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Étiquette : Épouvante-Horreur

C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] La chute de Dario – Trauma & Le Syndrome de Stendhal

En effet, en art, certaines carrières se distinguent par leur parcours sans faute, que ce soit pour des acteurs, des scénaristes, des cinéastes ou d’autres, où l’on ne peut que louer les choix et les réalisations de ces créateurs. Malheureusement, l’autre versant de la médaille existe également : des réalisateurs renommés, étudiés, ont parfois donné naissance à des œuvres surprenantes, décevantes, qui semblent dépourvues de l’âme et de la signature artistique qui les caractérisent. Si l’on se penche sur le

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Sleep – Nuit de noces

“Quelqu’un réside à l’intérieur.” Ces mots, prononcés avec une précision menaçante, plongent le premier film de Jason Yu, Sleep, dans une atmosphère malicieuse et énigmatique ; car dans le monde des rêves, la notion même de “l’intérieur” demeure énigmatique. Pour le jeune couple formé de Soo-jin (Jung Yu-mi) et de Hyun-soo (Lee Sun-kyun), leur appartement douillet en périphérie de la Corée constitue leur refuge contre les pressions impitoyables de l’économie capitaliste. Une nuit, Hyun-soo, assis droit au pied du lit,

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C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Le Territoire des morts & Survival of The Dead – Les derniers pas d’un Survivant

Le Territoire des morts George A. Romero, bien que souvent crédité comme le pionnier du cinéma de zombie moderne, semble n’avoir guère œuvré à son avancement, du moins si l’on en juge par son Land of the Dead (vf : Le Territoire des morts). Si les zombies revêtent désormais une allure plus terrifiante et que l’horreur s’y fait plus brutale, le récit demeure immuable : une fuite perpétuelle d’êtres humains traqués par des hordes de zombies déambulant avec lenteur. Il

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C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[REVIOWZ] Bone Tomahawk – La fracture et l’anachronisme de Zahler

Le cinéma américain s’est toujours posé en représentation du peuple, qu’on le veuille ou non. Il en découle le genre fondateur qu’on aimerait presque voir renaître sans cesse dès qu’un cinéaste se met à le tuer : le western. Le western est le genre américain par excellence, celui qui s’est posé dès le départ, notamment grâce à l’Histoire des États-Unis, comme un portrait des mythes américains en représentant six grands cycles : le peuplement (Les conquérants d’un nouveau monde, DeMille,

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REVIOWZ IN SHADOWZ

[REVIOWZ] Beaten to Death – Pouvoirs sadiques

Indubitablement, une admiration sincère est portée à l’égard de Shadowz. Cette plateforme délectable nous gratifie d’une panoplie d’œuvres dévolues à l’horreur, au cinéma de genre, à la série B, et à d’autres domaines flirtant avec le macabre, les mystères de l’esprit et la science-fiction. Toutefois, si l’on devait discerner un créneau qui ne retient guère notre attention et qui s’avère éloigné de notre intérêt, il s’agirait sans conteste de ce que l’on qualifie vulgairement de torture porn. Il s’agit là

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Night Swim – pisse In Blumhouse

Un petit bateau électrique se délecte d’une agréable navigation au sein d’une ravissante piscine. Pendant ce temps, une jeune enfant, allongée dans son lit, prête à succomber au sommeil, perçoit le regrettable silence de l’embarcation miniature. Surprise, troublée, elle se décide à vérifier la source du dysfonctionnement et à le réanimer. Il est légitime de s’interroger en premier lieu : quel intérêt cela revêt-il ? Peut-être a-t-il simplement épuisé ses piles ? Et puis, franchement, est-ce réellement crucial ? C’est

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12E PARIS INTERNATIONAL FANTASTIC FILM FESTIVAL​

[CRITIQUE] Vampire Humaniste cherche Suicidaire Consentant – Don du Sang

Sous ce titre long et amusant se cache le premier long-métrage d’Ariane Louis-Seize, réalisatrice québécoise, et sans aucun doute l’un des films les plus remarquables présentés au PIFFF 2023. Comme l’indique son titre, l’histoire suit Sasha, une vampire humaniste qui cherche un suicidaire consentant pour se nourrir sans violence. Elle croise la route de Paul, un adolescent malheureux, désireux de mettre fin à ses jours. Ensemble, ils parcourent la nuit pour que Paul accomplisse ses dernières volontés avant de succomber

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LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Marchands de Douleur & Les Ordres du Mal – Feignantise

Il est regrettable d’observer que les récentes offrandes de Netflix, à savoir Marchands de Douleur et Les Ordres du Mal, se révèlent être encore des échecs cuisants, dépeignant malheureusement des tendances persistantes inhérentes aux productions diffusées sur la plateforme et les plateformes de streaming en général. Pour commencer, en ce qui concerne Marchands de Douleur, il est manifeste que le film pâtit d’une carence flagrante en matière d’originalité et de profondeur. David Yates, renommé pour sa contribution à la saga

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[REVIOWZ] The Sadness – Plaisir de la haine

Le cinéaste canadien de renom, Rob Jabbaz, a donné vie à son tout premier opus cinématographique intitulé The Sadness, dans les magnifiques décors taïwanais. Le film met en scène une distribution exclusivement composée d’artistes taïwanais, et son récit, d’une envergure narrative considérable, a été habilement conçu de manière à transcender toute spécificité nationale ou culturelle. À la lumière des ravages infligés à la civilisation humaine par la pandémie de COVID-19, il devient impérieux de reconnaître que nous sommes sur le

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[RETOUR SUR..] L’Exorciste – Décadence à l’intérieur de l’humain (Festival Lumière 2023)

Pour célébrer le 15e anniversaire du festival Lumière, l’événement profite de l’occasion pour projeter des films emblématiques de son histoire. Notamment, il offre aux spectateurs la chance de redécouvrir ces films sur grand écran. Un de ces films est L’Exorciste dans sa version director’s cut, qui demeure un pilier essentiel du genre horrifique et du drame familial, caractérisé par des ambiguïtés morales profondes. Réalisé par William Friedkin, le film résonne encore aujourd’hui, tant dans la mémoire des personnes qui l’ont

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C'est fini, snif