Étiquette : Woody Harrelson

La rétrospective HUNGER GAMES

[RETROSPECTIVE] Hunger Games – Génération Battle Royale

En ouverture de cette rétrospective, il est malheureusement nécessaire de remercier la saga Twilight. Ne soyez pas surpris, car c’est grâce à cette série que la dernière vague de films pour adolescents, aujourd’hui considérée comme culte, a vu le jour. Les années 80 de John Hughes sont révolues, de même que le renouveau du slasher des années 90 et la comédie pour adolescents orientée vers la sexualité des années 2000. Bienvenue dans les années 2010 et leur déferlante d’adaptations de

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Sans Filtre – Shitty Ship

Ruben Östlund ne met pas d’accord son public, qu’il avait un peu offusqué lorsque The Square avait remporté la Palme d’Or. On disait son style irritant, son propos social prétentieux en plus de comporter un semblant d’intrigue assez vide de substance. A bien y repenser, son cinéma s’articule autour d’une idée majeure, désarticuler la structure sociale qui rend prisonnier un personnage principal tout en illustrant les conséquences sur son entourage. La méthode est de nouveau utilisée pour Sans Filtre, quitte

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LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] The Man from Toronto – Rater sa cible

Déposé sur Netflix pour être perdu à jamais dans les algorithmes, le détour par Patrick Hughes de la franchise Hitman & Bodyguard est un film de potes des années 80, ce qui n’est pas forcément une critique, mais dans le cas de The Man From Toronto, un film qui ressemble à un simple scénario dépoussiéré provenant des archives d’un studio défunt, et sauvé uniquement par l’enthousiasme de Kevin Hart. Utilisant un concept amusant mais familier, un concept que Game Night

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Venom : Let There Be Carnage – L’étron, bouffeur de cervelles

Une plaisanterie dénuée de toute pertinence n’a jamais été aussi oppressivement morne. À la décharge du réalisateur Andy Serkis, succédant à Ruben Fleischer, Venom : Let There Be Carnage reprend ce qui a apparemment plu au “grand public” dans le premier opus, malgré son désastre tonal. Il convient de noter que cette fois-ci, l’expérience est délibérément axée sur le style plutôt que sur le chaos confus et déconcertant qui a induit en erreur le public, le faisant croire qu’il était

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47ᵉ FESTIVAL DE DEAUVILLE (2021)

[CRITIQUE] Kate – atomic Winstead

Dans le registre de l’action, un éventail de productions cinématographiques se dessine, mettant en scène des protagonistes évoluant, notamment, en tant qu’assassins en activité ou à la retraite, investis d’une mission qu’ils s’engagent à mener à bien pour diverses raisons. Dans Kate, les réalisateurs ont habilement subverti ce schéma en insufflant à l’intrigue l’urgence d’une échéance imminente : le personnage central, confronté à une fatalité inéluctable, n’a qu’une journée pour accomplir son dessein, rappelant le récent 24h Limit avec Ethan

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