Catégorie : LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

REVIOWZ IN SHADOWZ

[rEVIOWZ] Mayday, Crocs, Pas Bouger & Holo – Les obsessions de Sébastien Vaniček

Le fascinant Vermines de Sébastien Vaniček a suscité un tel enthousiasme que Shadowz a judicieusement décidé de réintégrer ses travaux précédents sur sa plateforme. En effet, avant les redoutables araignées, l’univers du réalisateur se frayait un chemin vers le grand écran par l’aviation, les chiens, et surtout, la carte Dracaufeu. Cette dernière référence peut sembler humoristique, mais je vous assure que cette blague est l’un des courts-métrages les plus surprenants qu’il nous ait été donné de découvrir. Tout débute en

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LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[cRITIQUE] Saltburn – anthropotomie Des riches

Il est concevable que chacun d’entre nous ait déjà expérimenté cette sensation de solitude accablante durant notre jeunesse, où nous observons nos pairs avec étonnement, nous demandant comment ils peuvent être si populaires et excellents tandis que nous demeurons dans l’ombre. Il s’agit généralement d’un moment crucial de notre enfance ou de notre adolescence, car il forge le caractère et développe la confiance en soi lorsque nous parvenons à surmonter ces moments. Emerald Fennell semble être captivée par ce concept,

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Silent Night – Muet comme une tombe

John Woo est unanimement reconnu comme l’un des plus grands réalisateurs de films d’action des 40 dernières années. Il a révolutionné le genre avec ses œuvres imprégnées de fortes émotions, explorant des thèmes tels que la vengeance, la fraternité, le deuil et la masculinité. Après une période prolifique à Hong Kong, Woo s’est aventuré à Hollywood, laissant une empreinte indélébile sur le cinéma d’action américain, même s’il ne semblait pas être au sommet de sa forme. Son retour avec Silent

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CRITIQUE

[REVIOWZ] Black Christmas – Sang dessus dessous

Les décorations de Noël sont bien visibles sur la maison, le tueur s’approche en point de vue subjectif. Rupture de rythme, nous sommes avec la famille traditionnelle d’une sororité. Qui a laissé la porte ouverte ? Black Christmas s’articule sur la signification des perspectives, laissant les interrogations persistantes sur l’absence des petits amis de cette bande de filles, et des figures protectives du foyer. Pendant cette période de congés scolaires, les filles n’ont plus que cette crainte du retour de l’appel

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[CRITIQUE] Maestro – L’incontournable amour

Dans sa réalisation de Maestro, Bradley Cooper s’est investi dans un défi artistique audacieux : dépeindre avec brio une saga amoureuse tourmentée au cœur de l’existence flamboyante du vénéré Leonard Bernstein. Son dessein ne se limitait point à une simple biographie ; il aspirait à transcender les frontières habituelles pour sonder la trame complexe liant Bernstein à Felicia Montealegre. L’épicentre narratif se concentre sans équivoque sur cette intimité tumultueuse, un choix esthétique défiant les attentes classiques d’un portrait biographique conventionnel.

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[CRITIQUE] Le Monde après nous – Cerf à rien

Le Monde après nous, adaptation par Sam Esmail du roman encensé de Rumaan Alam, s’inscrit dans la lignée des thrillers apocalyptiques, explorant avec une vigueur particulière l’isolement angoissant, tissant des dynamiques humaines au sein d’un cataclysme imminent. Doté d’une distribution éminente, de prouesses visuelles marquantes et d’une mise en scène ambitieuse, ce film nous transporte au cœur d’un groupe en quête de refuge, ignorant que leur monde touche à sa fin. La direction artistique, ingénieuse, exploite astucieusement l’espace confiné de

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[FILMOTHÈQUE] Atlantis – Tarkovski de l’Ukraine

Atlantis, la quatrième œuvre du réalisateur ukrainien Valentyn Vasyanovych, s’inscrit dans la tendance contemporaine qui explore des décors apocalyptiques. L’idée d’une société en déclin et d’un monde en ruine a gagné une place prépondérante dans la fiction ces dernières décennies. Néanmoins, cette réalisation se distingue par son ancrage dans la réalité actuelle, s’inspirant des ravages de la guerre dans la région du Donbass en Ukraine. Le film nous plonge dans un futur proche, en 2025, où les conséquences dévastatrices de

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[CRITIQUE] Mank – rendez-vous manqué

Mank se distingue singulièrement de l’ensemble de l’œuvre du réalisateur David Fincher. Il nous offre un retour, empreint d’une folie divertissante, vers l’âge d’or du cinéma hollywoodien, en pleine ébullition politique, secoué par des loyautés éprouvées et une propagande insidieuse. Il s’agit d’une déclaration d’amour, non seulement envers les visionnaires de l’industrie cinématographique, mais également envers son propre père. Chaque élément du film est soigneusement façonné, créant une œuvre d’une beauté minutieuse. Cependant, il convient de noter que votre appréciation

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[CRITIQUE] Marchands de Douleur & Les Ordres du Mal – Feignantise

Il est regrettable d’observer que les récentes offrandes de Netflix, à savoir Marchands de Douleur et Les Ordres du Mal, se révèlent être encore des échecs cuisants, dépeignant malheureusement des tendances persistantes inhérentes aux productions diffusées sur la plateforme et les plateformes de streaming en général. Pour commencer, en ce qui concerne Marchands de Douleur, il est manifeste que le film pâtit d’une carence flagrante en matière d’originalité et de profondeur. David Yates, renommé pour sa contribution à la saga

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C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Christine – Dans l’Antre de Carpenter

En l’an de grâce 1983, Stephen King avait déjà conquis le statut d’auteur fantastique le plus éminemment vendu sur le sol américain. Les frénésies nées de ses créations avaient profondément enraciné leur emprise dans le paysage cinématographique américain. Les adaptations de son œuvre s’enchaînaient sans relâche, tissant une toile d’influence à travers l’industrie. Il convient de rappeler les métrages tels que Carrie au bal du diable (1976) de Brian de Palma, The Shining (1980), suivi de Creepshow (1982), où les

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C'est fini, snif