Étiquette : Horreur

AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Spirale : L’Héritage de Saw – Torture démodée par Chris Rock et Bouse-man

La franchise Saw a dominé le cinéma d’horreur durant les années 2000, où des personnages abrasifs et affreux reçoivent leur châtiment de manière particulièrement horrible. Le visionnage de ces films se solde souvent par une expérience vide, car les réalisateurs ne laissent jamais assez d’empathie aux spectateurs, et les films semblent prendre plaisir à donner aux méchants une fin macabre. Les studios ont récemment essayé de relancer les franchises des années 2000 avec des personnages sympathiques. Le film de cette

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ANALYSE

[ANALYSE] Salo ou les 120 journées de Sodome – L’autel fasciste

Si vous n’avez pas vu le film, on vous conseille de revenir découvrir cet article plus tard. Attention spoilers. Il existe des films comme Salo ou les 120 journées de Sodome, qui justifient à eux seuls la question de l’analyse : quelle est l’intention de l’auteur, s’agit-il d’un film appréciable ? Des questions que le spectateur est susceptible de se poser, tant l’œuvre de Pasolini reste aujourd’hui un traumatisme de cinéphile. Salo pose la question de l’appréciation de l’Art dans sa représentation

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[CRITIQUE] Fear Street – Partie 3 : 1666 – Leigh Janiak trouve son identité dans cette conclusion satisfaisante

Après les films Fear Street Partie 1 : 1994 et Fear Street Partie 2 : 1978, la trilogie d’horreur de Netflix continue avec Fear Street Partie 3 : 1666, qui ramène les spectateurs aux origines de la malédiction de Sarah Fier sur Shadyside et Sunnyvale. Basés sur les romans Fear Street de R.L. Stine, une série dont les thèmes et les histoires sont plus matures que ceux des livres Chair de poule de l’auteur, les trois films de la trilogie

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Titane – L’amour dans la démence sentimentale

Il y a de cela cinq ans, Grave provoquait une renaissance audacieuse dans le paysage cinématographique français. Sous le prisme féministe qu’elle endosse avec maestria, Julia Ducournau se réapproprie ses sources d’inspiration pour conférer à ses longs-métrages une identité intrinsèque. Néanmoins, malgré ma passion indéfectible pour son œuvre inaugurale qui, à l’époque, avait su embraser mon amour pour le cinéma de genre fantastique, ainsi que mon admiration pour David Cronenberg, des incertitudes m’assaillirent à l’égard de Titane. En effet, là

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[CRITIQUE] Fear Street – Partie 2 : 1978 – Back to 13th Friday 1970

La deuxième partie de l’ambitieuse trilogie d’horreur “Fear Street” de Netflix est présentée une petite semaine après la sortie du premier film. Celui-ci, raisonnablement intitulé Fear Street – Partie 2 : 1978, comble une grande partie des lacunes du premier film et réussit mieux à mêler nostalgie et narration. Dans le même temps, il se heurte toujours à certains des problèmes qui ont fait que le premier volet ressemblait plus à une imitation de film d’horreur qu’à quelque chose ayant

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[CRITIQUE] Fear Street – Partie 1 : 1994 – Premier volet, première ouverture sur un univers richement vide et intriguant

Lorsque je me suis assis pour regarder Fear Street – Partie 1 : 1994, je ne savais pas à quoi m’attendre. J’ai récemment commencé à essayer d’aborder les nouveaux films aussi aveuglément que possible, et j’ai donc délibérément évité une grande partie du marketing de ce film. Je savais qu’il s’agissait d’un film d’horreur surnaturel classé R, basé sur les livres Fear Street de R. L. Stine, et je savais qu’il s’agirait du premier volet d’une trilogie de films Netflix,

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] The Djinn – Conte de fées macabre au pays des cauchemars

L’adage «faites attention à ce que vous souhaitez» prend une menace sinistre dans le domaine de l’horreur. Les souhaits exaucés n’apportent jamais de bonheur et ils ont un prix élevé. Le souhait exaucé se présente souvent sous la forme d’une entité surnaturelle, un génie maléfique ou djinn. Avec The Djinn, l’accomplissement des vœux maudits arrive à un jeune enfant et met en suspens le potentiel d’une autre entrée périmée dans le scénario familier de La Patte de singe (nouvelle de

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28ᵉ FESTIVAL DE GERARDMER (2021)

[CRITIQUE] Teddy – Teen Wolf en campagne

Dans l’incessante valse de la vie, le changement demeure l’unique constante. Cette assertion, bien que simple en apparence, dévoile une complexité abyssale quant aux affres du temps sur nos émotions, notre enveloppe charnelle et notre évolution intérieure. Les récits de lycanthropie, en exploitant la métamorphose physique à dessein thématique, évoquent diverses nuances, mais gravitent tous autour de la perte irrépressible de soi-même, engendrée par les altérations corporelles. Ce sous-genre horrifique, en révélant notre résistance au changement, résonne profondément auprès du

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ANALYSE

[ANALYSE] Twin Peaks: Fire Walk with Me – Confronter le double maléfique

Si vous n’avez pas vu la série, on vous conseille de revenir découvrir cet article plus tard. Attention spoilers. De quoi parle Twin Peaks ? Il peut sembler facile de répondre à cette question : le meurtre de Laura Palmer, l’enquête de l’agent du F.B.I Dale Cooper et son acolyte local Harry Truman, la dimension maléfique du Black Lodge, puis les vies des divers personnages de la communauté, continuant tant bien que mal de poursuivre leurs activités. Pourtant, les deux premières saisons

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Freaky – Qui veut être dans le corps de Vince Vaughn ?

Le scénariste-réalisateur Christopher Landon a beaucoup retenu l’attention avec sa comédie d’horreur étonnamment amusante Happy Birthdead et sa suite pas aussi bonne mais toujours divertissante. Bien sûr, ce ne sont pas les premières incursions de Landon dans le genre. Il a écrit le thriller astucieux de 2007 Paranoïak et plusieurs suites de la franchise Paranormal Activity. Mais Happy Birthdead a montré son talent pour mélanger l’horreur et l’humour avec une portion de nostalgie. Le dernier film de Landon, Freaky, tente de

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C'est fini, snif