
Käiro | Lente désintégration
Rétrospective | Käiro de Kiyoshi Kurosawa | 1h58 | Par Axel Errero
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Critique | Chime de Kiyoshi Kurosawa | 0h45 | Par Louan Nivesse
Critique | Heretic de Scott Beck & Bryan Woods, 2024 | Conclave de Edward Berger, 2024 |Par Louan Nivesse |
Critique | Les Maudites de Pedro Martín Calero, 2024 | 1h46 | Vu au PIFFF | Par Alexeï Paire |
Retour sur.. | Vendredi 13 – Chapitre 2 : le tueur du vendredi de Steve Miner | Par Louan Nivesse
Retour sur.. | Vendredi 13 de Sean S. Cunningham | 1h36 | Par Louan Nivesse
Après Terrifier 2, sorti chez nous début 2023 et se terminant sur une fin délirante, Damien Leone nous embarque à nouveau dans cet univers sanglant où sévit le clown psychopathe nommé Art. Les deux premiers opus se déroulaient à Halloween, tandis que celui-ci prend place pendant la période de Noël. Une occasion idéale pour Art de massacrer des enfants, et ce, dès la scène d’ouverture. Cependant, contrairement à l’habituelle boucherie pleine cadre, le cinéaste utilise cette fois le hors-champ et
À l’occasion de la sortie au cinéma de Terrifier 3, le nouveau slasher de Damien Leone, nous avons pu nous entretenir, grâce à la plateforme VOD SHADOWZ et au distributeur ESC Editions, avec Lauren LaVera, interprète de Sienna Shaw, et Olga Turka, Production & Costume Designer du film. Lauren, peut-être avez-vous discuté avec Damien durant le processus, mais en tant qu’actrice, vous êtes-vous inspirée de final girls iconiques comme Laurie Strode ou Sidney Prescott pour donner vie à Sienna ?
Dans un monde où les forêts se consument et où les mers vomissent du plastique, les mythes ancestraux retrouvent une force que la modernité avait étouffée. Ce retour à l’état primal, où l’Homme se voit rappelé à l’ordre par les éléments, devient un cri sourd à l’intérieur de Mother Land. Le cadre de cette fable aux accents presque apocalyptiques ? Une famille déchirée par les tourments de la nature, mais plus encore par ses propres failles. Le long-métrage d’Alexandre Aja
Au cinéma, on affirme souvent que la réinvention l’emporte sur la simple répétition. Le remake américain de l’œuvre danoise Speak No Evil illustre parfaitement les écueils qui surgissent lorsque l’original est pris comme un modèle rigide plutôt qu’une source d’inspiration. Ce projet aurait pu offrir une perspective intéressante sur le passage d’une vision scandinave à une version américaine plus grand public, mais à quel prix ? Reproduire une œuvre étrangère, surtout lorsqu’elle a suscité une forte réaction, est une tentation