Étiquette : Romance

FILMS

[CRITIQUE] Et l’amour dans tout ça ? – Love is Love is Love

Et l’amour dans tout ça ? La question est rhétorique, car la réalisatrice de films documentaires Zoe (Lily James) se lance dans un projet d’amour et de mariage heureux. Si cette comédie amusante et pleine d’entrain du réalisateur Shekhar Kapur (Elizabeth) et de la scénariste Jemima Khan n’apporte pas grand-chose de nouveau, elle rappelle chaleureusement au public le pouvoir de l’amour. De toute évidence, l’amour a tout à voir avec ce film. Dans Et l’amour dans tout ça ?, Zoe

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Empire of Light – Amour, vie et cinéma

Ces deux dernières années, les gens ont été enfermés en raison de la pandémie de Covid-19 et des autres événements de propagation qui ont frappé le monde. Lorsque les confinements ont commencé, les gens sont restés bloqués chez eux, sans pouvoir se rendre dans les endroits qui ont de la valeur dans la vie, comme les salles de concert, les restaurants, et pour beaucoup, dont moi, le cinéma. Le cinéma est l’un des seuls endroits qui nous reste où nous

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[CRITIQUE] Joyland – Qu’est ce qu’un film important ?

Qu’est-ce qu’un film important ? À quel moment une œuvre passe-t-elle cette fine frontière qui fait d’elle un objet essentiel, important pour les sociétés dans lesquelles elle évolue ? On parle beaucoup actuellement de l’immense paquebot de Cameron, Avatar : La Voie de l’eau, qui révolutionne les technologies de cinéma. Nous pourrions alors penser que c’est ça un film important : un long-métrage qui dépasse toutes les limites fixées auparavant. Et pourtant ce qui fait qu’un film est essentiel est bien plus simple,

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[CRITIQUE] 16 ans –  La tragédie intergénérationnelle

William Shakespeare n’a de cesse d’être adapté et modernisé, dans des contextes, époques ou supports différents. Rien que dans ces dernières années, on a pu découvrir The Tragedy of Macbeth des frères Coen, The Northman de Robert Eggers (réadaptation sous l’ère nordique d’Hamlet) ou encore la version Spielberg de West Side Story, une comédie musicale qui reprend l’histoire du cultissime Roméo et Juliette. Ainsi, quelle fut ma surprise de retrouver les travaux du dramaturge britannique devant 16 ans de Philippe

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[CRITIQUE] Mes rendez-vous avec Leo – Psychanalyse au Formule 1

Une femme d’âge mûr développe une relation inhabituellement intime avec son escorte dans Mes rendez-vous avec Leo, une comédie d’abord légère et franche sur le plan sexuel qui révèle des couches plus intimes à la fin. Cette comédie dramatique de la réalisatrice Sophie Hyde ne semble pas offrir grand-chose de plus que l’évidence au début, mais elle récompense les spectateurs qui s’accrochent. Dans ce qui est essentiellement une pièce de théâtre composée de deux personnages et de trois scènes, Mes

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[CRITIQUE] Mourir à Ibiza – Errance sentimentale

Les écoles de cinéma sont-elles un bon moyen de faire du cinéma ? C’est une question que l’on peut légitimement se poser en vue du nombre plus qu’important d’élèves sortant de ces écoles et du peu de cinéastes qu’on retrouve sur nos écrans. Qu’est-ce que les élèves y apprennent ? Quelles sont les bases qu’ils pourront développer avec leurs propres styles pour créer des œuvres artistiques à la fois accessibles et pertinentes . Est-ce qu’ont leurs apprends à faire partie

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[CRITIQUE] Le monde après nous – Charmante tranche de vie

Tous ceux qui rêvent de la romance de Paris devraient regarder cette adorable histoire d’amour pour se confronter à la réalité. C’est coûteux d’être fauché, surtout à Paris, alors Labidi (Aurélien Gabrelli, tout à fait adorable) traverse une période difficile. Il est tellement fauché que le logement qu’il partage avec son maladroit compère Alekseï (Léon Cunha Da Costa) n’est pas assez large pour accueillir un lit simple, une cabine de douche et une cuisinette. Ils doivent dormir à tour de

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[CRITIQUE] Days – Douce solitude

Après une diffusion discrète sur Arte fin 2020, le dernier long-métrage en date de Tsai Ming-liang a enfin droit à une sortie en salles cette année. Une distribution attendue et méritée puisque son cinéma est tellement axé sur la sensorialité que seul  le grand écran est capable d’en proposer l’expérience totale. Toujours accompagné de son acteur fétiche Lee Kang-sheng, qu’il filme maintenant depuis près de 30 ans (l’évolution de son corps et de son âge est passionnante), il va s’attarder

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C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Bonjour tristesse – L’âge fragile

Réalisé par Otto Preminger, Bonjour tristesse est un film assez unique dans la grande filmographie du cinéaste américain puisqu’il se situe entre le coming of age movie, soit le film sur le passage à l’âge adulte, et le drame tragique. Très peu enthousiaste à l’idée de retranscrire des intrigues conventionnelles, Preminger choisissait le roman de Françoise Sagan qui avait fait scandale à son époque. Pourtant assez éloigné de l’adaptation de Lolita par Kubrick (1962), il est pourtant impossible de ne

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[CRITIQUE] Bones and all – Eat me by your name

La dernière fois que nous avons entendu parler de Luca Guadagnino, c’était en 2020 pour sa mini-série We are who we are diffusée sur HBO. Entre temps, le projet Call me by your name 2 se précise, mettant Elio au centre du récit et excluant celui d’Oliver car pour rappel Armie Hammer – qui campe le rôle d’Oliver – a été accusé de cannibalisme par plusieurs femmes. Le hasard des choses fait que le réalisateur de Call me by your

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C'est fini, snif