Catégorie : C’ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] The Day the Ponies Come Back – Un Canet dans le Bronx

Jerry Schatzberg, réalisateur américain à la filmographie distinguée, nous livre en 2000 The Day the Ponies Come Back, un récit initiatique dont les échos résonnent entre les rues effervescentes de Manhattan et le Bronx, dépeignant ainsi une Amérique complexe et plurielle. Dans cette œuvre, Daniel Moulin, interprété avec brio par Guillaume Canet, incarne un restaurateur d’instruments de musique en quête de son identité paternelle, un périple qui le conduit à découvrir un New York insoupçonné. À travers une narration riche

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[RETOUR SUR..] Black Moon – Guerre de mondes

La guerre fait rage entre hommes et femmes, et Lily se réfugie dans un manoir à l’abri des coups de feu. Il n’y a pas à dire, Louis Malle s’évertuait à rendre chacune de ses productions plus différente de la précédente. Black Moon ne déroge pas à la règle, sur une relecture plutôt claire des Aventures d’Alice au Pays des Merveilles (1865) jusqu’à la reprise du symbole animal. L’entreprise tient sa force du basculement de tons, passant des exécutions de

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[RETROSPECTIVE] Vanya, 42e rue – L’humain au travers du théâtre

Chaque création tente de trouver son propre chemin narratif, Vanya, 42e rue de Louis Malle se dresse comme un monument à part. Sorti en 1994, il offre une expérience inédite en fusionnant théâtre et cinéma d’une manière jamais vue auparavant. Le réalisateur nous invite à arpenter les rues animées de la Grande Pomme aux côtés des acteurs, pour finalement pénétrer dans un théâtre abandonné où se déroule la répétition de “Oncle Vania” d’Anton Tchekhov. Cependant, au-delà de cette apparente dualité

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[RETOUR SUR..] My Dinner with André – Conversation abstraite

Inspiré des vies de ses acteurs, My Dinner with André déroute et contraste avec le travail antérieur de Louis Malle. Le cinéaste a toujours à cœur de mettre en scène des personnages tourmentés par leurs passions, et il étend ici une conversation entre amis évoquant leur passé et présent professionnel. Les deux ont collaboré à la fin des années 70 en disposant d’un théâtre à New York, tombé dans l’oubli. Les dialogues ont une importance centrale, dans leur tempo rappelant

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[RETOUR SUR..] Adieu ma Concubine – Les amants de l’opéra

Palme d’or ex-aequo en 1993 (avec La Leçon de Piano), Adieu ma Concubine est une fresque historique réalisée par Chen Kaige (Terre Jaune) se déroulant pendant près de 50 ans, traversant la période d’occupation japonaise ainsi que la Révolution Culturelle. On y suit le parcours de Douzi, jeune garçon recueilli par une troupe de théâtre où il apprendra tout l’Art de l’Opéra de Pékin, et se prendra d’affection pour Shitou, un de ses camarades. Une fois devenus adultes, les deux

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[RETOUR SUR..] André Øvredal – Changement mythologique

Pour fêter la sortie du Dernier Voyage du Demeter d’André Øvredal, retour sur ce cinéaste norvégien que nous affectionnons tant. Sa filmographie ne commence véritablement qu’en 2010 avec Troll Hunter, un found footage malin qui suit un chasseur de trolls, dans la Norvège de nos jours. Ce film révèle tout le talent du réalisateur, et surtout il le fait exploser à l’international. C’est d’ailleurs pour cela qu’il réalise ensuite deux films aux Etats-Unis avec The Jane Doe Identity en 2016

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[RETOUR SUR..] Kasaba – Voyage en terre inconnue

Premier long-métrage de Nuri Bilge Ceylan, Kasaba (Petit village) comprend des éléments de son enfance à la campagne dans son village turc. Matérialisant ses souvenirs des années 1970, il filme avec sensibilité la vie qui anime la nature, les animaux et les personnages d’une petite communauté. Quand deux enfants partent rejoindre leur famille après l’école, des confessions se font. Les rêves sont désormais couplés à la réalité des hommes et femmes. Ceylan utilise la nuit en motif esthétique pour appuyer

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[RETOUR SUR..] William Friedkin – Killer Joe, j’irai kalacher sur vos tombes

Ce 7 août 2023, William Friedkin nous a quitté. Après Michael Cimino en 2016, c’est une autre légende du Nouvel Hollywood qui s’éteint. Les auteurs du mouvement sont destinés à disparaître. Nous le savons, nous nous y préparons mais chaque départ reste un crève-cœur. Tant d’œuvres de ces géants ont forgé le goût de cinéphiles sur des décennies. Tourner la page n’en devient que plus amer. L’amour intact, les années passant. A contrario du réalisateur de La Porte du Paradis,

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[RETOUR SUR..] Nosferatu – Immortalité par le cinéma

On ne présente plus Nosferatu (et pourtant, nous allons le faire), le chef d’œuvre de l’expressionisme allemand. Réalisé en 1922 par Friedrich Wilhem Murnau, le film est une adaptation non-autorisée et non-officielle du roman “Dracula” de Bram Stoker. Si l’on décide de vous en parler aujourd’hui, c’est qu’il semble toujours autant d’actualité malgré ses cent-un ans au compteur. Plusieurs remakes ont vu le jour depuis sa sortie, notamment celui de 1979 par Werner Herzog et celui à venir l’année prochaine

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[RETOUR SUR..] La mariée était en noir – Une vision de la vengeance

Une jeune femme, en tenue de mariée, assiste impuissante à l’assassinat d’un homme qui semble être son mari. Cet événement tragique, dont elle ne se remettra pas, la pousse à la vendetta, sur les traces des responsables. Leurs noms, listés, sont rayés une fois leur mort assurée. Ce synopsis, avant d’être remodelé par le dyptique de Quentin Tarantino, est surtout celui de La mariée était en noir de François Truffaut. Sorti en 1968, nous retrouvons dans ce film la « mariée »,

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C'est fini, snif