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Étiquette : Willem Dafoe

ACTUALITÉ CINÉMA - EN SALLES, (S)VOD, etc..

[CRITIQUE] Beetlejuice Beetlejuice – Revenu d’entre les vivants

Le fait que Beetlejuice Beetlejuice voit le jour après une décennie de longs-métrages prosaïques – le dernier traversé par un minimum d’espièglerie remonte à 2012, date du remake Frankenweenie – fait forcément passer celui-ci pour une tentative de résurrection désespérée, un réflexe de survie drôlement méta au vu des thématiques du film, mais il n’en est (presque) rien : le film original était à peine dans les salles que Tim Burton toquait déjà à la porte de ses copains scénaristes pour fignoler

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Kinds of Kindness – Yorgos et les Z’Inhumains

Yorgos Lanthimos, souvent qualifié de « fou grec » du cinéma moderne, franchit une nouvelle étape avec Kinds of Kindness. Son style, d’ordinaire incontestablement original et radical, se mue ici en une expérimentation plus ample et labyrinthique, incarnée dans un triptyque audacieusement désordonné où se mêlent perversité et absurdité. La formule intrigante de l’auteur semble être un amalgame de dérision acérée et de défi esthétique, tandis que son œuvre oscille entre les extrêmes de l’excès et de l’étrangeté presque glaciale.

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Pauvres Créatures – Le ridicule peut tuer

Adaptation du roman éponyme d’Alasdair Gray, Pauvres Créatures reprend l’aliénation de l’individu en société contemporaine pour thème principal, couvert dans l’intégralité du cinéma de Yórgos Lánthimos. À la suite du suicide d’une jeune femme enceinte (Emma Stone), le docteur Godwin Baxter (Willem Dafoe) la repêche afin de la faire renaître en lui implantant le cerveau de son bébé. Elle se nommera Bella Baxter, devra apprendre à vivre à leurs côtés sans vouloir découvrir toute la folie de ce grand monde

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La rétrospective LARS VON TRIER

[RETROSPECTIVE] Nymphomaniac – Le beau de la provoc’

Lars von Trier s’est fait un nom dans l’industrie en tant que provocateur, un farceur du plus haut calibre. N’ayant jamais eu peur du tabou, Trier a de nouveau titillé notre imagination tordue avec son gros projet, Nymphomaniac. Nymphomaniac suit l’histoire de Joe (Charlotte Gainsbourg), une sexomane autodiagnostiquée. Prévu à l’origine pour être un seul film, le projet a dû être coupé en deux volumes en raison de son extrême longueur ; chaque volume sert cependant à présenter Joe sous

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51E FESTIVAL LA ROCHELLE CINÉMA (FEMA)

[CRITIQUE] Inside – Enfermé à l’intérieur (FEMA 2023)

Inside, réalisé par Vasilis Katsoupis, est un film qui captive dès les premières minutes. Avec Willem Dafoe dans le rôle principal, le film raconte l’histoire de Nemo, un cambrioleur spécialisé dans le vol d’œuvres d’art, qui se retrouve piégé à l’intérieur d’un luxueux penthouse de New York après une tentative de vol qui tourne mal. Privé de ressources et confronté à un environnement luxueux mais oppressant, Nemo doit faire preuve d’ingéniosité et de créativité pour survivre. Le point fort du

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La rétrospective LARS VON TRIER

[RETROSPECTIVE] Antichrist – Poule, renard, viscère

Lorsqu’on s’intéresse à la filmographie de Lars Von Trier, on ne peut qu’observer les différents thèmes abordés dans ses métrages. Ces leitmotivs sont intrinsèques à ses films et forment une paire. Que ce soit la spiritualité avec la religion ou, ici, deux thèmes qui nous intéressent particulièrement : la culpabilité et la punition. Ils sont omniprésents dans ses films, les personnages établis sont souvent confrontés à des choix moraux et doivent faire face aux conséquences désastreuses de leurs actions. Antichrist

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La rétrospective LARS VON TRIER

[RETROSPECTIVE] Manderlay – Entre paradis perdu et dictature déguisée

Après Dogville (2003), le réalisateur Lars Von Trier pensait à une suite en changeant d’actrice principale pour incarner Grace. Bryce Dallas Howard se substitue donc à Nicole Kidman pour une œuvre développant un peu plus les racines américaines en partant de la discrimination. Manderlay commence directement après les évènements du premier film, où Dogville avait fini en flammes. Grace se retrouve dans la pleine plantation de « Manderlay », découvrant que l’abolition de l’esclavage n’a certainement pas permis la fin de cet

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C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Nicolas Cage, en 50 nuances (ou pas)

Nicolas Cage est l’un de nos acteurs préférés, bien que cela puisse soulever quelques sourcils étant donné la controverse autour de son talent. Pour certains, il est connu pour ses rôles dans des films de série B ou des nanars de toutes sortes (et nous ne pouvons pas les contredire). Pour d’autres, c’est un interprète talentueux qui a travaillé avec des réalisateurs tels que Schrader, les frères Coen, John Woo, Michael Bay, David Lynch, Martin Scorsese, De Palma, et même

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FESTIVAL DE CANNES (2023)

[CRITIQUE] Asteroid City – Désert Andersonien

Deux ans après la sélection en compétition de The French Dispatch, Wes Anderson revient avec un nouveau casting prestigieux pour nous présenter Asteroid City. Réunis dans une petite ville de l’Ouest américain des années 50 pour une remise de prix d’inventions liées à la science spatiale, des parents et leurs enfants se retrouvent confinés contre leur gré après l’apparition d’un alien pendant l’événement… Le précédent film de Wes Anderson contenait trois histoires racontées dans un journal, ce qui, malgré de

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Nightmare Alley – La comédie humaine

Deuxième adaptation du roman écrit par William Lindsay Gresham, le film de Guillermo Del Toro avait de quoi rendre curieux même les plus réticents à son cinéma. S’agissant d’une intrigue de film noir, le cinéaste mexicain devait joindre ses monstres fétiches pour se rallier à sa fibre habituelle. En est-il le cas ? On y suivra le parcours de Stanton Carlisle (Bradley Cooper), jeune arnaqueur embauché pour travailler dans le cirque croisé sur sa route, qui commencera par exercer les spectacles

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C'est fini, snif