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Étiquette : Jesse Eisenberg

La rétrospective KELLY REICHARDT

[RETROSPECTIVE] Night Moves – Des flots sinueux

Une balade en forêt dans Old Joy, l’errance des pionniers dans le désert de l’Oregon dans La Dernière Piste… La nature occupe souvent une place importante dans l’œuvre de Kelly Reichardt. Dans Night Moves, la cinéaste filme le quotidien d’individus qui luttent pour sa protection. Des activistes écologiques organisent l’opération la plus ambitieuse de leur vie : abattre un barrage hydroélectrique qui menace la biodiversité locale. Une mission aux conséquences inattendues qui bouleverse l’équilibre psychologique et moral de certains membres du

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LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] When You Finish Saving the World – Toujours la même galère

Lorsque des acteurs talentueux passent derrière la caméra pour réaliser leurs propres films, l’excitation est souvent à son comble. Dans le cas de Jesse Eisenberg, acteur reconnu pour ses performances dans des films tels que The Social Network et Zombieland, les attentes étaient élevées lorsqu’il a décidé de se lancer dans l’écriture et la réalisation de When You Finish Saving the World. Malheureusement, malgré quelques promesses intrigantes, le résultat final s’avère décevant et laisse un sentiment de manque d’originalité et

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Zack Snyder’s Justice League – on n’était pas prêts

L’odyssée tumultueuse qui se déroule en coulisses derrière Zack Snyder’s Justice League est probablement plus légendaire que tout ce que le cinéaste pourrait concevoir pour l’écran. Depuis la production chaotique de Justice League en 2017 jusqu’à l’essor fulgurant du mouvement #SnyderCut sur les réseaux sociaux, donnant vie à la vision intégrale de Zack Snyder, l’histoire de cette nouvelle épopée de quatre heures est tout à la fois captivante et inédite. L’annonce de la #SnyderCut a immédiatement suscité l’enthousiasme des légions

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46ᵉ FESTIVAL DE DEAUVILLE (2020)

[CRITIQUE] Résistance – Trop de bruit

La résistance se présente sous des auspices si irritants qu’il évoque la puanteur criminalisée de l’année précédente, Harriet. Le film de Jonathan Jakubowicz, bien qu’il n’atteigne pas le degré de ridicule inhérent au scénario et à la qualité feuilleton de Harriet, bouscule des éléments narratifs qui, malgré leur potentiel, s’avèrent discordants. Il s’efforce sans succès de concilier les débuts du légendaire artiste mime Marcel Marceau en tant que jeune acteur avec son rôle essentiel au sein de la résistance française

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