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Étiquette : Laetitia Dosch

FESTIVAL DE CANNES (2024)

[CRITIQUE] Le Roman de Jim – Escalade d’émotions

Quand on pense aux frères Larrieu (Arnaud et Jean-Marie Larrieu), on se remémore souvent Tralala, une comédie musicale marquée par une douleur auditive incessante. Quelle surprise donc de découvrir leur dernier film, Le Roman de Jim, un objet de cinéma touchant, sincère et particulièrement doux. Nous y suivons Aymeric (interprété par Karim Leklou), qui retrouve Florence (Laetitia Dosch), une ancienne collègue, par hasard lors d’une soirée à Saint-Claude dans le Haut-Jura. Elle est enceinte de six mois et célibataire. À

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FESTIVAL DE CANNES (2024)

[CRITIQUE] le Procès du Chien – De la Balle !

Pour son premier long-métrage, Laetitia Dosch sort les crocs avec Le Procès du Chien, une comédie politique qui tourne autour d’un procès extravagant visant à déterminer si un chien doit être euthanasié après avoir défiguré une victime. Ce scénario, qui pourrait facilement sombrer dans l’absurde ou rappeler des comédies désuètes comme Les Chèvres ! de Fred Cavayé, est abordé avec une audace certaine. Dosch tente le tout pour le tout pour ancrer ce procès dans la réalité, nous rappelant en

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FESTIVAL DE CANNES (2023)

[RECAP’] Sleep, Un Hiver à Yanji, Project Silence & Acide (Cannes 2023 – Jour 6)

Sixième journée au Festival avec les projections de Sleep, de Jason Yu (Semaine de la Critique), Un Hiver à Yanji d’Anthony Chen (Un Certain Regard), Project Silence de Kim Tae-gon (Hors-Compétition), et Acide de Just Philippot (Hors-Compétition). Sleep, Jason Yu Premier long-métrage de Jason Yu, ancien assistant de Bong Joon-ho, racontant l’histoire d’un homme dont les crises de somnambulisme deviendront extrêmement inquiétantes et dangereuses… On y retrouve Lee Sun-kyun, qui jouait le mari de la famille bourgeoise dans Parasite, et

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Irréductible – Irrésistiblement taquin

Ça ne date pas d’hier d’avoir des comiques français exerçant le lourd métier de metteur en scène. Même si cela ne présage pas du bon, nous devons admettre qu’ils parviennent à apporter un vent frais au paysage cinématographique des comédies “populaires” français. De tête, je peux citer le très agréable Tout le monde debout (premier film de Franck Dubosc) où encore le fendard Fatal de Michaël Youn (qui signera quelques années plus tard le sympathique Divorce Club). Ces diverses comédies

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