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Étiquette : Slasher

CRITIQUE

[REVIOWZ] Black Christmas – Sang dessus dessous

Les décorations de Noël sont bien visibles sur la maison, le tueur s’approche en point de vue subjectif. Rupture de rythme, nous sommes avec la famille traditionnelle d’une sororité. Qui a laissé la porte ouverte ? Black Christmas s’articule sur la signification des perspectives, laissant les interrogations persistantes sur l’absence des petits amis de cette bande de filles, et des figures protectives du foyer. Pendant cette période de congés scolaires, les filles n’ont plus que cette crainte du retour de l’appel

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C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[REVIOWZ] The House on Sorority Row – Oh mamy met des bleues

LE SLASHER. Genre au combien exaltant lorsqu’il est parfaitement exécuté. Des adolescents insupportables, un personnage survivant auquel on s’attachera, et des meurtres! Des meurtres bien dégueulasses et qui viennent salir la pellicule! Ce genre nous aura tout donné: Tueur d’outre tombe avec Vendredi 13 (1980), tueur des rêves avec Les Griffes de la Nuit (1984), tueur adolescent dans Scream (1996), poupée tueuse avec Jeu d’enfant (1988)… Tueurs de partout et de tout le temps, tueurs increvables même après quatre balles

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Halloween Kills – Nous sommes tous des monstres

Retour politiquement sanglant de Michael Myers dans nos salles de cinéma ! Le peuple en panique ! La mort à nos trousses ! Mélenchon en sueur ! Voilà le vaste programme que nous offre les 105 minutes de ce nouveau volet de la saga. Halloween c’est cette saga au tueur masqué iconique, née dans l’esprit de John Carpenter en 1978. Le film met en scène Michael Myers, surhomme et psychopathe muet, intuable, traquant sans relâche et tuant sans pitié ses

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Scream (2022) – Coupez !

Pour Wes Craven. Une des premières phrases de ce nouveau Scream est « C’est encore Wes qui t’appelle ? ». Mais cette fois le jeu a changé, plus de Wes Craven pour diriger ce nouveau volet de la saga horrifique. À la place du maître de l’horreur, on trouve un duo de réalisateurs composé de Tyler Gilett et Matt Betinelli-Olpin. Et avant même la sortie du film, j’avais trouvé cela très rassurant, tant le duo sait parfaitement travailler ensemble sur

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LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Fear Street – Partie 1 : 1994 – Premier volet, première ouverture sur un univers richement vide et intriguant

Lorsque je me suis assis pour regarder Fear Street – Partie 1 : 1994, je ne savais pas à quoi m’attendre. J’ai récemment commencé à essayer d’aborder les nouveaux films aussi aveuglément que possible, et j’ai donc délibérément évité une grande partie du marketing de ce film. Je savais qu’il s’agissait d’un film d’horreur surnaturel classé R, basé sur les livres Fear Street de R. L. Stine, et je savais qu’il s’agirait du premier volet d’une trilogie de films Netflix,

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Freaky – Qui veut être dans le corps de Vince Vaughn ?

Le scénariste-réalisateur Christopher Landon a beaucoup retenu l’attention avec sa comédie d’horreur étonnamment amusante Happy Birthdead et sa suite pas aussi bonne mais toujours divertissante. Bien sûr, ce ne sont pas les premières incursions de Landon dans le genre. Il a écrit le thriller astucieux de 2007 Paranoïak et plusieurs suites de la franchise Paranormal Activity. Mais Happy Birthdead a montré son talent pour mélanger l’horreur et l’humour avec une portion de nostalgie. Le dernier film de Landon, Freaky, tente de

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