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Catégorie : C’ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[CRITIQUE] Batman : The Long Halloween, partie 2 – Double face à la psyché

Inspiré de l’histoire emblématique du milieu des années 1990 de Jeph Loeb et Tim Sale, Batman : The Long Halloween, partie 2 reprend alors que le Holiday est toujours en liberté et que Bruce Wayne est sous le charme de la venimeuse Poison Ivy, Batman est introuvable. Libéré par un allié improbable, Bruce découvre rapidement le vrai coupable : Carmine Falcone, l’employeur de Poison Ivy. Le romain, dont les rangs ont été décimés par Holiday et dont les affaires sont

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[RETOUR SUR..] Batman : The Long Halloween, partie 1 – L’inspecteur gadget

Inspiré de l’histoire DC emblématique du milieu des années 1990 de Jeph Loeb et Tim Sale, Batman : The Long Halloween, partie 1 commence par un assassinat perpétré le jour d’Halloween qui incite le jeune justicier de Gotham, Batman, à conclure un pacte avec les deux seuls hommes de loi non corrompus de la ville (le capitaine de police James Gordan et le procureur Harvey Dent) afin d’éliminer le Romain, chef de la puissante et notoire famille criminelle Falcone. Mais

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ANALYSE

[ANALYSE] Les Sept Samouraïs – Le chanbara ultime ?

Akira Kurosawa était un metteur en scène de génie, on le sait. Fervent admirateur du cinéma américain de John Ford et de l’écriture de William Shakespeare, ce n’est pas par hasard qu’il affectionnait tant le genre du chanbara (film de sabre japonais) qui lui permettait de revisiter ses influences majeures (voir les shakespeariens Ran et Le Château de l’Araignée, la mise en scène de John Ford pour les grands angles et la construction des récits) tout en leur apportant sa touche personnelle.

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[RETOUR SUR..] Luke la main froide – La résistance à l’épreuve

Le film de prison regroupe des éléments bien précis, qu’il se concentre entièrement sur le drame ou pas. Luke la main froide reprend la dimension thématique du genre, mais se rapproche surtout de ce que Mervyn Le Roy avait fait, avec Je suis un évadé (1932). Suite au vandalisme effectué de sa part, le vétéran de guerre Luke Jackson doit purger deux ans de prison dans un camp de travail. Il ne souhaite rien d’autre que de vivre comme il

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ANALYSE

[ANALYSE] Ad Astra – Au Cœur de James Gray

« Le futur proche. Une période d’espoirs et de conflits. L’humanité se tourne vers les étoiles pour chercher une forme de vie intelligente et la promesse du progrès. » C’est par ces mots que James Gray ouvre Ad Astra, son septième film, en 2019. Roy McBride, un explorateur de l’espace incarné par Brad Pitt, a pour mission de retrouver son père impliqué dans un projet qui pourrait détruire tout le système solaire. De la Terre à Mars, en passant par la Lune

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[RETOUR SUR..] Suspiria – Goblin pour tous

Après avoir triomphé avec son thriller giallo Les Frissons de l’angoisse, Dario Argento a une nouvelle fois marqué les esprits avec Suspiria, un film d’horreur fantasmagorique devenu culte. L’histoire inventive et délirante d’une cohorte de sorcières dirigeant une école de danse a ensorcelé l’imaginaire du public contemporain et a conquis, rétrospectivement, les critiques, malgré un accueil initial mitigé. Outre ses images surréalistes souvent acclamées et sa palette de couleurs éblouissantes, la partition et les choix musicaux du long-métrage se distinguent

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[RETOUR SUR..] Gerry – Réflexion sur la vie

Gerry est un film complexe. D’une part, il est incroyablement frustrant et ennuyeux, d’autre part, il est étrangement libérateur et vaut la peine d’être gardé en mémoire. Si l’intrigue du film est aussi maigre qu’une piste dans un vaste paysage de néant, la capacité d’indécision du film le plus méconnu de Gus Van Sant appelle à la réflexion. Pour résumer le film, il s’agit de deux hommes, tous deux nommés Gerry, qui partent en randonnée dans des contrées lointaines pour

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[RETOUR SUR..] Vacances romaines (1953) – Je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu

William Wyler s’intéresse de près ou de loin à l’affranchissement des barrières se mesurant à la liberté des personnages convoqués, sous toutes ses formes. Vacances romaines est une occasion parfaite pour affiner cette thématique, sous la présence d’une femme au regard angélique en la personne d’Audrey Hepburn. Ce film est sa révélation, mais surtout il renverra une image assez évidente de la femme-enfant délaissée du palais, découvrant la vie et les réalités du monde moderne. Cette image fut retranscrite dans

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[RETOUR SUR..] Ali – Être un homme libre

On oppose souvent les films d’auteurs aux simples films-commandes des studios. Comme si une commande vaut beaucoup moins, comme si elle ne serait que le fruit d’enjeux commerciaux. Pourtant il existe parfois des œuvres qui seraient a mi-chemin entre ces deux idéologies. Commandées par des studios et pourtant devenues des films d’auteurs. C’est le cas bien évidemment de l’Halloween de John Carpenter : le cinéaste américain va reprendre ce projet d’un tueur masqué pour le faire s’imprégner de toutes ses thématiques

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C'est fini, snif