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Auteur : Louan Nivesse

LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Barbare – Comme un mauvais AirBnb

Les cinéastes semblent avoir trouvé leur nouveau mode d’intrigue favori avec d’innombrables films récents (dans de nombreux genres) dont l’histoire se déroule dans des Airbnbs accidentellement réservés en double. Barbare (écrit et réalisé par Zach Cregger, marquant son premier long métrage sans son collaborateur habituel Trevor Moore) pourrait être rempli de plus de folie que tous les autres réunis. Cela est renforcé par le fait qu’il est également imprévisible dans tous les sens du terme, pour le meilleur et pour

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Elvis – Rendre le King encore plus cool

Considéré comme l’artiste de musique solo qui a vendu le plus de disques de tous les temps et comme une figure culturelle unique, la question qui se pose pour tout biopic d’Elvis sur grand écran n’est pas “pourquoi le faire ?” mais “pourquoi cela a-t-il pris autant de temps ?”. Couvrant 30 ans de la vie tragiquement écourtée d’Elvis Aaron Presley, depuis ses premières rencontres avec le gospel et le rhythm & blues jusqu’à sa mort prématurée d’une maladie cardiaque

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PAR SAISONS

[CRITIQUE] Andor – Ce que Star Wars doit être

Critique des 8 premiers épisodes de la série Andor… Sans spoilers. De nos jours, jusqu’à la fin des temps, le sentiment de George Lucas reste que Star Wars est fait pour les enfants de douze ans. Mais au fil du temps, ces enfants deviennent des adultes. En tant qu’adultes, beaucoup d’entre nous peuvent s’accrocher à des choses enfantines sans pouvoir passer à des choses plus matures. Mais je me demande si Star Wars doit être commercialisé indéfiniment auprès des enfants.

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ANALYSE

[ANALYSE] A Girl Walks Home Alone at Night – La femme vampire, une opposition entre la peur et le désir

Avec Twilight, le mythe du vampire s’est enlisé dans une ornière, enterrant ce qui avait été une légende sans fin et richement développée dans un réservoir d’angoisse adolescente et de romance pas très inspirante. On ne pouvait pas s’en vouloir de regarder les vampires avec un sentiment de lassitude. Avec les vampires plus cool que vous de Jim Jarmusch dans Only Lovers Left Alive et A Girl Walks Home Alone at Night d’Ana Lily Amirpour, cependant, 2014 a heureusement marqué

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LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Raymond & Ray – On est clairement mort de rire

Deux de mes acteurs fétiches réunis dans une comédie familiale à rebondissements ? C’est trop pour que je rate ça. Et comme vous le savez, Raymond & Ray s’avère être tout à fait dans mes cordes. C’est le genre de film sur la vie quotidienne qui m’attire souvent. Il ne cherche pas à être innovant et ne prétend pas être quelque chose d’important. C’est un regard simple et concret sur la condition humaine à travers les expériences de deux personnages

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Bros – Les supers maris aux bros

Que ce soit en tant que spectateur ou critique, l’état d’esprit du spectateur n’est presque jamais abordé dans les dialogues. Pourtant, c’est un facteur qui a autant d’impact que tout autre sur le plaisir général de l’œuvre. De la même manière qu’un film amusant, léger et inspirant peut transformer un visage découragé en un sourire heureux, un film lourd, plus lent et contemplatif est également capable de laisser le public réfléchir sérieusement à sa propre vie. Bros appartient au premier

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Hallelujah, Les mots de Leonard Cohen – Un héritage inexploité

Il n’est pas rare que l’ensemble de la carrière professionnelle d’un artiste soit le plus largement compris, ou pourrait-on dire reflété majestueusement, à travers une seule œuvre. Mais ce qui est inhabituel, c’est le cas où le chef-d’œuvre d’un artiste ne trouve qu’un intérêt limité auprès des profanes, avant de bénéficier d’une reconnaissance et d’une popularité croissantes au cours des décennies suivantes grâce au travail d’autres artistes. Le bio-doc Hallelujah – Les mots de Leonard Cohen de Dayna Goldfine et

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C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Malveillance – Sous le lit, un con siège

Un film d’horreur psychologique malade, tordu et cauchemardesque, traversé par des soupçons d’humour noir, Malveillance est un exemple cruel, intense et captivant du genre, absolument impitoyable dans son déroulement et de plus en plus troublant à mesure que l’intrigue progresse. L’histoire de Malveillance suit un concierge d’appartement qui gère sa misérable existence en rendant la vie des autres aussi misérable. Sa dernière cible est une résidente enjouée qu’il a du mal à perturber par rapport aux autres, ce qui l’oblige

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Un Beau Matin – Attendre que le réveil sonne enfin…

Plaignez le pauvre bourgeois parisien bohème, dont la vie n’est remplie que d’appartements remplis de livres, de belles carrières et de proches. Plaignez encore plus les filles des vieux intellectuels parisiens, qui doivent suspendre leurs activités commerciales et artistiques lorsque leurs papas développent la version cinématographique de la vieillesse et de la maladie qui ne nécessite que les soins les plus légers. Mais il faut surtout plaindre les petits amis parisiens de ces filles parisiennes, qui doivent apporter un soutien

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Black Adam – Briser la roche

Il est ardu et laborieux d’aborder la tumultueuse stratégie de la branche DC Comics des Studios Warner. Je vais dès lors m’abstenir de le faire avec superbe. Pour simplifier, depuis l’épique Man of Steel de Zack Snyder, ce dernier était en quelque sorte le maître de cérémonie de cet univers cinématographique, sobrement baptisé le DCEU. Cependant, depuis quelques désaccords notables avec les producteurs, un découpage honteux de son Batman v Superman : L’Aube de la justice et une version malheureuse

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C'est fini, snif