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Étiquette : Patrick Wilson

C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[REVIOWZ] Bone Tomahawk – La fracture et l’anachronisme de Zahler

Le cinéma américain s’est toujours posé en représentation du peuple, qu’on le veuille ou non. Il en découle le genre fondateur qu’on aimerait presque voir renaître sans cesse dès qu’un cinéaste se met à le tuer : le western. Le western est le genre américain par excellence, celui qui s’est posé dès le départ, notamment grâce à l’Histoire des États-Unis, comme un portrait des mythes américains en représentant six grands cycles : le peuplement (Les conquérants d’un nouveau monde, DeMille,

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[CRITIQUE] Aquaman et le Royaume Perdu – La Dernière Noyade

Il est là, le dernier segment de l’univers cinématographique DC avant la refonte. Le tout dernier bout de la saga dérivée de Man of Steel, puis Justice League, sous la tutelle de Zack Snyder, puis d’un autre. Partie pour être une alternative aux bouffonneries de l’écurie Marvel en soutenant une approche mi-épique, mi-politique du super-héros, la franchise ne lui aura pas tenu tête très longtemps. Un revirement lâche qui explique pourquoi cette entreprise de capes et collants se termine la

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[CRITIQUE] Insidious: The Red Door – Un enfer de famille

La saga Insidious, oscillant entre frissons et incertitudes, a su captiver les spectateurs au fil des années. Avec l’arrivée d’Insidious: The Red Door, réalisé par Patrick Wilson, les attentes étaient grandes quant à cette conclusion tant attendue de l’histoire de la famille Lambert. Cependant, malgré cet engouement, le film laisse un goût amer aux spectateurs. À la fois sur le plan de la réalisation et de l’intrigue, cette cinquième et peut-être dernier opus de la saga manque de panache et

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[CRITIQUE] Moonfall – Transformers dans l’espace

Lorsqu’il est question de films catastrophe, le nom de Roland Emmerich émerge invariablement, porté par une réputation bien méritée. Ce réalisateur a forgé une œuvre emblématique et novatrice dans le genre, de Independence Day à Le Jour d’après, chacun de ses films repoussant un peu plus loin les frontières de l’imaginaire. Toutefois, Moonfall illustre de manière éloquente la possibilité d’aller trop loin dans cette quête de l’extrême, en s’embourbant dans une narration si labyrinthique qu’elle oublie d’être captivante ou divertissante.

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[CRITIQUE] Conjuring : Sous l’emprise du diable – N’est pas James Wan qui veut..

L’affaire “Devil Made Me Do It“, qui donne son nom au troisième volet de la franchise The Conjuring, représente un moment marquant de l’histoire judiciaire américaine. Le 16 février 1981, à Brookfield, dans le Connecticut, Arne Cheyenne Johnson (prétendument sous l’emprise d’un démon qu’il avait invité dans son corps pour libérer David Glatzel, 11 ans, et sa famille) a tragiquement assassiné le propriétaire de son logement, Alan Bono, dans une attaque frénétique au couteau. Retrouvé à trois kilomètres de la

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C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Watchmen – le gardien de l’inadaptable

Watchmen, cette série limitée de bandes dessinées, acclamée par la critique, du tandem créatif composé de l’écrivain Alan Moore et de l’artiste Dave Gibbons, m’a toujours davantage impressionné qu’elle ne m’a captivé. Toutefois, l’empreinte qu’elle a laissée sur l’industrie demeure indéniable. Narrée sur douze numéros parus de septembre 1986 à octobre 1987, Watchmen représente une trame sociopolitique complexe que le réalisateur Terry Gilliam avait autrefois qualifiée d’« inadaptable ». Malgré cela, plusieurs studios tels que la 20th Century Fox, Universal,

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