Catégorie : RETROSPECTIVE

La rétrospective GREGG ARAKI

[RETROSPECTIVE] White Bird – L’envol

Gregg Araki, s’est démarqué, comme on l’a vu, par une filmographie audacieuse et controversée. Parmi ses chefs-d’œuvre figure White Bird, qui par son exploration singulière de l’univers complexe de l’adolescence, de l’identité en quête d’elle-même et des tourments propres à la jeunesse, se classe parmi les grandes réussites de sa filmographie. À travers une esthétique saisissante et une narration énigmatique, Araki offre une histoire bouleversante où les secrets, les désirs inassouvis et les omissions conduisent à des conséquences tragiques Dès

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La rétrospective GREGG ARAKI

[RETROSPECTIVE] Kaboom – Macron, explosion !

Kaboom incarne le retour aux sources d’Araki, salué par John Waters pour sa virtuosité à revisiter le style provocateur qui caractérisait sa filmographie des années 1990, une période qui a été marquée par des œuvres subversives, ancrées dans une esthétique punk, osant contester les représentations conventionnelles de la sexualité, de la transgression et de la rébellion. Dans ses réalisations antérieures telles que Totally Fucked Up, The Doom Generation et Nowhere, le cinéaste a sondé les marges de la société en

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La rétrospective GREGG ARAKI

[RETROSPECTIVE] Smiley Face – Sourire à la marijua..vie, vie !

Gregg Araki, éminent représentant du mouvement du Nouveau Cinéma Queer, s’est érigé en un cinéaste dont l’œuvre a constamment bousculé les conventions et les normes du cinéma. Sa trilogie d’apocalypse adolescente des années 90, composée de Totally Fucked Up, The Doom Generation et Nowhere, a attiré l’attention sur les tourments et les luttes des jeunes individus queer, établissant ainsi son statut de pionnier du cinéma queer. Cependant, au cœur de sa “renaissance Arakienne”, une réévaluation de son travail met en

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FILMS

[RETROSPECTIVE] Mysterious Skin – Questionner le monde

Mysterious Skin de Gregg Araki, son huitième long-métrage, s’inscrit résolument dans le parcours audacieux de l’artiste cinéaste. Adaptée du roman de Scott Heim et sortie en 2004, cette œuvre marque un tournant dans l’œuvre prolifique d’Araki, par sa profondeur dans l’exploration de thèmes délicats tels que l’abus sexuel, l’identité en quête d’elle-même et les traumatismes de l’enfance. D’emblée, Mysterious Skin captive notre regard avec finesse et parvient à créer une atmosphère unique, reflétant l’essence tourmentée des personnages et de leur

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Hunger Games, La ballade du serpent et de l’oiseau chanteur – La bonne surprise ?

Après huit années depuis la sortie du dernier film, la saga Hunger Games fait son retour sur les écrans. Suzanne Collins, l’auteure des livres Hunger Games, a décidé de publier un nouveau livre, une préquelle à sa trilogie, en 2020. Ce livre retrace l’histoire de Coriolanus Snow, futur président de Panem, et de sa jeunesse lorsqu’il se retrouve malgré lui mentor d’une jeune femme du district 12, Lucy Gray Baird. Sa réussite dépend de la survie de cette dernière ;

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FILMS

[RETROSPECTIVE] Splendeur – Trio gagnant (et amoureux…)

L’œuvre de Gregg Araki s’avère être un terrain propice à une investigation d’envergure, et Splendeur ne saurait faire exception à cette règle, au contraire. Cette comédie polyamoureuse, bien qu’habituellement reléguée aux marges de l’œuvre du cinéaste, se révèle digne d’une exploration minutieuse, tant sur le plan de ses thèmes que de son style, tout en méritant une place distincte au sein de la filmographie du cinéaste. Veronica, incarnée avec brio par Kathleen Robertson, revêt la complexité d’un personnage qui incarne

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La rétrospective HUNGER GAMES

[CRITIQUE] Hunger Games : La révolte, partie 2 – Douce amertume

Après avoir sauvé Peeta des griffes du Capitole, Katniss retrouve un jeune homme qui ne la reconnaît plus. En effet, suite aux tortures subies du Capitole, Peeta souffre de déréalisation, sombrant lentement dans une folie douloureuse. Pendant ce temps, la présidente Coin du district 13 organise une attaque contre le Capitole avec l’aide des autres districts, et Katniss souhaite se joindre à cette action. Elle décide de profiter du tournage d’un spot de propagande pour contraindre l’équipe de l’aider à

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FILMS

[RETROSPECTIVE] Nowhere – Les aliens, c’est les autres

Le sixième long-métrage de Gregg Araki, intitulé Nowhere, marque une transition majeure dans le panorama du cinéma queer, en particulier dans le traitement des jeunes marginaux. Sorti en 1997, ce film a fait trembler les conventions établies en apportant une dose de contemporanéité, de provocation et d’expérimentation à un genre déjà en pleine évolution. Au sein de l’ensemble de l’œuvre d’Araki, Nowhere se positionne incontestablement comme le point culminant de sa trilogie consacrée à l’adolescence apocalyptique et subversive, une série

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La rétrospective HUNGER GAMES

[RETROSPECTIVE] – Hunger Games, la révolte, partie 1 – Soulèvement

Katniss a été sauvée de l’arène par le gouvernement secret du district 13, censé avoir été détruit lors d’une insurrection passée. Elle découvre qu’en réalité, ce district n’a jamais cessé d’exister, mais prépare dans l’ombre une rébellion armée, commandée par la présidente Coin contre le Capitole et le président Snow. Alors qu’elle sort traumatisée et blessée de l’arène, elle remarque que quelqu’un manque à l’appel : Peeta. Francis Lawrence a la lourde tâche de rendre la première partie de cette

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FILMS

[RETROSPECTIVE] The Doom Generation – Plus de folies, plus de budget

The Doom Generation est un film inclassable de l’année 1995 qui a marqué le cinéma indépendant grâce à son audace, sa provocation et sa vision radicale. Ce cinquième long-métrage de Gregg Araki, qui s’inscrit dans sa trilogie de l’adolescence apocalyptique, défie comme The Living End et Totally Fucked Up, les codes du cinéma et bouscule nos attentes. Doté d’un scénario riche en références à la culture pop et en satire politique, il remet en question le point de vue cisgenre

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C'est fini, snif