Rechercher

Auteur : Louan Nivesse

LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Run Sweetheart Run – Le jeu du chat et la souris

Cherie (Ella Balinska, Charlie’s Angels), mère célibataire timide et travailleuse, fait abstraction de ses hésitations et décide de se remettre à fréquenter des hommes après y avoir été incitée par ses collègues. Elle est ravie lorsque son patron lui propose un rendez-vous avec Ethan (Pilou Asbæk, Game of Thrones), qui se révèle au départ aussi charmant et magnétique que sa photo. Ethan ne peut cependant pas cacher sa vraie nature très longtemps, et lorsque les choses prennent rapidement une tournure

LIRE LA SUITE »
AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Amsterdam – Un bruit et rien de plus

Il y a un moment dans les premières minutes d’Amsterdam où l’on réalise que les personnages ne vont jamais s’arrêter de parler. Même lorsque tous les personnages de la scène ont la bouche fermée, il y a de la narration. Parfois, la narration est une exposition longue, inutile et envahissante, et d’autres fois, ce sont les observation nombrilistes et solennels d’un ou plusieurs personnages. C’est tellement étouffant, non seulement pour nous mais aussi pour l’histoire. Il y a tellement de

LIRE LA SUITE »
AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Seule la joie – Un voyeurisme d’une beauté singulière

Tomber amoureux peut être excitant, amusant et ludique. Cela peut aussi être difficile, compliqué et frustrant. Cela peut être rapide ou lent, mais c’est presque toujours effrayant. S’ouvrir à quelqu’un peut être une perspective intimidante, surtout s’il y a des parties de soi et de sa vie que l’on n’a pas encore totalement acceptées. Le premier film d’Henrika Kull, Seule la joie, résume bien ce processus. Il s’agit d’une réflexion pleine de retenue sur l’intériorisation de l’acceptation de soi et

LIRE LA SUITE »
AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Piggy – Contre ses grandes méchantes louves

Que feriez-vous si, à l’adolescence, vous tombiez sur vos harceleurs en train de se faire enlever par un probable tueur en série ? C’est le postulat central de Piggy (écrit et réalisé par Carlota Pereda) et c’est un excellent point d’accroche pour deux raisons : il place un type de protagoniste inhabituel au premier plan du récit, en l’occurrence Sara, une personne de forte corpulence (Laura Galán, qui joue un rôle remarquable en vendant les aspects d’humiliation ainsi qu’un processus

LIRE LA SUITE »
LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Barbare – Comme un mauvais AirBnb

Les cinéastes semblent avoir trouvé leur nouveau mode d’intrigue favori avec d’innombrables films récents (dans de nombreux genres) dont l’histoire se déroule dans des Airbnbs accidentellement réservés en double. Barbare (écrit et réalisé par Zach Cregger, marquant son premier long métrage sans son collaborateur habituel Trevor Moore) pourrait être rempli de plus de folie que tous les autres réunis. Cela est renforcé par le fait qu’il est également imprévisible dans tous les sens du terme, pour le meilleur et pour

LIRE LA SUITE »
AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Elvis – Rendre le King encore plus cool

Considéré comme l’artiste de musique solo qui a vendu le plus de disques de tous les temps et comme une figure culturelle unique, la question qui se pose pour tout biopic d’Elvis sur grand écran n’est pas “pourquoi le faire ?” mais “pourquoi cela a-t-il pris autant de temps ?”. Couvrant 30 ans de la vie tragiquement écourtée d’Elvis Aaron Presley, depuis ses premières rencontres avec le gospel et le rhythm & blues jusqu’à sa mort prématurée d’une maladie cardiaque

LIRE LA SUITE »
PAR SAISONS

[CRITIQUE] Andor – Ce que Star Wars doit être

Critique des 8 premiers épisodes de la série Andor… Sans spoilers. De nos jours, jusqu’à la fin des temps, le sentiment de George Lucas reste que Star Wars est fait pour les enfants de douze ans. Mais au fil du temps, ces enfants deviennent des adultes. En tant qu’adultes, beaucoup d’entre nous peuvent s’accrocher à des choses enfantines sans pouvoir passer à des choses plus matures. Mais je me demande si Star Wars doit être commercialisé indéfiniment auprès des enfants.

LIRE LA SUITE »
ANALYSE

[ANALYSE] A Girl Walks Home Alone at Night – La femme vampire, une opposition entre la peur et le désir

Avec Twilight, le mythe du vampire s’est enlisé dans une ornière, enterrant ce qui avait été une légende sans fin et richement développée dans un réservoir d’angoisse adolescente et de romance pas très inspirante. On ne pouvait pas s’en vouloir de regarder les vampires avec un sentiment de lassitude. Avec les vampires plus cool que vous de Jim Jarmusch dans Only Lovers Left Alive et A Girl Walks Home Alone at Night d’Ana Lily Amirpour, cependant, 2014 a heureusement marqué

LIRE LA SUITE »
LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Raymond & Ray – On est clairement mort de rire

Deux de mes acteurs fétiches réunis dans une comédie familiale à rebondissements ? C’est trop pour que je rate ça. Et comme vous le savez, Raymond & Ray s’avère être tout à fait dans mes cordes. C’est le genre de film sur la vie quotidienne qui m’attire souvent. Il ne cherche pas à être innovant et ne prétend pas être quelque chose d’important. C’est un regard simple et concret sur la condition humaine à travers les expériences de deux personnages

LIRE LA SUITE »
AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Bros – Les supers maris aux bros

Que ce soit en tant que spectateur ou critique, l’état d’esprit du spectateur n’est presque jamais abordé dans les dialogues. Pourtant, c’est un facteur qui a autant d’impact que tout autre sur le plaisir général de l’œuvre. De la même manière qu’un film amusant, léger et inspirant peut transformer un visage découragé en un sourire heureux, un film lourd, plus lent et contemplatif est également capable de laisser le public réfléchir sérieusement à sa propre vie. Bros appartient au premier

LIRE LA SUITE »
C'est fini, snif