
Flow, le chat qui n’avait plus peur de l’eau | Cap ou pas cap ?
Critique | Flow, le chat qui n’avait plus peur de l’eau de Gints Zilbalodis, 2024 | Par William Carlier |
Critique | Flow, le chat qui n’avait plus peur de l’eau de Gints Zilbalodis, 2024 | Par William Carlier |
Critique | Noël à Miller’s Point de Tyler Taormina, 2024 | 1h46 | Par Louan Nivesse |
Critique | Juré n°2 de Clint Eastwood, 2024 | Par Alexeï Paire |
Critique | Gladiator II de Ridley Scott, 2024 | Par Louan Nivesse |
Critique | Apple TV+ | Blitz de Steve McQueen, 2024 | 2h00 | Par Louan Nivesse |
Critique | Anora de Sean Baker, 2024| 2h19 | Par Cécile Forbras |
Critique | Smile 2 de Parker Finn, 2024 | 2h12 | Par Louan Nivesse |
Critique | Desert of Namibia de Yoko Yamanaka, 2024 | 2h17 | Par Louan Nivesse |
Critique | The Killer de John Woo, 2024 | 2h05 | Par Louan Nivesse |
L’écran s’allume. Une lumière blanche traverse la salle obscure, et avec elle, le visage de Lee Miller apparaît, fumant une cigarette, l’air absent, comme perdue dans un rêve qu’elle n’aurait jamais voulu faire. Le biopic éponyme d’Ellen Kuras, semble vouloir nous montrer tout ce qu’elle fut : photographe de guerre, muse surréaliste, féministe avant l’heure. Mais très vite, quelque chose cloche. On ne sent pas la chair sous la peau, ni les tremblements d’un corps habité par l’horreur. L’image de