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Étiquette : Horreur

LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Kingdom: Ashin of the North – Sympathy for the devil

L’univers Kingdom est de retour avec un très agréable cadeau, un épisode spécial dérivé intitulé Kingdom : Ashin of the North, pour vous faire voyager avec les nouveaux personnages alors que nous entrons dans la troisième saison de la série. Depuis sa naissance dans le monde de Netflix, Kingdom s’est imposée comme la meilleure série télévisée de zombies en provenance de Corée. En outre, la série renoue avec le type de narration allégorique inauguré par les films de zombies classiques

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Old – Tout va trop vite, pour le bien commun

Chaque fois que l’on aborde un film du réalisateur controversé M. Night Shyamalan, on se retrouve dans une émeute d’attentes et de rêves déçus. Le réalisateur, après des débuts incroyables sur la scène hollywoodienne, a connu un effondrement qualitatif et, seulement au cours des sept dernières années, une reprise artistique remarquable. Au détriment du résultat final, il est indéniable que l’attention derrière chacun de ses films monte toujours en flèche avec des spectateurs prêts à se laisser emporter par un

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Spirale : L’Héritage de Saw – Torture démodée par Chris Rock et Bouse-man

La franchise Saw a dominé le cinéma d’horreur durant les années 2000, où des personnages abrasifs et affreux reçoivent leur châtiment de manière particulièrement horrible. Le visionnage de ces films se solde souvent par une expérience vide, car les réalisateurs ne laissent jamais assez d’empathie aux spectateurs, et les films semblent prendre plaisir à donner aux méchants une fin macabre. Les studios ont récemment essayé de relancer les franchises des années 2000 avec des personnages sympathiques. Le film de cette

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ANALYSE

[ANALYSE] Salo ou les 120 journées de Sodome – L’autel fasciste

Si vous n’avez pas vu le film, on vous conseille de revenir découvrir cet article plus tard. Attention spoilers. Il existe des films comme Salo ou les 120 journées de Sodome, qui justifient à eux seuls la question de l’analyse : quelle est l’intention de l’auteur, s’agit-il d’un film appréciable ? Des questions que le spectateur est susceptible de se poser, tant l’œuvre de Pasolini reste aujourd’hui un traumatisme de cinéphile. Salo pose la question de l’appréciation de l’Art dans sa représentation

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LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Fear Street – Partie 3 : 1666 – Leigh Janiak trouve son identité dans cette conclusion satisfaisante

Après les films Fear Street Partie 1 : 1994 et Fear Street Partie 2 : 1978, la trilogie d’horreur de Netflix continue avec Fear Street Partie 3 : 1666, qui ramène les spectateurs aux origines de la malédiction de Sarah Fier sur Shadyside et Sunnyvale. Basés sur les romans Fear Street de R.L. Stine, une série dont les thèmes et les histoires sont plus matures que ceux des livres Chair de poule de l’auteur, les trois films de la trilogie

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Titane – L’amour dans la démence sentimentale

Il y a de cela cinq ans, Grave provoquait une renaissance audacieuse dans le paysage cinématographique français. Sous le prisme féministe qu’elle endosse avec maestria, Julia Ducournau se réapproprie ses sources d’inspiration pour conférer à ses longs-métrages une identité intrinsèque. Néanmoins, malgré ma passion indéfectible pour son œuvre inaugurale qui, à l’époque, avait su embraser mon amour pour le cinéma de genre fantastique, ainsi que mon admiration pour David Cronenberg, des incertitudes m’assaillirent à l’égard de Titane. En effet, là

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LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Fear Street – Partie 2 : 1978 – Back to 13th Friday 1970

La deuxième partie de l’ambitieuse trilogie d’horreur “Fear Street” de Netflix est présentée une petite semaine après la sortie du premier film. Celui-ci, raisonnablement intitulé Fear Street – Partie 2 : 1978, comble une grande partie des lacunes du premier film et réussit mieux à mêler nostalgie et narration. Dans le même temps, il se heurte toujours à certains des problèmes qui ont fait que le premier volet ressemblait plus à une imitation de film d’horreur qu’à quelque chose ayant

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LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Fear Street – Partie 1 : 1994 – Premier volet, première ouverture sur un univers richement vide et intriguant

Lorsque je me suis assis pour regarder Fear Street – Partie 1 : 1994, je ne savais pas à quoi m’attendre. J’ai récemment commencé à essayer d’aborder les nouveaux films aussi aveuglément que possible, et j’ai donc délibérément évité une grande partie du marketing de ce film. Je savais qu’il s’agissait d’un film d’horreur surnaturel classé R, basé sur les livres Fear Street de R. L. Stine, et je savais qu’il s’agirait du premier volet d’une trilogie de films Netflix,

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] The Djinn – Conte de fées macabre au pays des cauchemars

L’adage «faites attention à ce que vous souhaitez» prend une menace sinistre dans le domaine de l’horreur. Les souhaits exaucés n’apportent jamais de bonheur et ils ont un prix élevé. Le souhait exaucé se présente souvent sous la forme d’une entité surnaturelle, un génie maléfique ou djinn. Avec The Djinn, l’accomplissement des vœux maudits arrive à un jeune enfant et met en suspens le potentiel d’une autre entrée périmée dans le scénario familier de La Patte de singe (nouvelle de

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28ᵉ FESTIVAL DE GERARDMER (2021)

[CRITIQUE] Teddy – Teen Wolf en campagne

Dans l’incessante valse de la vie, le changement demeure l’unique constante. Cette assertion, bien que simple en apparence, dévoile une complexité abyssale quant aux affres du temps sur nos émotions, notre enveloppe charnelle et notre évolution intérieure. Les récits de lycanthropie, en exploitant la métamorphose physique à dessein thématique, évoquent diverses nuances, mais gravitent tous autour de la perte irrépressible de soi-même, engendrée par les altérations corporelles. Ce sous-genre horrifique, en révélant notre résistance au changement, résonne profondément auprès du

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C'est fini, snif