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Étiquette : Drame

C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] John McCabe – L’évolution du western (Festival Lumière 2023)

Au Festival Lumière, la programmation de John McCabe de Robert Altman est un grand bonheur, car cela permet d’aborder l’un des films mettant en vedette le plus grand acteur du monde, Warren Beatty. John McCabe est un western réalisé par Robert Altman, une figure majeure du Nouvel Hollywood, célèbre pour des films tels que Le Privé ou Nashville. Avant de réaliser ce western, Altman avait été reconnu l’année précédente pour son célèbre M.A.S.H., lauréat de la Palme d’or à Cannes,

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[CRITIQUE] Le Ravissement – Solitude décomposée

Le premier long-métrage de la réalisatrice et scénariste Iris Kaltenbäck, Le Ravissement (à ne pas confondre avec le dernier Bellocchio), débute de manière assez banale, comportant tous les défauts que l’on est en droit d’attendre d’une première tentative. On y retrouve un synopsis maintes fois vu, traitant des conséquences d’un mensonge, ainsi qu’une voix-off omniprésente qui, en tentant de sur-expliquer, finit par compromettre chaque instant de potentiel suspense. Pourtant, au fur et à mesure que les mois s’écoulent depuis sa

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[CRITIQUE] Mal Viver / Viver Mal – Deux faces d’une même pièce

João Canijo nous offre un diptyque d’une rare envergure artistique avec les films Mal Viver et Viver Mal. Ces deux œuvres se déroulent dans un hôtel portugais en déclin, plongeant profondément le spectateur dans les destins de ses occupants, qu’ils soient membres du personnel ou clients. Ce diptyque se distingue par son habileté subtile à dialoguer et à s’entrelacer. Dans Mal Viver, une immersion intense dans la routine complexe du personnel de l’hôtel est proposée. La mise en scène de

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[CRITIQUE] Flora and Son – Chanter jusqu’au bout du monde

John Carney est un réalisateur dont le nom est indissociable de la musique et de la connexion humaine. Dans Once, la musique sert de langage pour des protagonistes éperdus d’amour. Dans New York Melody, elle ravive la passion de deux étoiles éteintes. Dans Sing Street, elle donne à deux jeunes une voix pour s’exprimer. Flora and Son ne fait pas exception. La musique agit comme un agent de transformation, rapprochant deux personnes vivant à des milliers de kilomètres l’une de

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[CRITIQUE] Entre les lignes – Titre plus qu’honnête

Lorsque la littérature se voit projetée sur l’immense toile cinématographique, elle suscite naturellement des attentes d’une adaptation éclairée, où les mots se muent en images et où les protagonistes se métamorphosent en chair et en os sous les projecteurs. Toutefois, dans le cas de l’adaptation d’une œuvre littéraire, il est impératif de démontrer une sensibilité artistique exceptionnelle, de respecter scrupuleusement l’essence du texte originel et de démontrer la capacité à transcender le verbe écrit pour capturer la quintessence de l’intrigue.

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[CRITIQUE] Venin – Comme un poison dans l’eau

Il est impératif de contextualiser Venin au sein du panorama artistique de Wes Anderson. En effet, ce cinéaste jouit d’une notoriété indéniable en raison de sa signature visuelle distincte et de son approche narrative singulière. À travers des réalisations telles que The Grand Budapest Hotel et Moonrise Kingdom, il a instauré une esthétique aisément reconnaissable. Le court-métrage en question s’inscrit dans cette tradition en tirant parti de décors chatoyants, d’une direction artistique épurée et d’une mise en scène méticuleuse. Cette

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[CRITIQUE] Le Preneur de Rats – Le conte de Dracurat

Wes Anderson nous offre une nouvelle pépite dans son adaptation de l’œuvre de Roald Dahl, intitulée Le Preneur de Rats. Ce court-métrage nous plonge au cœur d’une intrigue sinistre, explorant les abysses les plus sombres de la nature humaine, tout en mettant en scène un dératiseur aux méthodes pour le moins insolites. Dès les premières minutes, il est manifeste que nous évoluons dans un univers qui nous est familier, celui que Wes Anderson a si habilement tissé au fil de

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[CRITIQUE] Le Cygne – Le vilain petit canard

L’univers singulier de Wes Anderson, aisément reconnaissable grâce à sa stylisation visuelle unique et à sa fusion entre la comédie pince-sans-rire et une mélancolie sous-jacente, se révèle d’une manière singulière dans son court-métrage intitulé Le Cygne. Dans cette œuvre, Anderson déroge à sa formule habituelle, offrant un monologue poignant, sublimé par le talent solitaire de l’acteur Rupert Friend. Cette audacieuse initiative nous convie à une immersion profonde dans l’âme du personnage de Peter Watson, un jeune garçon chétif aux prises

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[CRITIQUE] Mystère à Venise – Petits meurtres entre voisins

Au lendemain de la seconde Guerre Mondiale et à la veille de la toussaint, Kenneth Branagh nous plonge dans cette Venise sinistre où il incarne lui-même le personnage phare : Hercule Poirot. Notre cher enquêteur maintenant à la retraire interrompt cette dernière lorsque vient lui rendre visite son amie Ariadne Oliver (interprétée par Tina Fey). Auteure de romans policiers à succès, celle-ci le convainc d’assister à une séance de spiritisme dans l’unique but de démontrer la falsification de cette fameuse séance.

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C'est fini, snif