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Étiquette : Netflix

CQL'EN BREF

[CQL’EN BREF] Rebel Moon, director’s cut (Zack Snyder)

Zack Snyder n’a jamais réalisé une version longue qu’il ne chérissait pas. Ses œuvres, telles que Watchmen, Batman v Superman et Zack Snyder’s Justice League, illustrent ses ambitions sans bornes. Ces éditions prolongées enrichissent ses films, révélant que l’allongement de la durée est indispensable à sa vision artistique. Les versions étendues de Rebel Moon – Partie 1 : Calice de sang et Partie 2 : La malédiction du pardon, totalisant 6 heures et 17 minutes, ne dérogent pas à cette

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[CRITIQUE] Le Flic de Beverly Hills : Axel F – C’est pas la Foley

Le Flic de Beverly Hills célèbre cette année son quarantième anniversaire, et il est difficile de ne pas être encore aujourd’hui captivé par l’énergie qui se dégage de ce film. Ce polar, quasi inédit à l’époque, se marie habilement à une comédie dans le style du “clash des débraillés contre les snobs”. Par ailleurs, il parvient — peut-être de manière fortuite — à offrir une satire mordante de l’application stricte de la loi. Plus remarquable encore, il met en scène un Eddie Murphy de 23 ans, déjà une étoile montante éblouissante — le film n’aurait simplement pas eu le même impact avec un acteur blanc. Le succès fut colossal, suivi quelques années plus tard par une suite dirigée par un Tony Scott encore avide de succès après Top Gun. À ce stade, Murphy était devenu un véritable phénomène, une star incontestée du cinéma. Le Flic de Beverly Hills II se présente alors comme un hommage flamboyant à l’ego de Murphy, tout en étant un film d’action stylisé et résolument ancré dans les années 80, malgré ses lacunes qualitatives, il reste indéniablement divertissant. Quant au troisième opus réalisé par John Landis en 1994, moins en dire est préférable. Il a en effet, pour ainsi dire, scellé le sort de la franchise pour les trois décennies suivantes.

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[CQL’EN BREF] Rebel Moon : Partie 2 – L’Entailleuse (Zack Snyder)

Plagiat, hommage, contrefaçon, référence… Entre ces mots, un flou qui arrange bien Rebel Moon. À la base, il s’agissait d’adapter Les Sept Samouraïs à la sauce Star Wars. Zack Snyder n’y est parvenu qu’à moitié, puisque sans l’aval de Lucasfilm officiellement. Ce n’est pas faute d’avoir fait du pied à ses dirigeants. Il n’est donc fait nulle mention d’un Empire galactique, de Jedi ou de sabres laser dans cette histoire de paysans rackettés par des vilains de l’espace, mais cette

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CQL'EN BREF

[CQL’EN BREF] Le Salaire de la peur (Julien Leclerq)

Le roman de Georges Arnaud, Le Salaire de la peur, a été adapté au cinéma à deux reprises : d’abord par Henri-Georges Clouzot en 1953, puis par William Friedkin avec Sorcerer en 1977. Malgré ces précédents succès, l’espoir d’une réussite pour la dernière tentative de Julien Leclerq s’avérait mince, étant donné la sensation de déjà-vu qui l’entourait. Malheureusement, cette fois-ci, l’expérience s’avère être un naufrage. Leclerq transpose l’action du roman de l’Amérique latine vers un pays du Moyen-Orient en proie

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[CRITIQUE] La Demoiselle et le Dragon – Comptes tenus

L’inquiétude grandit parmi les esprits quant à l’irruption de l’intelligence artificielle dans le domaine de la création, reléguant ainsi l’homme à un rôle superflu dans le processus de conception de films, d’œuvres artistiques, de musique, et autres. Pourtant, il est possible que cette transition soit déjà plus avancée que nous ne l’admettons. Considérons la dernière super-production de Netflix, véritable monstre de Frankenstein cinématographique, composé de fragments disparates de la culture pop, traités à travers un pipeline numérique qui uniformise tout

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ANALYSE

[ANALYSE] Le Monde après Nous & The Killer – Dosage d’Informations

Le Monde après Nous, la nouvelle production Netflix réalisée par Sam Esmail, narre l’histoire d’une famille qui se retrouve isolée du reste du monde dans un Airbnb. Une nuit, deux individus frappent à leur porte, se présentant comme les propriétaires de la location, et insistent pour y rester, affirmant que la fin du monde est en train de se dérouler. Les vingt-cinq premières minutes du film semblent prometteuses, car elles soulèvent de nombreuses questions. Sont-ils véritablement les propriétaires ? L’apocalypse

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[CRITIQUE] Rebel Moon – Partie Un : L’Enfant de Feu – Les Septs Samour…Aïe.

Dans un univers parallèle où l’éloquence règne en maître et l’esprit brille dans le firmament du récit, voici la conception cinématographique d’un enfant autrefois rejeté de l’univers Star Wars. Ce rejeton, baptisé Rebel Moon – Partie Un : L’Enfant de Feu de Zack Snyder, se présente non pas simplement comme un fragment d’une odyssée techno-fantastique de six heures envisagée, mais comme un vaste tableau où Snyder, tel un maestro, manie une palette de ressources illimitées, s’inspirant de la grandeur des

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[CRITIQUE] Maestro – L’incontournable amour

Dans sa réalisation de Maestro, Bradley Cooper s’est investi dans un défi artistique audacieux : dépeindre avec brio une saga amoureuse tourmentée au cœur de l’existence flamboyante du vénéré Leonard Bernstein. Son dessein ne se limitait point à une simple biographie ; il aspirait à transcender les frontières habituelles pour sonder la trame complexe liant Bernstein à Felicia Montealegre. L’épicentre narratif se concentre sans équivoque sur cette intimité tumultueuse, un choix esthétique défiant les attentes classiques d’un portrait biographique conventionnel.

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Le Monde après nous – Cerf à rien

Le Monde après nous, adaptation par Sam Esmail du roman encensé de Rumaan Alam, s’inscrit dans la lignée des thrillers apocalyptiques, explorant avec une vigueur particulière l’isolement angoissant, tissant des dynamiques humaines au sein d’un cataclysme imminent. Doté d’une distribution éminente, de prouesses visuelles marquantes et d’une mise en scène ambitieuse, ce film nous transporte au cœur d’un groupe en quête de refuge, ignorant que leur monde touche à sa fin. La direction artistique, ingénieuse, exploite astucieusement l’espace confiné de

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[CRITIQUE] Mank – rendez-vous manqué

Mank se distingue singulièrement de l’ensemble de l’œuvre du réalisateur David Fincher. Il nous offre un retour, empreint d’une folie divertissante, vers l’âge d’or du cinéma hollywoodien, en pleine ébullition politique, secoué par des loyautés éprouvées et une propagande insidieuse. Il s’agit d’une déclaration d’amour, non seulement envers les visionnaires de l’industrie cinématographique, mais également envers son propre père. Chaque élément du film est soigneusement façonné, créant une œuvre d’une beauté minutieuse. Cependant, il convient de noter que votre appréciation

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C'est fini, snif