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Étiquette : Gregg Araki

CINEPHILIVRE

[CRITIQUE] Gregg Araki, Le Génie Queer

Si vous êtes un lecteur assidu de C’est quoi le cinéma ? vous aurez remarqué que l’on apprécie particulièrement le cinéaste Gregg Araki. Nous lui avons consacré une rétrospective complète de ses œuvres, en plus d’inaugurer notre podcast, avec un épisode consacré à l’un de ses longs-métrages, Kaboom (2010). Autant dire que quand nous apprenons la sortie d’un nouvel ouvrage consacré à ce réalisateur, nous sautons de joie, d’autant plus que celui-ci est édité par Playlist Society. Cette maison d’édition indépendante

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La rétrospective GREGG ARAKI

[RETROSPECTIVE] White Bird – L’envol

Gregg Araki, s’est démarqué, comme on l’a vu, par une filmographie audacieuse et controversée. Parmi ses chefs-d’œuvre figure White Bird, qui par son exploration singulière de l’univers complexe de l’adolescence, de l’identité en quête d’elle-même et des tourments propres à la jeunesse, se classe parmi les grandes réussites de sa filmographie. À travers une esthétique saisissante et une narration énigmatique, Araki offre une histoire bouleversante où les secrets, les désirs inassouvis et les omissions conduisent à des conséquences tragiques Dès

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La rétrospective GREGG ARAKI

[RETROSPECTIVE] Kaboom – Macron, explosion !

Kaboom incarne le retour aux sources d’Araki, salué par John Waters pour sa virtuosité à revisiter le style provocateur qui caractérisait sa filmographie des années 1990, une période qui a été marquée par des œuvres subversives, ancrées dans une esthétique punk, osant contester les représentations conventionnelles de la sexualité, de la transgression et de la rébellion. Dans ses réalisations antérieures telles que Totally Fucked Up, The Doom Generation et Nowhere, le cinéaste a sondé les marges de la société en

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La rétrospective GREGG ARAKI

[RETROSPECTIVE] Smiley Face – Sourire à la marijua..vie, vie !

Gregg Araki, éminent représentant du mouvement du Nouveau Cinéma Queer, s’est érigé en un cinéaste dont l’œuvre a constamment bousculé les conventions et les normes du cinéma. Sa trilogie d’apocalypse adolescente des années 90, composée de Totally Fucked Up, The Doom Generation et Nowhere, a attiré l’attention sur les tourments et les luttes des jeunes individus queer, établissant ainsi son statut de pionnier du cinéma queer. Cependant, au cœur de sa « renaissance Arakienne », une réévaluation de son travail met en

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FILMS

[RETROSPECTIVE] Mysterious Skin – Questionner le monde

Mysterious Skin de Gregg Araki, son huitième long-métrage, s’inscrit résolument dans le parcours audacieux de l’artiste cinéaste. Adaptée du roman de Scott Heim et sortie en 2004, cette œuvre marque un tournant dans l’œuvre prolifique d’Araki, par sa profondeur dans l’exploration de thèmes délicats tels que l’abus sexuel, l’identité en quête d’elle-même et les traumatismes de l’enfance. D’emblée, Mysterious Skin captive notre regard avec finesse et parvient à créer une atmosphère unique, reflétant l’essence tourmentée des personnages et de leur

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FILMS

[RETROSPECTIVE] Splendeur – Trio gagnant (et amoureux…)

L’œuvre de Gregg Araki s’avère être un terrain propice à une investigation d’envergure, et Splendeur ne saurait faire exception à cette règle, au contraire. Cette comédie polyamoureuse, bien qu’habituellement reléguée aux marges de l’œuvre du cinéaste, se révèle digne d’une exploration minutieuse, tant sur le plan de ses thèmes que de son style, tout en méritant une place distincte au sein de la filmographie du cinéaste. Veronica, incarnée avec brio par Kathleen Robertson, revêt la complexité d’un personnage qui incarne

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FILMS

[RETROSPECTIVE] Nowhere – Les aliens, c’est les autres

Le sixième long-métrage de Gregg Araki, intitulé Nowhere, marque une transition majeure dans le panorama du cinéma queer, en particulier dans le traitement des jeunes marginaux. Sorti en 1997, ce film a fait trembler les conventions établies en apportant une dose de contemporanéité, de provocation et d’expérimentation à un genre déjà en pleine évolution. Au sein de l’ensemble de l’œuvre d’Araki, Nowhere se positionne incontestablement comme le point culminant de sa trilogie consacrée à l’adolescence apocalyptique et subversive, une série

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FILMS

[RETROSPECTIVE] The Doom Generation – Plus de folies, plus de budget

The Doom Generation est un film inclassable de l’année 1995 qui a marqué le cinéma indépendant grâce à son audace, sa provocation et sa vision radicale. Ce cinquième long-métrage de Gregg Araki, qui s’inscrit dans sa trilogie de l’adolescence apocalyptique, défie comme The Living End et Totally Fucked Up, les codes du cinéma et bouscule nos attentes. Doté d’un scénario riche en références à la culture pop et en satire politique, il remet en question le point de vue cisgenre

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La rétrospective GREGG ARAKI

[RETROSPECTIVE] Totally Fucked Up – Créons l’apocalypse

Le cinéma de Gregg Araki suscite un mélange d’admiration et de perplexité, tout comme son film précédent, The Living End. Sorti en 1993, Totally Fucked Up incarne l’anarchie et la contestation, caractéristiques de cette époque charnière du cinéma queer. Dans la lignée des cinéastes radicaux, à l’instar de Jean-Luc Godard, Araki s’approprie le langage cinématographique pour donner une voix à une jeunesse confrontée à l’homosexualité, au SIDA, à la violence homophobe et à l’aliénation. L’approche fragmentée de Totally Fucked Up

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FILMS

[RETROSPECTIVE] The Living End – Le début de la révolution

Le troisième long-métrage de Gregg Araki, intitulé The Living End, s’impose comme une incontournable pierre angulaire de l’histoire du Nouveau Cinéma Queer. En 1992, ce film audacieux s’aventure avec une ferveur palpable dans des thèmes brûlants, empreints d’une colère vis-à-vis de la société hétéronormative de l’époque, tout en exposant une vision sans concession de la vie de deux hommes homosexuels infectés par le VIH. Par le biais d’une narration à la manière d’un road movie, Araki plonge son public dans

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