Étiquette : Virginie Efira

AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Rien à Perdre – Tout ça pour une simple frite

Le cinéma français, fort de sa tradition de drames familiaux, offre souvent des récits émotionnels qui touchent le cœur du spectateur. Delphine Deloget, avec son premier long-métrage, Rien à Perdre, présenté dans la section Un Certain Regard du Festival de Cannes, s’inscrit dans cette lignée. Sous une apparence de drame familier, le film explore des questions complexes liées à la parentalité et à la rigidité du système de protection de l’enfance. Rien à Perdre nous plonge au cœur de la

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FESTIVAL DE CANNES (2023)

[RECAP’] Rien à perdre & L’Été Dernier (Cannes 2023 – Jour 9)

Neuvième journée à Cannes avec les projections de Rien à perdre, de Delphine Deloget (Un Certain Regard), et L’Été Dernier, de Catherine Breillat (en compétition). Rien à perdre, Delphine Deloget Premier long-métrage de la réalisatrice Delphine Deloget présenté en sélection Un Certain Regard, avec Virginie Efira, India Hair et Félix Lefebvre. C’est l’histoire d’une mère célibataire dont le plus jeune fils est placé de force dans un foyer, à cause d’un accident domestique survenu lorsqu’elle travaillait. Un film intéressant où

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[CRITIQUE] L’Amour et les forêts – Une terreur quotidienne

Adaptation éponyme du roman d’Éric Reinhardt, L’Amour et les forêts est un drame évoquant le sujet sensible de la violence conjugale en étudiant son fondement. Virginie Efira incarne Blanche, tombée amoureuse de Grégoire (Melvil Poupaud) puis mariée à lui, avant que les choses ne dégénèrent une fois le mariage établi en laissant transparaître tant la possessivité que le tempérament agressif de son mari. La réalisatrice Valérie Donzelli reprend ce récit, construit bien sous la forme d’un enchaînement de flashback, ce

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[CRITIQUE] Revoir Paris – C’est comme une histoire d’amour

Revoir Paris est le nouveau long-métrage d’Alice Winocour, après Proxima en 2019. S’inspirant des attentats du 13 novembre 2015, et du témoignage de son frère, rescapé du Bataclan, on nous raconte l’histoire de Mia, qui 3 mois après un attentat dans une brasserie parisienne, tente de se souvenir, et de réapprendre à vivre. Avec un sujet aussi délicat, que le pays n’a toujours pas digéré (en témoigne le procès des attentats ces derniers mois), le film était attendu au tournant.

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[CRITIQUE] En attendant Bojangles – Un air de conte de fées

Cette adaptation du best-seller d’Olivier Bourdeaut flirte entre la comédie déjantée et le drame tragique, et tient bon grâce à l’énergie des acteurs impliqués. Bien que réaliste par nature, l’histoire dégage un air de conte de fées rêveur, marqué du signe “français” qui implique des qualités au niveau du décor, de l’esthétique et de la mise en scène. En le regardant, on a l’impression de lire un livre pour enfants, mais il s’agit simplement d’une histoire d’amour avec des traces

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[CRITIQUE] Les Enfants des Autres – L’amour d’une belle-mère

Les Enfants des Autres est le nouveau long-métrage de Rebecca Zlotowski, après Une Fille Facile, ou encore Grand Central. Présenté en compétition à la Mostra de Venise, le film raconte l’histoire de Rachel, une femme d’une quarantaine d’années qui voit son espoir de concevoir un enfant s’amenuiser de plus en plus. Elle rencontre Ali, et espère fonder enfin une famille avec lui, et notamment s’intégrer dans son quotidien et celui de sa petite-fille de 4 ans, Leila. Le film traite

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[CRITIQUE] Benedetta – L’émancipation par Verhoeven

Il va sans dire que Benedetta était très attendu. Inspiré du livre original intitulé “Immodest Acts: The Life of a Lesbian Nun in Renaissance Italy” écrit par Judith C. Brown, Paul Verhoeven reprend l’histoire de cette nonne italienne, future abbesse, incarnée par Virginie Efira. Elle allait être vénérée par son entourage pour les miracles attribués à la main de Jésus lui-même, puis chassée et condamnée au bûcher pour saphisme (l’équivalent du lesbianisme aujourd’hui, qui désigne les rapports sexuels entre deux

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[CRITIQUE] Adieu les cons – Attaque semi-frontale sous fond de comédie burlesque

Adieu les cons est un drame comique qui se transforme en un drame romantique inattendu. Avec ses notes automnales, ses dialogues habilement liés et ses blagues réussies, le scénariste et réalisateur Albert Dupontel crée un film émouvant qui aborde les thèmes de la vie, de la mort et de l’amour. Le film suit Suze Trappet (Virginie Efira), une coiffeuse de 45 ans diagnostiquée d’une maladie auto-immune qui lui laisse peu de temps à vivre. Son désir (et maintenant mourant) est

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