Rechercher

Étiquette : science-fiction

28ᵉ FESTIVAL DE GERARDMER (2021)

[REVIOWZ] Possessor – Un Brandon possédé par l’envie de bien faire

Possessor, réalisé par Brandon Cronenberg, fils du célèbre cinéaste David Cronenberg, témoigne de l’héritage cinématographique tout en affirmant une identité propre. Malgré des attentes élevées et une longue attente, Possessor est parvenu à se démarquer grâce à son écriture profondément juste et à une esthétique moderne et captivante. Cette dissertation vise à analyser le film de manière nuancée, en reconnaissant ses qualités tout en abordant les défis rencontrés par le réalisateur. C’est le concept L’un des points forts de Possessor

LIRE LA SUITE »
AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Les Gardiens de la Galaxie Vol. 3 – Dernier tour émouvant dans l’espace Marvel

Il s’en est passé des choses depuis que James Gunn s’est amusé à fouiller ses vieux cartons de comics pour Marvel. Viré par le studio après deux films et cinq ans de bons et loyaux services, réembauché quelques mois plus tard malgré un passage chez la concurrence (pour le déjanté The Suicide Squad), le réalisateur rempile pour le troisième épisode (ou « volume » selon le titre) des Gardiens de la Galaxie. Le dernier sous sa direction, car le bonhomme est entre-temps

LIRE LA SUITE »
AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Le Visiteur du futur – Nouvel Espoir

Les artistes ayant débuté sur internet commencent à s’installer durablement dans le paysage culturel français. Peu importe la qualité des films de cette génération de jeunes vidéastes, il est indéniable qu’ils proposent des choses nouvelles au cinéma Français. Et voila qu’aujourd’hui, après avoir créé et développé un concept, on confie à François Descraques l’opportunité d’adapter son univers du Visiteur du futur sur grand écran. Un pari osé, car il faudra réussir à réunir les générations qui ont grandi avec le

LIRE LA SUITE »
AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Avatar : La voie de l’eau – L’œil d’un conteur

Malgré tout le spectacle technologique qu’il crée grâce à ses compétences inégalées et à son orgueil démesuré – notamment lors de son retour triomphal avec Avatar : La voie de l’eau, James Cameron, trois fois oscarisé, n’est pas assez respecté en tant que l’un des meilleurs conteurs cinématographiques d’action et d’émotion que le cinéma ait jamais connu. Avec l’œil d’un réalisateur qui sait prendre des mesures précises, Cameron a créé certaines des séquences d’action les plus élaborées, les plus éblouissantes

LIRE LA SUITE »
AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Nope – Une énigme dans le sillon du blockbuster américain

Le cinéma de Jordan Peele s’intéresse toujours à remanier les codes du cinéma fantastique, au biais d’un twist. Il n’est ainsi pas surprenant de mettre en parallèle le sien à celui de M. Night Shyamalan, tant les deux cinéastes construisent leurs récits comme attraction dont le sens complet est révélé en fin de film. Nope est une énigme dans le sillon du blockbuster américain, parce qu’il renvoie à notre propre consumérisme de l’image en dynamitant la peur par l’hors-champ et

LIRE LA SUITE »
AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Buzz l’Eclair – Un au-delà

Le dernier né des Studios Pixar a déçu une grande partie de la critique française. La raison étant évidente : l’histoire est trop simple. A regarder dans l’histoire du studio d’animation américain, les films ne divisent jamais autant que lorsque le scénario est une réitération déjà aperçue sur une autre œuvre. Pourtant, cela serait dommage de résumer Lightyear à un produit estampillé Disney, se servant d’un héritage acquis à la cause pour capitaliser davantage sur le succès de la franchise Toy

LIRE LA SUITE »
ANALYSE

[ANALYSE] Ad Astra – Au Cœur de James Gray

« Le futur proche. Une période d’espoirs et de conflits. L’humanité se tourne vers les étoiles pour chercher une forme de vie intelligente et la promesse du progrès. » C’est par ces mots que James Gray ouvre Ad Astra, son septième film, en 2019. Roy McBride, un explorateur de l’espace incarné par Brad Pitt, a pour mission de retrouver son père impliqué dans un projet qui pourrait détruire tout le système solaire. De la Terre à Mars, en passant par la Lune

LIRE LA SUITE »
ANALYSE

[ANALYSE] Lucy – Rebranchez votre cerveau

Lucy est l’un des blockbusters les plus intrigants et psychédéliques du 21e siècle. S’inscrivant dans la lignée de Limitless, le film de Bradley Cooper sur un homme qui découvre par hasard une pilule lui permettant d’utiliser 100 % de ses capacités cérébrales, Lucy explore le fantasme hypothétique d’un individu doté de superpouvoirs intellectuels inexploités. Réalisé par Luc Besson, le film mêle les codes du genre gangster/shoot-’em-up à la sémiotique de la science-fiction pour obtenir un effet unique : visualiser le

LIRE LA SUITE »
48ᵉ FESTIVAL DE DEAUVILLE (2022)

[CRITIQUE] Dual – Un double pour ne faire qu’un

Après le triomphe critique indéniable de L’Art de l’autodéfense en 2019, toutes les attentions se sont tournées vers Riley Stearns pour découvrir quel sujet il explorerait ensuite, après avoir si adroitement disséqué la masculinité toxique dans son précédent long-métrage. Ce qui distingue particulièrement un film de Riley Stearns, c’est que même si le canevas narratif semble familier, l’issue demeure insaisissable, car son style satirique unique transforme ses idées de départ en récits singuliers, offrant à chaque fois une expérience cinématographique

LIRE LA SUITE »
AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Everything Everywhere All at Once – Hors de notre univers

Les MULTIVERSES suscitent actuellement un engouement sans précédent. Malgré que l’exploration des réalités infinies ait été abordée dans divers médias par le passé, il est indéniable que ce concept n’a jamais autant séduit le cinéma. En particulier, dans le domaine des super-héros, il représente un outil solide pour ramener à l’écran des acteurs emblématiques de franchises passées. Il est indéniablement gratifiant de retrouver des visages familiers, surtout en cette période de renaissance des récits transdimensionnels. Cependant, Everything Everywhere All at

LIRE LA SUITE »
C'est fini, snif