Auteur : Louan Nivesse

C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Malveillance – Sous le lit, un con siège

Un film d’horreur psychologique malade, tordu et cauchemardesque, traversé par des soupçons d’humour noir, Malveillance est un exemple cruel, intense et captivant du genre, absolument impitoyable dans son déroulement et de plus en plus troublant à mesure que l’intrigue progresse. L’histoire de Malveillance suit un concierge d’appartement qui gère sa misérable existence en rendant la vie des autres aussi misérable. Sa dernière cible est une résidente enjouée qu’il a du mal à perturber par rapport aux autres, ce qui l’oblige

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[CRITIQUE] Un Beau Matin – Attendre que le réveil sonne enfin…

Plaignez le pauvre bourgeois parisien bohème, dont la vie n’est remplie que d’appartements remplis de livres, de belles carrières et de proches. Plaignez encore plus les filles des vieux intellectuels parisiens, qui doivent suspendre leurs activités commerciales et artistiques lorsque leurs papas développent la version cinématographique de la vieillesse et de la maladie qui ne nécessite que les soins les plus légers. Mais il faut surtout plaindre les petits amis parisiens de ces filles parisiennes, qui doivent apporter un soutien

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[CRITIQUE] Black Adam – Briser la roche

Il est ardu et laborieux d’aborder la tumultueuse stratégie de la branche DC Comics des Studios Warner. Je vais dès lors m’abstenir de le faire avec superbe. Pour simplifier, depuis l’épique Man of Steel de Zack Snyder, ce dernier était en quelque sorte le maître de cérémonie de cet univers cinématographique, sobrement baptisé le DCEU. Cependant, depuis quelques désaccords notables avec les producteurs, un découpage honteux de son Batman v Superman : L’Aube de la justice et une version malheureuse

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[CRITIQUE] Un Couple – Grande prose malade

Un Couple est l’exemple même du genre de film monotone qui n’a pas sa place au cinéma et qui n’est finalement qu’une création ennuyeuse et inutile. Ce n’est rien d’autre qu’une interprétation de 60 minutes d’un poème (ou, techniquement, de lettres) entrecoupée de quelques images d’archives de fleurs et de nature. Hein ? Ce “film” n’a pas sa place ici. Il n’est pas courant qu’un film m’énerve au point d’écrire une critique intensément négative, mais celui-ci m’a tellement dérangé que

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[CRITIQUE] Batman : The Long Halloween, partie 2 – Double face à la psyché

Inspiré de l’histoire emblématique du milieu des années 1990 de Jeph Loeb et Tim Sale, Batman : The Long Halloween, partie 2 reprend alors que le Holiday est toujours en liberté et que Bruce Wayne est sous le charme de la venimeuse Poison Ivy, Batman est introuvable. Libéré par un allié improbable, Bruce découvre rapidement le vrai coupable : Carmine Falcone, l’employeur de Poison Ivy. Le romain, dont les rangs ont été décimés par Holiday et dont les affaires sont

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[RETOUR SUR..] Batman : The Long Halloween, partie 1 – L’inspecteur gadget

Inspiré de l’histoire DC emblématique du milieu des années 1990 de Jeph Loeb et Tim Sale, Batman : The Long Halloween, partie 1 commence par un assassinat perpétré le jour d’Halloween qui incite le jeune justicier de Gotham, Batman, à conclure un pacte avec les deux seuls hommes de loi non corrompus de la ville (le capitaine de police James Gordan et le procureur Harvey Dent) afin d’éliminer le Romain, chef de la puissante et notoire famille criminelle Falcone. Mais

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[CRITIQUE] Samouraï Academy – Un chatolin à chambrer

Samouraï Academy est sans aucun doute destiné à un public très jeune. Cependant, même les enfants lèveront les yeux au ciel devant la quantité d’humour potache que contient ce film. Au moins, ils ont choisi un thème et l’ont exploité, même si les blagues sont au mieux ringardes. L’histoire suit Hank, un chien qui ne veut rien de plus dans la vie que de devenir un samouraï parce qu’un samouraï l’a sauvé quand il n’était qu’un chiot. Le problème est

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[CRITIQUE] Joyeuse fin du monde – Un joli cadeau de Noël

Le moyen le plus simple de s’assurer que vos petits comédiens sont capables de jurer à l’écran est de faire un casting avec les vôtres. C’est exactement ce que fait la scénariste et réalisatrice Camille Griffin pour son Joyeuse fin du monde, et ce pour une bonne raison. Art (Roman Griffin Davis) et les jumeaux Thomas (Gilby Griffin Davis) et Hardy (Hardy Griffin Davis) ont fait un pacte avec leurs parents (Nell de Keira Knightley et Simon de Matthew Goode)

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LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Werewolf By Night – Rare comme une pleine lune

Marvel Studios vient complètement de sortir du lot et a offert aux fans quelque chose de totalement nouveau. Werewolf By Night est la première (espérons-le, de nombreuses) présentation spéciale Marvel et elle ressemble beaucoup aux films d’horreur d’autrefois – avec juste un petit peu de Marvel pour faire bonne impression. Ce film rappelle les films d’horreur classiques, jusqu’aux bruits et aux remous du “film”, et n’est rien de moins que spécial. Werewolf By Night raconte l’histoire d’un groupe de chasseurs

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[CRITIQUE] Illusions perdues – Balzac serait Honoré

Xavier Giannoli porte habillement son adaptation des Illusions perdues d’Honoré de Balzac, l’histoire d’un jeune homme ambitieux qui s’enivre d’illusions artistiques et sociales dans le Paris de la Restauration (1814-1830). Attendu par beaucoup, le film ravit et émeut dans son exploration du “génie français”, dans un grand moment de cinéma. Le réalisateur français adapte l’œuvre d’Honoré de Balzac, dans un film romantique et critique sur l’ambition, la vanité, la société parisienne lettrée du début du XIXe siècle, une société et

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C'est fini, snif