Rechercher

Étiquette : Romance

AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] La Passion de Dodin Bouffant – cuisine et sentiments

Présent il y a presque 30 ans pour L’Odeur de la Papaye Verte, pour lequel il a remporté la Caméra d’or à Un Certain Regard, Tran Anh Hung revient cette fois en compétition à Cannes avec La Passion de Dodin Bouffant, un drame romantico-culinaire sur deux cuisiniers hors pairs en France au 19ème siècle. La délicatesse du réalisateur d’À la verticale de l’été se déploie dans ce ballet gastronomique, s’ouvrant sur une longue scène de préparation de plats, presque sans

LIRE LA SUITE »
AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Les Feuilles Mortes – Le Capital

La sortie tant attendue des Feuilles Mortes, à ne pas confondre avec Les Herbes Sèches, est enfin là ! On avait désespéré de pouvoir le découvrir en salles, notamment car Aki Kaurismäki avait annoncé sa retraite en 2017. Mais bon, tout comme Miyazaki, on peut s’attendre à de nombreux « derniers films », ce qui rend tout autant heureux le marketing et le public. Alors maintenant que nous sommes enfin face à ce long-métrage, venant conclure la tétralogie de Kaurismäki sur le monde

LIRE LA SUITE »
AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Jeanne du Barry – Ça sent culotte

Cannes est réputée pour ouvrir son festival avec des films de qualité médiocre, et le rôle de Nicole Kidman en tant que Grace de Monaco en est un exemple emblématique. Le festival a souvent favorisé les œuvres glamour, telles que “Gatsby le Magnifique”, et a montré une certaine préférence pour les productions françaises. Dans cette lignée, le film de Maïwenn, “Jeanne du Barry”, coche les cases du glamour et de l’origine française, mais il peine à se distinguer. L’intrigue nous

LIRE LA SUITE »
AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Ramona fait son cinéma – Moderniser la romance classique

Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi Ramona fait son cinéma2023 a été immédiatement comparé au travail de Greta Gerwig, il rappelle indéniablement Frances Ha2013, mais il contient aussi un énorme esprit hispanique. L’atmosphère qu’il crée, le rythme et l’énergie sont également comparables à ceux de Pedro Almódovar, dont les films contiennent toujours des femmes effervescentes, implacables et inarrêtables. Ramona est incontrôlable et volatile, mais elle est présentée d’une manière qui lui permet d’assumer sa propre sexualité, plutôt que de

LIRE LA SUITE »
AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Kokon – La liberté a des ailes

Un des plus grands plaisirs cinématographiques est de lancer un film sans savoir exactement à quoi s’attendre et de finalement passer un très agréable moment. Pour ce deuxième long-métrage, Leonie Krippendorff signe un coming-of-age movie sans prétention, traitant de son sujet sous la chaleur de l’été berlinois. Si, il en convient, la métaphore de la chenille au papillon n’est pas très subtile, Kokon dégage une atmosphère douce et réconfortante qui plaira aux amateur.rices de films estivaux. Nora, jeune fille timide

LIRE LA SUITE »
AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Le Bleu du Caftan – L’amour dans le travail

Il est rare qu’un film ait la puissance émotionnelle du tranquille et digne du Bleu du Caftan de Maryam Touzani. À première vue, un film sur un maalem marocain, un maître tailleur qui, avec sa femme, prend un nouvel apprenti, ne semble pas être le cadre le plus propice à un drame profond. Pourtant, il y a dans Le Bleu du Caftan (le titre fait référence à un vêtement élaboré que le maalem confectionne sur commande pour un client exigeant)

LIRE LA SUITE »
C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Une question de vie ou de mort – À l’assaut d’une fantaisie utopique

Sorti au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, A Matter of Life and Death (ou Une question de vie ou de mort en version française) jongle entre le monde des morts et celui des vivants mêlant à la fois amour, diplomatie et fantaisie. En mai 1945, lorsqu’un avion anglais touché par l’ennemi et pris par les flammes au large de la Grande Bretagne, ce dernier ne laisse à bord comme seul survivant Peter Carter (incarné par David Niven). Carter parvient

LIRE LA SUITE »
C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Alice n’est plus ici – Psychanalyse d’une femme tourmentée

Présenté au Festival de Cannes 1975 en compétition officielle, Alice n’est plus ici reste un petit film moins populaire que la majorité des succès que Martin Scorsese enchaînera dans sa carrière. Une femme au foyer, Alice Hyatt perd son mari victime dans un accident de circulation lors de son travail. Elle décide de reprendre sa vie en partant en Californie à Monterey pour renouer avec ses talents de chanteuse, afin de subvenir aux besoins de son fils également. Si Martin

LIRE LA SUITE »
FILMS

[CRITIQUE] Et l’amour dans tout ça ? – Love is Love is Love

Et l’amour dans tout ça ? La question est rhétorique, car la réalisatrice de films documentaires Zoe (Lily James) se lance dans un projet d’amour et de mariage heureux. Si cette comédie amusante et pleine d’entrain du réalisateur Shekhar Kapur (Elizabeth) et de la scénariste Jemima Khan n’apporte pas grand-chose de nouveau, elle rappelle chaleureusement au public le pouvoir de l’amour. De toute évidence, l’amour a tout à voir avec ce film. Dans Et l’amour dans tout ça ?, Zoe

LIRE LA SUITE »
AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Empire of Light – Amour, vie et cinéma

Ces deux dernières années, les gens ont été enfermés en raison de la pandémie de Covid-19 et des autres événements de propagation qui ont frappé le monde. Lorsque les confinements ont commencé, les gens sont restés bloqués chez eux, sans pouvoir se rendre dans les endroits qui ont de la valeur dans la vie, comme les salles de concert, les restaurants, et pour beaucoup, dont moi, le cinéma. Le cinéma est l’un des seuls endroits qui nous reste où nous

LIRE LA SUITE »
C'est fini, snif