Catégorie : LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[REVIOWZ] The Sadness – Plaisir de la haine

Le cinéaste canadien de renom, Rob Jabbaz, a donné vie à son tout premier opus cinématographique intitulé The Sadness, dans les magnifiques décors taïwanais. Le film met en scène une distribution exclusivement composée d’artistes taïwanais, et son récit, d’une envergure narrative considérable, a été habilement conçu de manière à transcender toute spécificité nationale ou culturelle. À la lumière des ravages infligés à la civilisation humaine par la pandémie de COVID-19, il devient impérieux de reconnaître que nous sommes sur le

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[CRITIQUE] The Killer – Erreur fatale

Après Mank, biopic sorti en pleine pandémie sur Netflix fin 2020, David Fincher revient avec The Killer, un thriller en partie tourné à Paris et adapté d’une bande-dessinée française, qui sortira également sur la plate-forme le 10 novembre. Le programme est simple : un tueur rate sa cible, et ses employeurs torturent sa compagne en guise de punition, ce qui le lance dans une chasse à l’homme implacable pour se venger et assurer sa sécurité. Un postulat simple, relativement convenu

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REVIOWZ IN SHADOWZ

[REVIOWZ] Good Boy – I Wanna Be You Dog

Connaissez-vous la blague suivante : « Si Christian Grey avait été pauvre, il paraîtrait être un psychopathe ? ». Tel semble être la principale source d’inspiration de Good Boy, du réalisateur norvégien Viljar Bøe. L’histoire suit une jeune femme charmée sur Tinder par un certain Christian, vivant dans une immense maison avec son chien Franck. Enfin, chien, c’est vite dit, car en réalité Frank est un homme déguisé en canidé et qui se comporte exactement comme un chien. Bøe prend

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[CRITIQUE] Flora and Son – Chanter jusqu’au bout du monde

John Carney est un réalisateur dont le nom est indissociable de la musique et de la connexion humaine. Dans Once, la musique sert de langage pour des protagonistes éperdus d’amour. Dans New York Melody, elle ravive la passion de deux étoiles éteintes. Dans Sing Street, elle donne à deux jeunes une voix pour s’exprimer. Flora and Son ne fait pas exception. La musique agit comme un agent de transformation, rapprochant deux personnes vivant à des milliers de kilomètres l’une de

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[REVIOWZ] “Comme un poisson dans l’eau” – Séance 1, Festival Court Métrange 2023

Pour cette première séance, un thème commun entre les quatre films (bien qu’un peu tiré par les cheveux) est bien évidemment l’eau. Nous embarquons donc à bord d’un bateau de la Seconde Guerre mondiale, sur les rivages néo-zélandais, dans la baignoire d’un appartement français, et enfin, nous tremperons nos pieds en Irlande. Cette première séance réussie marque le début de la dix-neuvième édition du festival de Court Métrange, diffusée simultanément sur Shadowz, la plateforme partenaire de l’événement. Cette croisière d’une

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[REVIOWZ] Junk Head – Science-fiction à modeler

Imaginez que les films de la Aardman production (tels que Wallace et Gromit et Chicken Run) aient engendré un enfant japonais. Cet enfant en question serait doté d’un sens de l’humour très noir, d’une passion pour les jeux vidéo Silent Hill et les animés japonais. Les promesses offertes éveillent notre curiosité ! Junk Head est un film d’animation japonais en stop motion réalisé, produit et interprété par Takehide Hori. Dans un futur lointain, les êtres humains ont découvert le secret

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MADE IN ASIA

[REVIOWZ] The Medium – Plongée sombre dans le spiritisme et la possession

Dans la région d’Isan, en Thaïlande, Nim (Utoomma) se distingue en tant que chamane, professant être l’incarnation de l’esprit de Ba Yan. Reconnue comme une guérisseuse éminente au sein de la localité, elle entretient un certain désaccord avec sa sœur, Noi (Yankittikan). Cette dernière était censée hériter de l’esprit de Ba Yan, mais elle a fait le choix de le refuser, léguant ainsi cet héritage spirituel à Nim. Lorsqu’un habitant respecté de la communauté vient à décéder, ce décès bouleverse

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[CRITIQUE] Venin – Comme un poison dans l’eau

Il est impératif de contextualiser Venin au sein du panorama artistique de Wes Anderson. En effet, ce cinéaste jouit d’une notoriété indéniable en raison de sa signature visuelle distincte et de son approche narrative singulière. À travers des réalisations telles que The Grand Budapest Hotel et Moonrise Kingdom, il a instauré une esthétique aisément reconnaissable. Le court-métrage en question s’inscrit dans cette tradition en tirant parti de décors chatoyants, d’une direction artistique épurée et d’une mise en scène méticuleuse. Cette

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[CRITIQUE] Le Preneur de Rats – Le conte de Dracurat

Wes Anderson nous offre une nouvelle pépite dans son adaptation de l’œuvre de Roald Dahl, intitulée Le Preneur de Rats. Ce court-métrage nous plonge au cœur d’une intrigue sinistre, explorant les abysses les plus sombres de la nature humaine, tout en mettant en scène un dératiseur aux méthodes pour le moins insolites. Dès les premières minutes, il est manifeste que nous évoluons dans un univers qui nous est familier, celui que Wes Anderson a si habilement tissé au fil de

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[CRITIQUE] Le Cygne – Le vilain petit canard

L’univers singulier de Wes Anderson, aisément reconnaissable grâce à sa stylisation visuelle unique et à sa fusion entre la comédie pince-sans-rire et une mélancolie sous-jacente, se révèle d’une manière singulière dans son court-métrage intitulé Le Cygne. Dans cette œuvre, Anderson déroge à sa formule habituelle, offrant un monologue poignant, sublimé par le talent solitaire de l’acteur Rupert Friend. Cette audacieuse initiative nous convie à une immersion profonde dans l’âme du personnage de Peter Watson, un jeune garçon chétif aux prises

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C'est fini, snif