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Auteur : Louan Nivesse

AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Inside – Un voyage à travers les labyrinthes de l’identité

Le film Inside de Bishal Dutta est une œuvre qui tente de revisiter le genre classique de l’horreur en y apportant une perspective rafraîchissante, tout en explorant la richesse du folklore et de l’identité culturelle indienne-américaine. Ce long-métrage, bien que ne révolutionnant pas le genre, nous offre une expérience horrifique intrigante avec des éléments familiers, mais aussi quelques surprises inattendues. REPRÉSENTATION CULTURELLE Dès le départ, Inside se démarque par la présence d’une distribution principalement indienne-américaine, nous offrant ainsi une perspective

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Le Jeu de la Reine – Hey Jude! Don’t make it Law

Le commencement fulgurant du récit de Karim Aïnouz, Le Jeu de la Reine, nous entraîne dans une toile d’intrigues prometteuse où Catherine Parr ourdit secrètement une conspiration avec Anne Askew. Néanmoins, cette trame alléchante s’égare rapidement dans les dédales d’une narration tumultueuse. L’une des principales écueils de ce film réside dans sa propension à semer des intrigues sans les épanouir pleinement. Prenons par exemple le précieux collier que Catherine offre à Anne, une largesse d’une illogique confondante. L’absence d’une explication

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[CRITIQUE] Le Gang des bois du temple – Contempler l’histoire

Lorsqu’on aborde le film Le Gang des Bois du Temple, il est essentiel de reconnaître l’importance centrale de sa lenteur dans la manière dont l’histoire se déploie et dans la façon dont les personnages sont explorés. Cette lenteur cinématographique, loin d’être une simple décision esthétique, joue un rôle fondamental dans l’immersion du spectateur dans l’univers de la banlieue et dans la profondeur de l’expérience émotionnelle qu’il offre. LA PEINTURE DU QUOTIDIEN L’un des aspects les plus captivants de l’œuvre réalisé

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C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETROSPECTIVE] Vanya, 42e rue – L’humain au travers du théâtre

Chaque création tente de trouver son propre chemin narratif, Vanya, 42e rue de Louis Malle se dresse comme un monument à part. Sorti en 1994, il offre une expérience inédite en fusionnant théâtre et cinéma d’une manière jamais vue auparavant. Le réalisateur nous invite à arpenter les rues animées de la Grande Pomme aux côtés des acteurs, pour finalement pénétrer dans un théâtre abandonné où se déroule la répétition de « Oncle Vania » d’Anton Tchekhov. Cependant, au-delà de cette apparente dualité

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[CRITIQUE] Retribution – L’appel trop connu de Liam Neeson

Il est déconcertant de voir comment des cinéastes moyens comme Nimród Antal semblent tomber dans l’oubli de l’originalité et du génie artistique, et se retrouvent à réaliser des films comme Retribution. Ce thriller, ou du moins ce qui prétend en être un, ne fait que creuser davantage le trou dans lequel la filmographie de Liam Neeson s’enlise déjà. Antal, censé être un artisan du cinéma, n’a réussi qu’à reproduire les schémas convenus des films d’action génériques, faisant preuve d’une créativité

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[CRITIQUE] Le Champ des Possibles – La liberté de penser

Le cinéma brésilien s’est toujours illustré par sa capacité à capturer les nuances et les profondeurs de l’expérience humaine, et Le Champ des Possibles réalisé par Aly Muritiba ne fait pas exception à cette règle. À travers une narration habilement divisée en deux parties distinctes, ce film offre une perspective riche et complexe sur les thèmes de l’identité, de la sexualité et de la lutte contre les préjugés. L’ÉVOLUTION Au cœur du long-métrage, l’histoire de Daniel, campé par Antonio Saboia

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FILMOTHÈQUE DE FILMO

[FILMOTHÈQUE] Dreams on Fire – Danse à Tokyo

Dreams on Fire, réalisé par le Canadien basé au Japon Philippe McKie, s’affirme d’emblée comme une œuvre intrigante et fascinante. Il nous raconte l’histoire d’une jeune fille, Yume, qui fuit son domicile pour poursuivre son rêve de devenir danseuse professionnelle à Tokyo. Ce parcours de quête de soi nous plonge dans les méandres de la scène underground de la danse japonaise, mettant en lumière des danseurs, chorégraphes et performeurs locaux, offrant ainsi une vitrine à leurs talents. L’ART DE LA

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[CRITIQUE] Super-bourrés – Juste un doigt

Au cœur de nos traditions, où les lumières de la capitale peuvent facilement éclipser les joyaux régionaux, émerge la comédie régionale. De Bienvenue chez les Ch’tis aux triomphes récents de Les Bodin’s en Thaïlande, Les Déguns 2 ou encore Les Petites Victoires, ces productions rayonnent dans les provinces, mais leur éclat peine à atteindre la capitale. Pourtant, les stéréotypes planent souvent comme une ombre sur ces films, soulevant une question cruciale : peuvent-ils transcender ces clichés tenaces ? C’est dans

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[CRITIQUE] Alam – L’éveil des cœurs sous le souffle du vent

Alam, le premier long-métrage de Firas Khoury, laisse des traînées lumineuses et profondes dans notre conscience collective. Traduit littéralement par « Drapeau » en français, il déploie un drapeau narratif dont les teintes variées composent un portrait captivant d’une jeunesse palestinienne en Israël. À travers des tableaux subtils, Khoury nous guide à travers le tumulte des émotions adolescentes, tout en tissant habilement une toile politique riche de métaphores, où la dualité et le drapeau deviennent le fil conducteur de cette odyssée. L’ÉVEIL

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REVIOWZ IN SHADOWZ

[REVIOWZ] Blood Machines – Un voyage hors du temps

En perpétuelle évolution, le cinéma se caractérise par la diversification des formes narratives et la fusion des frontières entre les différents médias visuels. Dans cette lignée, Blood Machines, l’œuvre audacieuse de Seth Ickerman, Raphaël Hernandez et Savitri Joly-Gonfard, se distingue comme un témoin contemporain de cette révolution. Diffusé sous forme de trois chapitres totalisant cinquante minutes, Blood Machines transcende les limites traditionnelles du cinéma et de la série télévisée pour s’épanouir dans un espace inédit, vibrant entre l’éphémère de l’épisode

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C'est fini, snif