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Étiquette : Drame

LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Flora and Son – Chanter jusqu’au bout du monde

John Carney est un réalisateur dont le nom est indissociable de la musique et de la connexion humaine. Dans Once, la musique sert de langage pour des protagonistes éperdus d’amour. Dans New York Melody, elle ravive la passion de deux étoiles éteintes. Dans Sing Street, elle donne à deux jeunes une voix pour s’exprimer. Flora and Son ne fait pas exception. La musique agit comme un agent de transformation, rapprochant deux personnes vivant à des milliers de kilomètres l’une de

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Entre les lignes – Titre plus qu’honnête

Lorsque la littérature se voit projetée sur l’immense toile cinématographique, elle suscite naturellement des attentes d’une adaptation éclairée, où les mots se muent en images et où les protagonistes se métamorphosent en chair et en os sous les projecteurs. Toutefois, dans le cas de l’adaptation d’une œuvre littéraire, il est impératif de démontrer une sensibilité artistique exceptionnelle, de respecter scrupuleusement l’essence du texte originel et de démontrer la capacité à transcender le verbe écrit pour capturer la quintessence de l’intrigue.

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[CRITIQUE] Venin – Comme un poison dans l’eau

Il est impératif de contextualiser Venin au sein du panorama artistique de Wes Anderson. En effet, ce cinéaste jouit d’une notoriété indéniable en raison de sa signature visuelle distincte et de son approche narrative singulière. À travers des réalisations telles que The Grand Budapest Hotel et Moonrise Kingdom, il a instauré une esthétique aisément reconnaissable. Le court-métrage en question s’inscrit dans cette tradition en tirant parti de décors chatoyants, d’une direction artistique épurée et d’une mise en scène méticuleuse. Cette

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[CRITIQUE] Le Preneur de Rats – Le conte de Dracurat

Wes Anderson nous offre une nouvelle pépite dans son adaptation de l’œuvre de Roald Dahl, intitulée Le Preneur de Rats. Ce court-métrage nous plonge au cœur d’une intrigue sinistre, explorant les abysses les plus sombres de la nature humaine, tout en mettant en scène un dératiseur aux méthodes pour le moins insolites. Dès les premières minutes, il est manifeste que nous évoluons dans un univers qui nous est familier, celui que Wes Anderson a si habilement tissé au fil de

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[CRITIQUE] Le Cygne – Le vilain petit canard

L’univers singulier de Wes Anderson, aisément reconnaissable grâce à sa stylisation visuelle unique et à sa fusion entre la comédie pince-sans-rire et une mélancolie sous-jacente, se révèle d’une manière singulière dans son court-métrage intitulé Le Cygne. Dans cette œuvre, Anderson déroge à sa formule habituelle, offrant un monologue poignant, sublimé par le talent solitaire de l’acteur Rupert Friend. Cette audacieuse initiative nous convie à une immersion profonde dans l’âme du personnage de Peter Watson, un jeune garçon chétif aux prises

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Mystère à Venise – Petits meurtres entre voisins

Au lendemain de la seconde Guerre Mondiale et à la veille de la toussaint, Kenneth Branagh nous plonge dans cette Venise sinistre où il incarne lui-même le personnage phare : Hercule Poirot. Notre cher enquêteur maintenant à la retraire interrompt cette dernière lorsque vient lui rendre visite son amie Ariadne Oliver (interprétée par Tina Fey). Auteure de romans policiers à succès, celle-ci le convainc d’assister à une séance de spiritisme dans l’unique but de démontrer la falsification de cette fameuse séance.

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La rétrospective KELLY REICHARDT

[RETROSPECTIVE] Night Moves – Des flots sinueux

Une balade en forêt dans Old Joy, l’errance des pionniers dans le désert de l’Oregon dans La Dernière Piste… La nature occupe souvent une place importante dans l’œuvre de Kelly Reichardt. Dans Night Moves, la cinéaste filme le quotidien d’individus qui luttent pour sa protection. Des activistes écologiques organisent l’opération la plus ambitieuse de leur vie : abattre un barrage hydroélectrique qui menace la biodiversité locale. Une mission aux conséquences inattendues qui bouleverse l’équilibre psychologique et moral de certains membres du

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Le Procès Goldman – Être innocent

Le Procès Goldman de Cédric Kahn se dresse tel un phare, éclairant de sa lumière crue les dédales complexes du système judiciaire français des années 70. Dans ce plaidoyer captivant, Kahn nous convie à une réflexion profonde sur la justice, la culpabilité, et les idéaux politiques, tout en dressant le portrait fascinant de Pierre Goldman, un intellectuel engagé et criminel notoire. Le personnage central de ce drame judiciaire, Pierre Goldman, incarne une énigme ambulante, une dualité perpétuelle entre le flambeur

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LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] La Merveilleuse Histoire de Henry Sugar – Retour à la fantaisie

La Merveilleuse Histoire de Henry Sugar, seconde adaptation de Roald Dahl par le talentueux Wes Anderson, nous plonge dans un univers atypique où le réalisme côtoie l’artifice, et où la morale se mêle à la fantaisie. D’emblée, on peut noter que l’intrigue semble tout droit sortie de l’imagination débordante de Wes Anderson lui-même. Benedict Cumberbatch incarne le rôle du richissime Mr. Sugar à la recherche des méthodes d’un gourou pour tricher au jeu, un scénario propice aux mésaventures cocasses. Anderson

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FILMOTHÈQUE DE FILMO

[FILMOTHÈQUE] Blaze – Le feu du dragon

Illustrer une réponse émotionnelle aussi complexe que le traumatisme est une tâche extrêmement difficile. Il n’y a pas de mode d’emploi, pas de codes et de conventions, pas de formule établie pour y parvenir. Cependant, Del Kathryn Barton, peintre double lauréate du prix Archibald et artiste chevronnée dans la création d’œuvres symboliques, riches en couleurs psychédéliques et en détails excentriques, fait de cette exploration sa marque de fabrique dans son audacieux premier long métrage, Blaze. Le film nous plonge dans

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C'est fini, snif