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Étiquette : Wes Anderson

FESTIVAL LUMIÈRE

Rencontres avec Terry Gilliam, Wes Anderson et Taylor Hackford – Excursion américaine (Festival Lumière 2023)

Avec une mise en avant du cinéma de patrimoine mais également contemporain, la 15e édition du festival Lumière nous mène au cœur de cet art visuel venant des quatre coins du monde à travers des rétrospectives, des séances présentées, mais aussi des masterclasses. Parmi ces discussions menées par Didier Allouch ou encore Thierry Frémaux, les États-Unis transcendent les cinémas lyonnais, arrivant de tous les horizons du pays américain. TERRY GILLIAM, UN DRÔLE DE RÉALISATEUR La semaine débute avec l’arrivée forte

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[CRITIQUE] Venin – Comme un poison dans l’eau

Il est impératif de contextualiser Venin au sein du panorama artistique de Wes Anderson. En effet, ce cinéaste jouit d’une notoriété indéniable en raison de sa signature visuelle distincte et de son approche narrative singulière. À travers des réalisations telles que The Grand Budapest Hotel et Moonrise Kingdom, il a instauré une esthétique aisément reconnaissable. Le court-métrage en question s’inscrit dans cette tradition en tirant parti de décors chatoyants, d’une direction artistique épurée et d’une mise en scène méticuleuse. Cette

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[CRITIQUE] Le Preneur de Rats – Le conte de Dracurat

Wes Anderson nous offre une nouvelle pépite dans son adaptation de l’œuvre de Roald Dahl, intitulée Le Preneur de Rats. Ce court-métrage nous plonge au cœur d’une intrigue sinistre, explorant les abysses les plus sombres de la nature humaine, tout en mettant en scène un dératiseur aux méthodes pour le moins insolites. Dès les premières minutes, il est manifeste que nous évoluons dans un univers qui nous est familier, celui que Wes Anderson a si habilement tissé au fil de

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[CRITIQUE] Le Cygne – Le vilain petit canard

L’univers singulier de Wes Anderson, aisément reconnaissable grâce à sa stylisation visuelle unique et à sa fusion entre la comédie pince-sans-rire et une mélancolie sous-jacente, se révèle d’une manière singulière dans son court-métrage intitulé Le Cygne. Dans cette œuvre, Anderson déroge à sa formule habituelle, offrant un monologue poignant, sublimé par le talent solitaire de l’acteur Rupert Friend. Cette audacieuse initiative nous convie à une immersion profonde dans l’âme du personnage de Peter Watson, un jeune garçon chétif aux prises

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[CRITIQUE] La Merveilleuse Histoire de Henry Sugar – Retour à la fantaisie

La Merveilleuse Histoire de Henry Sugar, seconde adaptation de Roald Dahl par le talentueux Wes Anderson, nous plonge dans un univers atypique où le réalisme côtoie l’artifice, et où la morale se mêle à la fantaisie. D’emblée, on peut noter que l’intrigue semble tout droit sortie de l’imagination débordante de Wes Anderson lui-même. Benedict Cumberbatch incarne le rôle du richissime Mr. Sugar à la recherche des méthodes d’un gourou pour tricher au jeu, un scénario propice aux mésaventures cocasses. Anderson

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FESTIVAL DE CANNES (2023)

[RECAP’] La Passion de Dodin Bouffant, Vers un avenir radieux & Asteroid City (Cannes 2023 – Jour 8)

Huitième journée à Cannes avec les projections de trois films : Asteroid City, de Wes Anderson (en compétition),  La Passion de Dodin Bouffant de Tran Anh Hung (en compétition), et Vers un avenir radieux, de Nanni Moretti (en compétition). Asteroid City, Wes Anderson Deux ans après la sélection en compétition de The French Dispatch, Wes Anderson revient avec un nouveau casting prestigieux pour nous présenter Asteroid City. Réunis dans une petite ville de l’Ouest américain des années 50 pour une remise de prix d’inventions liées à la

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FESTIVAL DE CANNES (2023)

[CRITIQUE] Asteroid City – Désert Andersonien

Deux ans après la sélection en compétition de The French Dispatch, Wes Anderson revient avec un nouveau casting prestigieux pour nous présenter Asteroid City. Réunis dans une petite ville de l’Ouest américain des années 50 pour une remise de prix d’inventions liées à la science spatiale, des parents et leurs enfants se retrouvent confinés contre leur gré après l’apparition d’un alien pendant l’événement… Le précédent film de Wes Anderson contenait trois histoires racontées dans un journal, ce qui, malgré de

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C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] L’Île aux chiens – Le Japon montre les crocs

4 ans après le grandiose The Grand Budapest Hotel, Wes Anderson revient avec un nouveau film d’animation, tourné en stop-motion comme son Fantastic Mr. Fox sorti en 2009. Tout d’abord, L’Île aux Chiens, ça parle de quoi ? On se retrouve au Japon, dans la ville fictive de Megasaki, où le Maire Kobayashi décide d’envoyer en quarantaine tous les chiens sur une île pour soi-disant éviter la propagation d’une grippe canine. Son neveu de 12 ans, Atari part à la

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] The French Dispatch – Un trop gros journal

Dans une ruelle au petit matin, quartier type bâtiment Haussmannien, un cinéma trône entre deux immeubles. Les habitants se réveillent. Le projectionniste sort, une bobine de film à la main. Il crie : « Wes Anderson est de retour ! Le nouveau film du réalisateur dans vos salles ! Le réalisateur qui vous fera aimer les vieux films ! Venez découvrir la dernière œuvre du réalisateur, qui prend place ici dans notre belle France ! » Gros plan sur lui, il fixe la caméra : « qu’est-ce que vous

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