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Étiquette : Tye Sheridan

AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Black Flies – Sombrer en lourdaud

Black Flies, adaptation du roman éponyme de Shannon Burke, s’impose comme une plongée ténébreuse et oppressante dans l’univers impitoyable des secouristes évoluant dans les rues inhospitalières de New York. Le film s’ouvre sur le jeune novice au visage angélique, Ollie Cross (Tye Sheridan), émergeant d’un cauchemar à l’arrière d’une ambulance, pour ensuite plonger directement dans un cauchemar éveillé quelque part entre Brownsville et East New York. Le personnage, qui ressent visiblement un complexe de « Jésus des rues », porte une veste

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FESTIVAL DE CANNES (2023)

[RECAP’] Le Retour, Jeunesse (Le Printemps) & Black Flies (Cannes 2023 – Jour 2)

Jour 2 au Festival de Cannes, avec les projections de 3 films en compétition : Le Retour, de Catherine Corsini, Jeunesse (Printemps), de Wang Bing, et Black Flies de Jean-Stéphane Sauvaire. Le Retour, Catherine Corsini Catherine Corsini revient dans la compétition après La Fracture, une comédie dramatique traitant de la crise des gilets jaunes. Cette fois, avec Le Retour, elle se penche sur un drame familial, celui d’une mère et ses deux filles revenant en Corse des années après la

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LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] The Tender Bar – Une agréable bière pression avec oncle Charlie

Le film The Tender Bar de George Clooney possède, par-dessus tout, un personnage mentor essentiel qui l’emporte sur tout le film. Lorsque les pères habituels sont absents ou inadéquats, les figures paternelles sont incroyablement importantes pour un enfant influençable. Nous en avons déjà vu beaucoup dans des films, mais le personnage de Charlie de Ben Affleck est plus précis et spécial que d’habitude. Lorsqu’il est là à mettre un bras autour d’une épaule ou à mélanger un martini avec une

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47ᵉ FESTIVAL DE DEAUVILLE (2021)

[CRITIQUE] The Card Counter – Le « All-In » de Schrader

« Si ce n’est point pour les deniers sonnants, pourquoi donc s’adonner au jeu ?« , s’interroge-t-on. À cette interrogation, le joueur professionnel William Tell, incarné par l’habile Oscar Isaac, répond d’un ton badin : « Pour égrener les heures monotones« . Ainsi esquissée, sa réplique dresse le portrait de Tell en une figure à la fois téméraire et espiègle, mais également teintée d’une moralité feinte, tandis que son regard impassible se fixe sur celui de son interlocutrice, La Linda, campée par Tiffany Haddish.

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Voyagers – Neil Burger dans toute sa splendeur Sci-fi debilo-ado

Tout ce qui est vieux est finalement nouveau, et le drame de science-fiction fatigant Voyagers n’offre rien de plus que ce cliché. Le cinéaste Neil Burger, qui a réalisé la première adaptation de Veronica Roth, Divergente, revient dans le monde de jeunes adultes avec Voyagers, à ne pas confondre avec Passengers, un autre film de science-fiction où un personnage masculin manipule une femme piégée dans un vaisseau spatial avec lui. Voyagers a la même configuration que tant de films spatiaux,

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