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Étiquette : Comédie dramatique

AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Une équipe de rêve – Ka Mate ka raté

Plonger dans Une équipe de rêve de Taika Waititi équivaut à s’immerger dans la quête épique d’une équipe de football d’une médiocrité déconcertante, embrassant l’espoir d’une rédemption improbable. Inspiré du documentaire Next Goal Wins sorti en 2014, il retrace le périple vrai de l’équipe de football d’American Samoa, débutant par leur déroute historique de 31-0 contre l’Australie en 2001, marquée par une prestation terne du Siva Tau, une danse rituelle samoane. Malgré cette prémisse intrigante, le film peine à tisser

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] La vie Rêvée de miss fran – Trépas sensoriel

Il est admirable de voir des acteurs s’épanouir loin d’Hollywood et des blockbusters. Daisy Ridley, surtout connue pour son rôle de Rey dans la dernière trilogie Star Wars, avait hérité d’un des pires personnages de la saga. Comment lui en vouloir ? À sa place, qui n’aurait pas voulu jouer dans Star Wars ? Maintenant que cette controversée trilogie est terminée, quelques acteurs phares tentent de tracer leur chemin. Certains s’engagent dans le moule des blockbusters, comme Oscar Isaac, tandis

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12E PARIS INTERNATIONAL FANTASTIC FILM FESTIVAL​

[RECAP #1] The Sacrifice Game, Marquis, Vermines (PIFFF)

THE SACRIFICE GAME, de Jennifer Wexler (en compétition) Second long-métrage de la réalisatrice américaine, qui nous amène dans une école de jeunes filles, qui pendant les fêtes de Noël subit l’attaque de fanatiques de Charles Manson. On est ici face à un postulat classique de meurtriers qui croient s’attaquer à des cibles faciles, mais qui s’en mordront sévèrement les doigts… On est face à une série B qui aurait très bien pu être tournée dans les années 70 (époque du

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C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Les Associés – Sous ses allures de film mineur

Si le nom de Ridley Scott retentit bien souvent quand on parle de cinéma, c’est parce que le monsieur s’est bâti une filmographie des plus solides. On le connaît pour ses grands films de science-fiction, Blade Runner ou le premier Alien, ou encore pour ses splendides reconstitutions historiques, telles que Gladiator ou Kingdom of Heaven. Mais dans une filmographie vieille de près de 50 ans, Scott a exploré de nombreux genres et compte des réalisations mineures, peu mentionnées car dans

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C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Foul King – J’ai rencontré le catch

Kim Jee-Woon, le cinéaste sud-coréen éminent reconnu pour ses œuvres soigneusement élaborées et d’une intensité saisissante, nous présente une création inattendue en Foul King, une fusion surprenante de comédie et de drame immergée dans l’univers du catch. À travers le personnage de Dae-ho, incarné par Song Kang-ho, le film explore les thèmes de la crise de la quarantaine, de la quête identitaire et de la lutte contre l’oppression au sein du monde professionnel. Le récit s’inaugure en présentant Dae-ho, un

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43ÈME FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM D'AMIENS

[RETOUR SUR..] Touki Bouki – Que la fête commence (FIFAM 2023)

Cette année, le FIFAM célèbre le cinquantième anniversaire de Touki Bouki, considéré comme l’un des plus grands films sénégalais de tous les temps, voire le plus grand. Récompensé par le prix de la critique internationale au Festival de Cannes en 1973, ce long-métrage marqua les débuts de Djibril Diop Mambety en tant que réalisateur et le propulsa au rang des plus grands cinéastes mondiaux. Malgré cela, il demeure moins connu à l’échelle internationale que Sembène Ousmane. C’est précisément pour cette

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FILMS

[RETROSPECTIVE] Nowhere – Les aliens, c’est les autres

Le sixième long-métrage de Gregg Araki, intitulé Nowhere, marque une transition majeure dans le panorama du cinéma queer, en particulier dans le traitement des jeunes marginaux. Sorti en 1997, ce film a fait trembler les conventions établies en apportant une dose de contemporanéité, de provocation et d’expérimentation à un genre déjà en pleine évolution. Au sein de l’ensemble de l’œuvre d’Araki, Nowhere se positionne incontestablement comme le point culminant de sa trilogie consacrée à l’adolescence apocalyptique et subversive, une série

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FILMS

[RETROSPECTIVE] The Doom Generation – Plus de folies, plus de budget

The Doom Generation est un film inclassable de l’année 1995 qui a marqué le cinéma indépendant grâce à son audace, sa provocation et sa vision radicale. Ce cinquième long-métrage de Gregg Araki, qui s’inscrit dans sa trilogie de l’adolescence apocalyptique, défie comme The Living End et Totally Fucked Up, les codes du cinéma et bouscule nos attentes. Doté d’un scénario riche en références à la culture pop et en satire politique, il remet en question le point de vue cisgenre

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La rétrospective GREGG ARAKI

[RETROSPECTIVE] Totally Fucked Up – Créons l’apocalypse

Le cinéma de Gregg Araki suscite un mélange d’admiration et de perplexité, tout comme son film précédent, The Living End. Sorti en 1993, Totally Fucked Up incarne l’anarchie et la contestation, caractéristiques de cette époque charnière du cinéma queer. Dans la lignée des cinéastes radicaux, à l’instar de Jean-Luc Godard, Araki s’approprie le langage cinématographique pour donner une voix à une jeunesse confrontée à l’homosexualité, au SIDA, à la violence homophobe et à l’aliénation. L’approche fragmentée de Totally Fucked Up

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FILMS

[RETROSPECTIVE] The Living End – Le début de la révolution

Le troisième long-métrage de Gregg Araki, intitulé The Living End, s’impose comme une incontournable pierre angulaire de l’histoire du Nouveau Cinéma Queer. En 1992, ce film audacieux s’aventure avec une ferveur palpable dans des thèmes brûlants, empreints d’une colère vis-à-vis de la société hétéronormative de l’époque, tout en exposant une vision sans concession de la vie de deux hommes homosexuels infectés par le VIH. Par le biais d’une narration à la manière d’un road movie, Araki plonge son public dans

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C'est fini, snif