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Mois : décembre 2023

12E PARIS INTERNATIONAL FANTASTIC FILM FESTIVAL​

[RECAP #6] hitcher & There’s something in the barn (PIFFF)

Dernier jour du festival, et si on aurait bien aimé ne pas manquer le documentaire sur Dario Argento, on va se pencher ici sur les deux dernières séances, avec Hitcher, et le film de clôture. HITCHER, de Robert Harmon (Séance Culte) Le pitch est très simple : un jeune homme qui s’occupe de livrer une voiture de Chicago jusqu’en Californie, prend en stop un type mystérieux, espérant tuer l’ennui du trajet et éviter de s’endormir. L’auto-stoppeur est en réalité un

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12E PARIS INTERNATIONAL FANTASTIC FILM FESTIVAL​

[RECAP #5] The Coffee Table, Zanox, La Maison aux Fenêtres qui rient & Last Straw (PIFFF)

Pour ce cinquième jour du PIFFF c’est 4 films qui vont être traités. Zanox et Last Straw, les deux derniers films présentés en compétition, un film d’horreur italien, La Maison aux Fenêtres qui crient mais on commence par un film espagnol en hors-compétition, The Coffee Table. THE COFFEE TABLE, de Caye Casas (Hors-Compétition) When Evil Lurks était un film hispanique d’une grande violence, physique pour ses personnages et psychologique pour ses spectateurs, ce Coffee Table promettait une expérience similaire. Malheureusement,

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[CRITIQUE] When Evil Lurks – Une bande démo(niaque)

When Evil Lurks avait été présenté comme un feel-bad movie. Un film devant lequel on ne ressortirait pas indemne devant sa grande crudité graphique. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que le film de Demián Rugna tient globalement ses promesses. Comme son nom l’indique, le film nous décrit comment le mal surgit, ici en l’occurrence, dans une petite ville argentine. On suivra Pedro et Jaime, qui vont vivre la propagation du mal dans les alentours. Ils vont être confronté

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C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Le diable probablement – En vol de jeunesse

Robert Bresson disait à propos du Diable probablement qu’il souhaitait retranscrire « une civilisation de masse où bientôt l’individu n’existera plus ». Son cinéma prend soin des vaincus, il leur donne une humanité propre avant la condamnation fatale. Dans ce film, un étudiant parvient à se faire tuer pour ne plus avoir à subir les dégâts de l’individualisme, la destruction de toute notion d’écologie. Son groupe d’amis, très investi dans la lutte pour l’environnement proteste à l’église et contre le capitalisme. Mais

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[RECAP #4] À l’Intérieur, Wake Up & Late Night with the Devil (PIFFF)

À L’INTÉRIEUR de Julien Maury et Alexandre Bustillo (La Séance Culte) Beaucoup de choses positives sur En Boucle [dans le précédent RECAP], pour contrebalancer tout ça, parlons du premier film de Julien Maury et Alexandre Bustillo, qui repassait en séance culte, À l’Intérieur. La hâte pour le voir était grande, puisque le film est comparé à des grands noms du genre français tel Haute Tension ou Martyrs. Fort heureusement je ne suis ni Alexandre Aja ni Pascal Laugier, car je

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Mon Ami Robot – Zootopile

Mon Ami Robot, réalisé par le talentueux Pablo Berger, s’inscrit parmi les œuvres innovantes de cette année, offrant une expérience à la fois visuelle et émotionnelle singulière. Dépourvu de dialogues, il déploie une trame narrative captivante, inspirée de la bande dessinée Robot Dreams de Sara Varon, mettant en scène une touchante amitié entre un chien et un robot. Cette création explore avec délicatesse les thèmes poignants de la perte, de la séparation et de l’espoir, dans un univers où les

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[RECAP #3] En Boucle & Run and Kill (PIFFF)

EN BOUCLE, de Junta Yamaguchi (en compétition) En 2020, Junta Yamaguchi avait surpris avec son premier long-métrage, Beyond the Infinite Two Minutes, qui explorait le concept de boucle temporelle, à travers un seul plan séquence de 71 minutes. Il revient ici avec River (En Boucle), qui parle à nouveau d’une boucle temporelle autour de la même durée. Là où ce qui faisait l’originalité du premier film, voir le futur 2 minutes plus tard à travers un écran, donnait lieu à

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[CRITIQUE] Bâtiment 5 – soudain le vide

Première séquence de Bâtiment 5 : les habitants d’un immeuble HLM dans une cité de la ville de Montvilliers (ville fictive inspirée de Montfermeil) descendent tant bien que mal un cercueil dans des escaliers vétustes alors que l’ascenseur est en panne. Vue comme une puissante scène de solidarité, on ne peut que constater que cette séquence n’est qu’une sombre prophétie quant au talent de Ladj Ly, qui semble déjà s’enterrer. La difficulté d’un second long-métrage après une franche réussite (Les

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[CRITIQUE] Wonka – À ne pas confondre avec le réalisateur d’In the Mood for Love

Ce n’est pas la première fois que l’univers de Charlie et la Chocolaterie est adapté au cinéma. Il y a bien sûr eu la version de 1971 par Mel Stuart, dans laquelle le chocolatier extravagant est interprété par Gene Wilder, mais également une seconde en 2005 par Tim Burton. Dans cette seconde version, Willy Wonka est interprété par Johnny Depp ce qui donne une aura bien plus mystérieuse au personnage. Dans le cadre de cet article je ne m’attarderais que

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[CRITIQUE] Les Trois Mousquetaires : Milady – Épées et disparités

En début d’année, le premier volet du diptyque d’aventure Les Trois Mousquetaires a été dévoilé, réunissant un casting trois étoiles avec François Civil, Vincent Cassel, Pio Marmaï, Romain Duris et Eva Green. Il se concentre sur le personnage de D’Artagnan, offrant un récit riche en enjeux et porteur d’une certaine ambition. Sous la direction de Martin Bourboulon, ce projet s’inscrit dans une volonté de proposer du grand spectacle d’époque “à la française”, à l’instar d’autres productions marquantes des années 2000

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C'est fini, snif