
Anora | Sous les paillettes, l’espoir vacille
Critique | Anora de Sean Baker, 2024| 2h19 | Par Cécile Forbras |
Critique | Anora de Sean Baker, 2024| 2h19 | Par Cécile Forbras |
Critique | Smile 2 de Parker Finn, 2024 | 2h12 | Par Louan Nivesse |
Focus | Aggro Dr1ft d’Harmony Korine, 2024 | 1h20 | Par Julien Homere |
Critique | Desert of Namibia de Yoko Yamanaka, 2024 | 2h17 | Par Louan Nivesse |
Critique | Phenomena de Dario Argento, 1985 | 1h57 | Par William Carlier |
Critique | The Killer de John Woo, 2024 | 2h05 | Par Louan Nivesse |
Retour sur.. | Vendredi 13 – Chapitre 2 : le tueur du vendredi de Steve Miner | Par Louan Nivesse
L’écran s’allume. Une lumière blanche traverse la salle obscure, et avec elle, le visage de Lee Miller apparaît, fumant une cigarette, l’air absent, comme perdue dans un rêve qu’elle n’aurait jamais voulu faire. Le biopic éponyme d’Ellen Kuras, semble vouloir nous montrer tout ce qu’elle fut : photographe de guerre, muse surréaliste, féministe avant l’heure. Mais très vite, quelque chose cloche. On ne sent pas la chair sous la peau, ni les tremblements d’un corps habité par l’horreur. L’image de
Retour sur.. | Vendredi 13 de Sean S. Cunningham | 1h36 | Par Louan Nivesse
Sous le ciel de Paris, voilé de brumes, une silhouette marche. Elle vacille entre les ombres, guidée par une soif d’absolu qui la brûle de l’intérieur. C’est 1952, et Niki Mathews est femme, mère, mannequin ; elle se déplace avec l’élégance apprise, mais chaque pas la rapproche d’un abîme où se mêlent la douleur et l’envie de renaître. Dans ce silence glacé, Céline Sallette ouvre Niki, son premier film en tant que réalisatrice, et choisit de capturer ce moment où