Étiquette : Netflix

ACTUALITÉ CINÉMA - EN SALLES, (S)VOD, etc..

[CQL’EN BREF] Rebel Moon : Partie 2 – L’Entailleuse (Zack Snyder)

Plagiat, hommage, contrefaçon, référence… Entre ces mots, un flou qui arrange bien Rebel Moon. À la base, il s’agissait d’adapter Les Sept Samouraïs à la sauce Star Wars. Zack Snyder n’y est parvenu qu’à moitié, puisque sans l’aval de Lucasfilm officiellement. Ce n’est pas faute d’avoir fait du pied à ses dirigeants. Il n’est donc fait nulle mention d’un Empire galactique, de Jedi ou de sabres laser dans cette histoire de paysans rackettés par des vilains de l’espace, mais cette

LIRE LA SUITE »
CQL'EN BREF

[CQL’EN BREF] Le Salaire de la peur (Julien Leclerq)

Le roman de Georges Arnaud, Le Salaire de la peur, a été adapté au cinéma à deux reprises : d’abord par Henri-Georges Clouzot en 1953, puis par William Friedkin avec Sorcerer en 1977. Malgré ces précédents succès, l’espoir d’une réussite pour la dernière tentative de Julien Leclerq s’avérait mince, étant donné la sensation de déjà-vu qui l’entourait. Malheureusement, cette fois-ci, l’expérience s’avère être un naufrage. Leclerq transpose l’action du roman de l’Amérique latine vers un pays du Moyen-Orient en proie

LIRE LA SUITE »
LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] La Demoiselle et le Dragon – Comptes tenus

L’inquiétude grandit parmi les esprits quant à l’irruption de l’intelligence artificielle dans le domaine de la création, reléguant ainsi l’homme à un rôle superflu dans le processus de conception de films, d’œuvres artistiques, de musique, et autres. Pourtant, il est possible que cette transition soit déjà plus avancée que nous ne l’admettons. Considérons la dernière super-production de Netflix, véritable monstre de Frankenstein cinématographique, composé de fragments disparates de la culture pop, traités à travers un pipeline numérique qui uniformise tout

LIRE LA SUITE »
ANALYSE

[ANALYSE] Le Monde après Nous & The Killer – Dosage d’Informations

Le Monde après Nous, la nouvelle production Netflix réalisée par Sam Esmail, narre l’histoire d’une famille qui se retrouve isolée du reste du monde dans un Airbnb. Une nuit, deux individus frappent à leur porte, se présentant comme les propriétaires de la location, et insistent pour y rester, affirmant que la fin du monde est en train de se dérouler. Les vingt-cinq premières minutes du film semblent prometteuses, car elles soulèvent de nombreuses questions. Sont-ils véritablement les propriétaires ? L’apocalypse

LIRE LA SUITE »
AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Rebel Moon – Partie Un : L’Enfant de Feu – Les Septs Samour…Aïe.

Dans un univers parallèle où l’éloquence règne en maître et l’esprit brille dans le firmament du récit, voici la conception cinématographique d’un enfant autrefois rejeté de l’univers Star Wars. Ce rejeton, baptisé Rebel Moon – Partie Un : L’Enfant de Feu de Zack Snyder, se présente non pas simplement comme un fragment d’une odyssée techno-fantastique de six heures envisagée, mais comme un vaste tableau où Snyder, tel un maestro, manie une palette de ressources illimitées, s’inspirant de la grandeur des

LIRE LA SUITE »
LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Maestro – L’incontournable amour

Dans sa réalisation de Maestro, Bradley Cooper s’est investi dans un défi artistique audacieux : dépeindre avec brio une saga amoureuse tourmentée au cœur de l’existence flamboyante du vénéré Leonard Bernstein. Son dessein ne se limitait point à une simple biographie ; il aspirait à transcender les frontières habituelles pour sonder la trame complexe liant Bernstein à Felicia Montealegre. L’épicentre narratif se concentre sans équivoque sur cette intimité tumultueuse, un choix esthétique défiant les attentes classiques d’un portrait biographique conventionnel.

LIRE LA SUITE »
AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Le Monde après nous – Cerf à rien

Le Monde après nous, adaptation par Sam Esmail du roman encensé de Rumaan Alam, s’inscrit dans la lignée des thrillers apocalyptiques, explorant avec une vigueur particulière l’isolement angoissant, tissant des dynamiques humaines au sein d’un cataclysme imminent. Doté d’une distribution éminente, de prouesses visuelles marquantes et d’une mise en scène ambitieuse, ce film nous transporte au cœur d’un groupe en quête de refuge, ignorant que leur monde touche à sa fin. La direction artistique, ingénieuse, exploite astucieusement l’espace confiné de

LIRE LA SUITE »
LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Mank – rendez-vous manqué

Mank se distingue singulièrement de l’ensemble de l’œuvre du réalisateur David Fincher. Il nous offre un retour, empreint d’une folie divertissante, vers l’âge d’or du cinéma hollywoodien, en pleine ébullition politique, secoué par des loyautés éprouvées et une propagande insidieuse. Il s’agit d’une déclaration d’amour, non seulement envers les visionnaires de l’industrie cinématographique, mais également envers son propre père. Chaque élément du film est soigneusement façonné, créant une œuvre d’une beauté minutieuse. Cependant, il convient de noter que votre appréciation

LIRE LA SUITE »
LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Marchands de Douleur & Les Ordres du Mal – Feignantise

Il est regrettable d’observer que les récentes offrandes de Netflix, à savoir Marchands de Douleur et Les Ordres du Mal, se révèlent être encore des échecs cuisants, dépeignant malheureusement des tendances persistantes inhérentes aux productions diffusées sur la plateforme et les plateformes de streaming en général. Pour commencer, en ce qui concerne Marchands de Douleur, il est manifeste que le film pâtit d’une carence flagrante en matière d’originalité et de profondeur. David Yates, renommé pour sa contribution à la saga

LIRE LA SUITE »
FILMS

[CRITIQUE] voleuses – Charlie’s Sex Appeals

Voleuses, le quatrième film sous la férule experte de Mélanie Laurent, s’inscrit dans la riche tradition du cinéma d’action français tout en puisant aux sources des cinéastes américains tels que Michael Bay (avec qui elle a travaillé) et Robert Rodriguez (particulièrement son Desperado). Cette adaptation de la bande dessinée franco-belge La Grande Odalisque nous comble d’un audacieux mélange où le divertissement populaire se marie harmonieusement à un humour contemporain pétillant, le tout enveloppé de séquences d’action qui séduise suffisamment pour

LIRE LA SUITE »
C'est fini, snif