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Étiquette : Animation

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[CRITIQUE] Le Robot Sauvage – Une fable écolo qui fait mouche

Imaginez une île perdue, sauvage, où la nature règne en maître. Pas d’humains, pas de béton, juste la faune, la flore et… un robot. Oui, un robot, échoué sur le rivage comme un artefact d’un autre temps, perdu entre les racines d’arbres centenaires et les cris d’oiseaux marins. Voilà comment DreamWorks nous propose de penser l’écologie aujourd’hui avec Le Robot Sauvage, une fable animée à la fois douce et amère qui met en scène une étrange cohabitation entre la technologie

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[CRITIQUE] Sauvages – Pas d’âge pour l’engagement politique (Annecy Festival 2024)

Située en Asie du Sud-Est et partagée entre les océans Indien et Pacifique, la magnifique île de Bornéo demeure parmi les cinq plus grandes îles de la planète. Elle abrite, au cœur de sa forêt tropicale, une riche biodiversité composée de milliers de plantes et d’espèces animales, mais surtout, le tout dernier chef-d’œuvre de Claude Barras : Sauvages. Le thème de la lutte écologique contre la déforestation en Asie du Sud-Est revient une fois de plus sur nos écrans. Après

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[CRITIQUE] Schirkoa : In Lies We Trust – Utopie en Papier Mâché et Autres Déboires Animés

Curieux projet que Schirkoa : In Lies We Trust, réunissant sous des sacs en papier des figures emblématiques du cinéma français comme Asia Argento et Golshifteh Farahani, ainsi que du cinéma indien avec Karan Johar, l’un des producteurs et réalisateurs les plus influents de Bollywood. En tendant bien l’oreille, on peut même reconnaître la voix de Gaspar Noé. Mais d’où vient cette œuvre ? À l’origine, c’est est un roman graphique. Son créateur, Ishan Shukla, a d’abord réalisé un court-métrage

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CQL'EN BREF

[CQL’EN BREF] Sanatorium under the sign of the Hourglass (Timothy Quay & Stephen Quay)

L’Étrange Festival, qui célèbre cette année sa 30ème édition, est l’un des événements cinématographiques les plus emblématiques de Paris. Depuis trois décennies, il offre aux cinéphiles la possibilité de découvrir ou redécouvrir des films fantastiques, d’horreur et étranges. Mais au-delà de ces explorations cinématographiques, le festival joue également un rôle important en mettant en lumière des films plus anciens, souvent oubliés et peu discutés dans le milieu des passionnés de cinéma. Pour cette édition anniversaire, il prend un tournant inattendu

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[CQL’EN BREF] Moi, moche et méchant 4 (Patrick Delage & Chris Renaud)

Moi, moche et méchant 4 s’affiche comme une tentative désespérée d’exploiter une franchise familiale, rappelant une vache à lait pressée jusqu’à la dernière goutte. Le film s’ouvre sur Gru, toujours incarné par la voix de Gad Elmaleh, embarqué dans une nouvelle aventure rocambolesque. Après avoir capturé l’insaisissable Maxime Le Mal (Alex Lutz), il aspire à une tranquillité familiale. Cependant, l’intrigue, tel un mirage, se dissipe rapidement en pitreries incohérentes. Les personnages sont négligés, et même les enfants adoptés de Gru

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PAR SAISONS

[CRITIQUE] Demon Slayer (Saison 4) – les derniers échauffements

L’adaptation animée de Demon Slayer entame sa dernière course. Elle s’y prépare, du moins. Après trois saisons de combats époustouflants, au cours desquelles la clique de Tanjirō Kamado a épluché autant de démons que de mystères à leur propos, la série fait retourner ce beau monde au stade de l’entraînement en vue d’une guerre totale contre les mangeurs d’hommes. En ce sens, elle ne fait que suivre sa ligne éditoriale : tout shōnen qui se respecte contient sa séquence d’exercice intensif avant le duel final. Rares sont ceux, cependant, qui s’y sont autant attardés, puisque Demon Slayer en fait tout bonnement le tronc de sa quatrième saison. D’ordinaire assez proche de son matériau d’origine (un manga aux cent-cinquante-millions d’exemplaires vendus), pour ne pas dire scrupuleusement fidèle à celui-ci, le programme japonais s’autorise maintenant à improviser, afin que l’échauffement de ses jeunes héros couvre au moins huit épisodes.

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[CRITIQUE] Vice-Versa 2 – Sage mais pas trop

Récemment, il a été confirmé que le studio Pixar développerait de multiples suites aux grands succès de leurs franchises de l’âge d’or. Si Vice-Versa 2 est un prolongement direct du premier film, il convient de s’interroger sur la pertinence de poursuivre ce concept. Après tout, les péripéties des cinq émotions principales abordaient déjà des sujets tels que la dépression et les difficultés de la croissance, des thèmes longuement évoqués dans Toy Story et explorés avec brio dans Vice-Versa. Désormais, Riley

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[CRITIQUE] La Vie, en gros – Le poids de l’amour (Annecy Festival 2024)

À l’aube de l’adolescence, Ben découvre l’amour pour Claire au collège, mais doit aussi faire face à son poids, classé comme obèse de catégorie 2. Adapté du livre de Mikaël Ollivier, “La Vie, en gros”, le film aborde les défis de l’acceptation de soi avec justesse mais peine à éviter les stéréotypes, malgré des moments touchants.

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[CRITIQUE] The Glassworker – L’amour à bout de souffle (Annecy Festival 2024)

Entouré de mille et une œuvres d’art en verre soufflé, Vincent grandit dans l’équilibre instauré par son père, partagé entre l’art et le deuil de sa mère. Fils d’un souffleur de verre et élevé dans la boutique la plus populaire du pays, le jeune homme se passionne pour ce métier et, avec le temps, dépasse même le talent de son géniteur. Tout droit venu d’Asie du Sud, The Glassworker participe à la compétition des longs-métrages de la catégorie Contrechamp. Usman

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[CRITIQUE] Pelikan Blue – Renaissance d’une Europe utopiste (Annecy Festival 2024)

Au lendemain de la chute du mur de Berlin, après une longue séparation bipolaire du monde, tout semble à nouveau possible. La découverte de l’extérieur, que les plus jeunes et les plus audacieux n’ont jamais connue, s’offre à eux. Mais le voyage a un coût, et tout le monde ne peut pas se le permettre. Dans un terrible contexte de guerre froide, résultant du conflit le plus meurtrier, la séparation du monde en deux pour l’Europe de l’Est impacte fortement

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C'est fini, snif