basée sur l’une des familles les plus populaire de la pop culture, La Famille Addams 2 : Une virée d’enfer fait suite au film d’animation de 2019 La Famille Addams, qui racontait une histoire sur l’acceptation des autres quelles que soient leurs différences. Pour la suite, La Famille Addams 2 : Une virée d’enfer tourne son attention vers l’intérieur de l’unité familiale, tentant de raconter une histoire tout aussi sincère sur la découverte de soi et la recherche d’une place

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47ᵉ FESTIVAL DE DEAUVILLE (2021)

[CRITIQUE] Julie (en 12 chapitres) – Une étoile est née

Julie (en 12 chapitres) de Joachim Trier, un film qui évoque avec éloquence le pouvoir séducteur du cinéma, s’impose comme un triomphe. Alors que le réalisateur norvégien avait déjà démontré son potentiel prometteur par le passé, notamment avec son premier long métrage, Reprise, en 2006, une œuvre brillante sur l’apprentissage punk, son dernier opus se révèle être d’une tout autre nature. Il s’agit d’une comédie romantique teintée de drame, d’une intelligence émotionnelle remarquable, dont les moments forts résonneront longtemps dans

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[CRITIQUE] Muppets Haunted Mansion – Avec de bons amis, on ne peut pas perdre

En tant que tout premier film spécial Halloween des Muppets, il est facile de se demander pourquoi il n’a jamais été fait auparavant. Parce que c’est parfait. Que vous veniez en tant que fan des Muppets, du manoir hanté ou d’Halloween en tant que tel, il y a vraiment quelque chose pour tout le monde. Dès les premiers instants, nous avons droit à des lieux effrayants, des accessoires et des costumes sur le thème d’Halloween, ainsi qu’à une abondance d’effets

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[CRITIQUE] The Manor – Maison de la démence

The Manor est la nouvelle exclusivité Blumhouse d’Amazon Prime Vidéo avec Madres et deux autres films à venir. Celui-ci raconte l’histoire d’une grand-mère de 70 ans, Judith Albright (Barbara Hershey), qui déménage dans une maison de retraite après avoir subi une légère attaque cérébrale et apprend qu’une force malveillante tue les résidents. Écrit et réalisé par Axelle Carolyn, le film rappelle Insidious mais n’en a pas l’effroi. Le mystère et la discussion autour du traitement des personnes âgées par la

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[CRITIQUE] Madres – Gaspillage plus que désordonné

Madres, la dernière exclusivité Blumhouse d’Amazon Prime Vidéo, est un film d’horreur qui a manifestement quelque chose à dire, mais qui ne sait pas comment le dire correctement. Le film introduit un grand nombre de fils conducteurs, mais aucun ne bénéficie d’une attention suffisante ou d’une profondeur adéquate. Les personnages et l’histoire sont, au mieux, fragiles, au pire, gadgets. Sous cette horreur de mauvais goût et peu effrayante se cache une histoire intéressante, aux multiples facettes et terrifiante car elle

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Mourir peut attendre – C’est l’histoire de Bond, James Bond

Le dernier opus de la franchise emblématique de 007, Mourir peut attendre, se situe à l’intersection des émotions humaines et des complots méchants pour la domination du monde. Prenant le relais de Sam Mendes (qui avait déjà réalisé l’un des meilleurs films de l’histoire du personnage, Skyfall, et Spectre, un film qu’il vaudrait mieux oublier si les deux histoires n’étaient pas aussi liées), le réalisateur Cary Joji Fukunaga a conçu un chant du cygne grandiose (et pas seulement en raison

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C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] La trilogie des Trois Couleurs – Final sublime

À l’apogée de sa carrière, Krzysztof Kieślowski se tenait à la croisée des chemins, sur le seuil d’une métamorphose existentielle, tandis qu’il façonnait l’illustre trilogie des Trois Couleurs. Décidant que ces œuvres seraient ses ultimes, il proclama cette résolution au monde en 1994, alors que la renommée couronnait son génie cinématographique. Délaissant les feux de la scène, il s’enferma dans son antre, préférant s’enivrer de fumée plutôt que de lumière projectée sur écran. Tristement, deux années plus tard, Kieślowski s’éteignit

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28ᵉ FESTIVAL DE GERARDMER (2021)

[CRITIQUE] Cyst – Saloperie qui s’éclate

Le Dr. Guy ne compte pas se laisser démonter, pas cette fois-ci. Malgré les déboires rencontrés lors de sa tentative précédente d’obtenir un brevet pour sa machine “Get Gone”, conçue pour éliminer les kystes, il est convaincu de pouvoir prouver son efficacité cette fois-ci. Pourtant, Patricia en a assez de ce médecin excentrique. Portant encore les stigmates de la dernière expérience avec la machine, elle décide de démissionner. Son dernier jour ne se déroule pas sans incident. Alors que les

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28ᵉ FESTIVAL DE GERARDMER (2021)

[CRITIQUE] The Mortuary – Découvrez les morts

Malgré leur réputation entachée par quelques exceptions notables, les films d’horreur d’anthologie suscitent toujours une certaine appréhension. Souvent forgés par une pluralité de réalisateurs, œuvrant autour d’un thème commun, ils risquent parfois de manquer d’homogénéité, laissant chaque récit voguer sur des flots distincts. Cependant, dans cet océan narratif tumultueux, le scénariste et réalisateur Ryan Spindell émerge en maître d’orchestre, maniant avec brio une astuce singulière pour conjurer ces écarts : un savant méta-commentaire ponctuant chaque récit. The Mortuary s’érige en

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Les Intranquilles – Le stéréo type

Les représentations de la santé mentale sur grand écran perdent souvent toute nuance au profit de stéréotypes exagérés, représentant de manière inexacte de nombreuses expériences de vie avec des conditions spécifiques. C’est certainement le cas pour le trouble bipolaire, car les cinéastes montrent généralement les personnes touchées dans un état de troubles persistants plutôt que dans des instants occasionnels. À ses débuts, Les Intranquilles de Joachim Lafosse, semble offrir un correctif rafraîchissant à certains des récits cinématographiques les plus néfastes

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C'est fini, snif