Rechercher

Étiquette : Film Asiatique

C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] In the Mood for Love (2001) – Un amour indicible

Alors que le magnifique In the Mood for Love ressort en salles dans sa version restaurée 4K, quoi de mieux que de le redécouvrir sur grand écran, véritable film-synthèse du cinéma du réalisateur hong-kongais. D’une tromperie vécue par deux locataires dans le Hong-Kong des années 60s, Wong Kar-wai perçait à jour tous les enjeux d’un engagement, ici du mariage, vécu à la fois comme une trahison et un enfermement psychologique. Puisqu’il n’est question que de cela dans le long-métrage, des

LIRE LA SUITE »
46ᵉ FESTIVAL DE DEAUVILLE (2020)

[CRITIQUE] Minari – American Trime

Au sein du Festival du film de Deauville de cette année, Minari de Lee Isaac Chung s’est imposé comme l’un des récits les plus envoûtants et suscitant le plus de débats. Ce chef-d’œuvre cinématographique a conquis deux prestigieux prix à l’international et a valu à son acteur principal, Steven Yeun, des éloges unanimes. Révélé par son rôle dans The Walking Dead, Yeun, tel une étoile montante, a enchaîné avec brio plusieurs performances remarquables à l’écran, notamment dans Burning, salué par

LIRE LA SUITE »
C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[CRITIQUE] Hospitalité – Parasite serait donc un plagiat ?

Le Japon est une société où les mœurs et le décorum sont tout. C’est bon pour la plupart. La politesse est le pétrole qui fait que la société fonctionne bien. Il a ses problèmes parce qu’il peut s’agir d’un beau vernis utilisé pour dissimuler un comportement malveillant ou pour agir comme un bully forçant les gens à agir de certaines façons. Dans un tel environnement, toutes sortes d’émotions négatives comme la paranoïa et la méfiance peuvent se répandre sous la

LIRE LA SUITE »
LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] New Gods : Nezha Reborn – Le “God Rider” de l’animation chinoise

Ce qu’il faut retenir, c’est qu’il est clair que New Gods : Nezha Reborn fait partie d’un univers plus vaste, le réalisateur Ji Zhao a insufflé de la richesse dans le monde, où les téléspectateurs seront impressionnés par le détail autant que par l’histoire (des rumeurs du deuxième film titre fait également l’actualité). La richesse et la qualité m’ont attiré, car je connais peu le mythe chinois, donc mes expériences ont été principalement de première main. L’agitation de Donghai est

LIRE LA SUITE »
LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Space Sweepers – Le défouloir de science-fiction spacio-coréen ‘made in Netflix’

Netflix lance des longs métrages à la pelle cette semaine, le film The Yin-Yang Master : Dream Of Eternity (qui dure plus de deux heures), le fabuleux Malcolm & Marie et nous avons maintenant le film coréen Space Sweepers qui joue sur une scène similaire que le premier cité. Je ne me plains pas, j’ai toujours aimé une aventure spatiale engageante, et ce film veut s’amuser autant que possible pour le plaisir du spectateur. De plus, cela s’ajoute à la

LIRE LA SUITE »
LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] The Yin-Yang Master: Dream of Eternity – CGI trop généreux et film sans substance, que penser de la nouvelle production chinoise Netflix ?

Il y a beaucoup de positionnements d’histoire dans The Yin-Yang Master: Dream of Eternity, et c’est un léger problème parce qu’il n’a pas besoin d’autant d’exposition. En un mot, l’histoire suit Qingming, également connu sous le nom de maître Yin-Yang, qui jure de faire tomber le serpent maléfique dans la ville impériale après avoir causé des ravages. Le serpent se repose dans une armée comme une coquille, et il y a un soupçon clair de qui est ce personnage dès

LIRE LA SUITE »
28ᵉ FESTIVAL DE GERARDMER (2021)

[CRITIQUE] The Cursed Lesson – Mettre de l’horreur pour pas grand chose

The Cursed Lesson semble effleurer un thème sous-jacent sur l’obsession de la société pour le matérialisme et les apparences, ainsi que sur les efforts déployés par les individus pour s’y conformer. Cependant, pour le discerner, il faut plisser les yeux, sauter quelques logiques et se livrer à une gymnastique mentale exigeante. Le film tente de jongler avec diverses idées sans jamais s’engager pleinement dans aucune. Il semble davantage le produit d’un studio que la vision authentique et singulière d’un réalisateur

LIRE LA SUITE »
ANALYSE

[RETOUR SUR..] Princesse Mononoké -Miyazaki, féministe et écologique

Princesse Mononoké est le septième ajout à la filmographie d’Hayao Miyazaki. Il détient également la distinction d’être le film le plus long du réalisateur, avec une durée de 2 heures et 15 minutes, ainsi que le plus sombre. Avant Princesse Mononoké, les films de Miyazaki étaient en grande partie orientés vers un public jeune, tant dans leur réalisation que dans leurs histoires, à l’exception de Nausicaä de la Vallée du Vent et Porco Rosso. Nausicaä a été le premier film

LIRE LA SUITE »
C'est fini, snif