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Étiquette : Années 90

C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] L’Enfer (1994) – Jalousie maladive

L’enjeu était de taille pour Claude Chabrol, réussir à adapter l’inadaptable script et film d’Henri-Georges Clouzot jamais achevé, mettre en scène la folie destructrice de son personnage principal sans tomber dans le ridicule. Puisqu’après tout, il ne s’agit que de conter la descente aux enfers du couple idéal, celui de Paul (François Cluzet) et Nelly (Emmanuelle Béart), après le mariage et la naissance de l’enfant. Non sans quelques maladresses d’écriture, le long-métrage fonctionne parce qu’il est psychologique. Ellipses, coupes et

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[RETOUR SUR] Johnny Mnemonic – Dépoussiérer l’ancien disque dur

Dans un futur dystopique, en cette année 2021, évolue Johnny, incarné par l’éminent Keanu Reeves. Il se distingue en tant que messager, un transporteur doté d’améliorations cybernétiques, s’évertuant à préserver des informations sensibles. Un prestigieux conglomérat pharmaceutique ambigu confie à sa pensée ces précieux documents. Toutefois, la situation s’effrite rapidement, poussant Johnny à trouver un moyen d’évacuer ces données cruciales de son esprit, menacé d’implosion, tandis qu’il est implacablement traqué par le redoutable yakuza et un prêtre cyborg d’une prestance

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[RETOUR SUR] Casino (1995) – Le récit de gangsters le plus passionnant de Scorsese ?

Avec Les Affranchis (1990) et Casino (1995), Martin Scorsese a produit dans les années 1990 deux de ses œuvres les plus raffinées et les plus angoissées puis a également connu un retour à sa meilleure forme après s’être tourné vers différents genres et thèmes au cours de la décennie précédente. Les Affranchis est un film brillant et richement détaillé basé sur l’histoire vraie d’un associé de la mafia devenu informateur, Henry Hill. Il est considéré par beaucoup comme le meilleur

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ANALYSE

[RETOUR SUR..] Princesse Mononoké -Miyazaki, féministe et écologique

Princesse Mononoké est le septième ajout à la filmographie d’Hayao Miyazaki. Il détient également la distinction d’être le film le plus long du réalisateur, avec une durée de 2 heures et 15 minutes, ainsi que le plus sombre. Avant Princesse Mononoké, les films de Miyazaki étaient en grande partie orientés vers un public jeune, tant dans leur réalisation que dans leurs histoires, à l’exception de Nausicaä de la Vallée du Vent et Porco Rosso. Nausicaä a été le premier film

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TOPS

[TOP] La saga Freddy, illusion ou réalité ?

Freddy incarne une icône immuable du septième art, s’élevant dans le panthéon du cinéma d’horreur tel un spectre incontournable, érigé en symbole du slasher, ce sous-genre macabre où sévit un tueur psychopathe, souvent déformé ou masqué, éradiquant méthodiquement une cohorte de jeunes ou d’innocents, usant parfois de l’arme blanche comme d’un sardonique ornement. Pourtant, tel un visage éclairé par les méandres de l’obscurité, sa silhouette iconique, tout comme d’autres franchises illustres de cette ère ténébreuse comme Halloween ou Vendredi 13,

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[CRITIQUE] Barb Wire (1996) – Le plaisir sort de la bouche de Pamela

Il est indéniable de constater que dans les années 90, notamment durant la seconde moitié de cette décennie, les bandes dessinées ont souvent été l’objet d’adaptations cinématographiques. Parmi celles-ci figurent des productions telles que The Mask, Men In Black, Judge Dredd et Spawn, parmi lesquelles se trouve également Barb Wire. Toutefois, malgré les attentes élevées, le succès critique et public de ce dernier s’est révélé en-deçà des espérances. Les producteurs ont misé principalement sur la renommée de son actrice principale,

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