Rechercher

Étiquette : Horreur

47ᵉ FESTIVAL DE DEAUVILLE (2021)

[CRITIQUE] Inexorable – Quelque chose de fatal doit arriver

Le dernier film du réalisateur belge Fabrice Du Welz, Inexorable, se présente tel un simili-giallo kubrickien, parfois teinté de sang, où la dévotion authentique et inébranlable implique d’aimer le pécheur tout en ignorant le péché. Étant le porte-étendard de l’angoisse adolescente basculant dans des extrémités meurtrières, le film s’avère être une remarquable synthèse de la trilogie thématique ardennaise de Du Welz, incluant son premier opus Calvaire, Alleluia et Adoration. Les adeptes de l’œuvre de Du Welz, notamment Vinyan, un autre

LIRE LA SUITE »
C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Intuitions – Instinct d’esthète

Entre ses deux œuvres les plus connues et célébrées que sont les trilogies Evil Dead et Spider-Man, Sam Raimi s’est également illustré dans différents styles de films (tout autant empreints du talent de leur auteur) avec le western pour Mort ou Vif, ou le thriller dans Un Plan Simple. Son dernier film avant de se lancer dans l’adaptation de l’homme araignée, Intuitions (The Gift), est un autre des opus importants de sa filmographie. À Brixton en Géorgie, on suit Annie

LIRE LA SUITE »
LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Fresh – Lorsque le prédateur vous dévore de l’intérieur

Fresh, le premier long métrage de Mimi Cave, se positionne dans une sorte de niche délicate où une partie de son attrait réside dans la direction inattendue que prend son histoire. Même en mentionnant ce changement, le mal est en partie fait, puisque les spectateurs savent maintenant que le film n’est pas tout à fait ce qu’il prétend être à l’origine. C’est le prix que nous devons tous payer, je suppose, car je pense qu’il serait irresponsable de laisser les

LIRE LA SUITE »
LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Massacre à la tronçonneuse (2022) – L’abrutissement de masse

Avant de s’intéresser au nouveau-né de la saga Leatherface signé Netflix et réalisé par David Blue Garcia, laissez-moi vous guider à travers le Texas où rednecks poisseux et huile de moteur pour tronçonneuse cohabitent pour former une floppée de films tantôt mémorable et culte tantôt oubliable et nué d’intelligence et de subtilité. Mettez votre ceinture, ouvrez la fenêtre et respirez un grand coup pour plonger avec moi dans ce qui est une des sagas les plus cultes du cinéma d’horreur.

LIRE LA SUITE »
LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Censor – Un amusant retour aux video nasties

Avant de vous plonger dans le très amusant nouveau film d’horreur Censor, vous devez savoir ce qu’est un video nasty. Terme familier inventé au Royaume-Uni dans les années 1980, les video nasties étaient les films distribués sur cassettes vidéo qui étaient critiqués pour leur contenu violent par la presse et diverses organisations religieuses. Dans sa première réalisation, Prano Bailey-Bond place ces films graphiques au centre de l’histoire d’une censeuse de cinéma (Niamh Algar) qui, après avoir visionné une vilaine vidéo

LIRE LA SUITE »
LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Paranormal Activity : Next of Kin – Les Amish de mes Amish sont des débiles

Les frayeurs sont rares dans Paranormal Activity : Next of Kin. Septième film de l’une des franchises les plus emblématiques de l’horreur, Next of Kin est un soft reboot qui éloigne la série de Katie Featherston et de son démon “Toby”, changeant à la fois la prémisse de base et l’antagoniste principal. En théorie, il s’agit d’une façon intelligente de revitaliser la saga après la piètre performance de Paranormal Activity 5 : Ghost Dimension, cependant, Next of Kin ne parvient

LIRE LA SUITE »
CQLC 1975

[RETOUR SUR..] The Rocky Horror Pictures Show – La question des Midnight Movies (en 1975)

Chaque année au cinéma, de nombreux films géniaux et fantastiques sortent et surprennent les spectateurs. La rédaction de « C’est quoi le cinéma » décrypte chaque semaine, pour vous, les sorties cinéma et VOD, mais nous avons décidé pour cette série d’articles spéciaux de retourner en 1975 et de vous faire un focus des films sortis cette année-là et qui méritent votre regard. Ces films ont été sélectionnés pour leurs qualités ou leur importance culturelle, au sein de l’année 1975 et même

LIRE LA SUITE »
AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Scream (2022) – Coupez !

Pour Wes Craven. Une des premières phrases de ce nouveau Scream est « C’est encore Wes qui t’appelle ? ». Mais cette fois le jeu a changé, plus de Wes Craven pour diriger ce nouveau volet de la saga horrifique. À la place du maître de l’horreur, on trouve un duo de réalisateurs composé de Tyler Gilett et Matt Betinelli-Olpin. Et avant même la sortie du film, j’avais trouvé cela très rassurant, tant le duo sait parfaitement travailler ensemble sur

LIRE LA SUITE »
LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Prisoners Of The Ghostland – Le prisonnier du script invisible

Le film Prisoners Of The Ghostland avec Nicolas Cage est un film excessif. Réalisé par Sion Sono, un réalisateur japonais primé, connu pour son caractère subversif et idiosyncrasique, le film est une fable représentative hautement stylisée qui mélange allègrement et de façon délirante les genres, les thèmes et les images pour créer une expérience unique (bien que parfois bizarre). L’intrigue est d’une simplicité trompeuse, mais l’histoire est racontée à travers un assortiment si perturbant de visuels et d’événements qu’elle en

LIRE LA SUITE »
AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Le Calendrier – Vive le vent d’hiver

Les calendriers de l’Avent existent depuis longtemps, au moins depuis le milieu du XIXe siècle, lorsque les Allemands marquaient les portes à la craie et allumaient des bougies pour marquer le début de la période de l’Avent de quatre semaines. C’est une tradition, pure et simple. Certains étaient en papier, d’autres étaient des créations élaborées avec des portes contenant des chocolats, des versets bibliques ou d’autres petits cadeaux pour chaque jour du calendrier. Essentiellement, un candidat de choix pour l’horreur.

LIRE LA SUITE »
C'est fini, snif