Étiquette : Comédie

AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Destruction Babies – Quand la société est le problème

Shota (Nijiro Murakami) vit seul dans une tente dans la petite ville japonaise de Mitsuhama. Son frère aîné Taira (Yuya Yagira) traîne dans les rues de la ville voisine, Matsuyama. Taira est obsédé par les bagarres. S’il voit une cible dans la rue qui semble pouvoir représenter un défi, il s’approche simplement et commence à la frapper au visage. Tandis que Shota part à la recherche de Taira, ce dernier fait la connaissance de Yuya (Masaki Suda), un adolescent du

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[CRITIQUE] Le Monstre des mers – “Libérez le Kraken !”

Chris Williams a eu un parcours effectivement réussi jusqu’à présent au cinéma. Le réalisateur, qui a été l’un des co-scénaristes du classique Mulan des années 90, est depuis lors attaché à Disney et à son style de narration particulièrement sûr. C’est également la raison pour laquelle, malgré une longue et vaste carrière en tant que scénariste, réalisateur et doubleur au sein du studio, il n’a pas encore connu de phase véritablement cinglante. Et pour cela, une seule raison est significative,

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[CRITIQUE] La petite bande – Petit et teigneux mais déjà tout d’un grand

Les films abordant l’enfance ont toujours procuré un immense plaisir. Si l’on prend pour point de départ Les Quatre Cents Coups de Truffaut en 1959, suivi de La Guerre des boutons réalisé par Yves Robert en 1962, et que l’on combine cela avec Les Goonies de Richard Donner en 1985, on obtient un cocktail explosif, jouissif, incroyablement espiègle, irrévérencieux mais surtout émouvant. La Petite Bande éponyme suit un groupe de quatre enfants corses vivant dans un village vallonné près d’une

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[CRITIQUE] Les Minions 2, Il était une fois Gru – Une minuscule illumination

Les minions, ces petits voyous jaunes à l’allure de tic-tac qui parlent en charabia, sont en quelque sorte omniprésents dans la culture pop américaine depuis leur première apparition dans la comédie d’action animée Moi, moche et méchant, sortie en 2010 et produite par Illumination Animation. D’abord relégués au second plan pour des morceaux occasionnels de comédie burlesque, leur popularité s’est avérée si grande qu’en 2015, ces petits êtres ont eu droit à leur propre long métrage, ce qui s’est avéré

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[CRITIQUE] Thor: Love and Thunder – Les Aventures de Chris Boy et Mighty Girl

Lorsqu’on scrute les diverses œuvres cinématographiques consacrées aux protagonistes de l’Univers Cinématographique Marvel, les films mettant en vedette Thor se distinguent par leur hétérogénéité. Le Thor réalisé par Kenneth Branagh en 2011 constituait un subtil mélange d’action super-héroïque et d’esprit badin. En revanche, l’opus intitulé Thor : Le Monde des Ténèbres (2013), œuvre d’Alan Taylor, s’enfonce dans les abîmes de la saga. Quant à Thor : Ragnarok, façonné par l’artiste Taika Waititi en 2017, il s’agit d’une comédie singulière, certes,

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[CRITIQUE] Rifkin’s Festival – Pédant Society 

Wallace Shawn, qui s’est illustré dans le chef-d’œuvre de Louis Malle, My Dinner With Andre (1981), tient le premier rôle dans Rifkin’s Festival de Woody Allen, une comédie où l’on trouve des éléments propices à la confession et de demandes personnelles. En comparaison avec les œuvres récentes d’Allen, je dois admettre que celle-ci présente quelque chose de plus pour la tirer légèrement au-dessus de la moyenne. Mais cela ne veut pas dire qu’elle est exempte de clichés. L’histoire se déroule

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PAR SAISONS

[CRITIQUE] Seul face à l’abeille – Atkinson contre son destin

Cela faisait un moment que nous n’avions pas vu Rowan Atkinson sur les écrans, et on souhaite corriger cela dans cette critique de la série comique Seul face à l’abeille, dont le principe est très simple : un homme contre une abeille, à plusieurs reprises, avec des résultats désastreux (pour l’homme). Un concept éternel, presque une version live-action de certains des plus célèbres courts-métrages de Donald Duck (avec lesquels Atkinson partage l’utilisation massive d’expressions faciales et, dans des cas spécifiques

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[CRITIQUE] Music Hole – Belge et bien fou

Il y a quasiment trente ans sortait sur nos écrans une comédie noire belge qui allait révolutionner le genre : C’est arrivé prés de chez vous. Un long-métrage qui nous a fait découvrir un tout jeune Benoît Poolvoerde, mais qui surtout nous avait montré que les Belges savent y faire avec l’humour noir ! Gaëtan Liekens et David Mutzenmacher embrassent cet héritage, le transposent au goût du jour et viennent réitérer l’exploit. En signant un film choral trash et déjanté

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[CRITIQUE] The Man from Toronto – Rater sa cible

Déposé sur Netflix pour être perdu à jamais dans les algorithmes, le détour par Patrick Hughes de la franchise Hitman & Bodyguard est un film de potes des années 80, ce qui n’est pas forcément une critique, mais dans le cas de The Man From Toronto, un film qui ressemble à un simple scénario dépoussiéré provenant des archives d’un studio défunt, et sauvé uniquement par l’enthousiasme de Kevin Hart. Utilisant un concept amusant mais familier, un concept que Game Night

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[CRITIQUE] Cha Cha Real Smooth – Injection de bonté

Écrit, réalisé et co-monté par Cooper Raiff, Cha Cha Real Smooth suit Andrew (Raiff), 22 ans, qui n’a aucune perspective d’avenir solide après avoir obtenu son diplôme universitaire. Il est coincé à la maison avec sa mère (Leslie Mann), son beau-père Greg (Brad Garrett) et son demi-frère David (Evan Assante). N’ayant pas de véritable emploi, il se contente d’animer les fêtes de bar-mitsvah après avoir fait fureur auprès des mamans juives. C’est dans une de ces fêtes qu’il rencontre Domino

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C'est fini, snif