Rechercher

Catégorie : C’ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Luke la main froide – La résistance à l’épreuve

Le film de prison regroupe des éléments bien précis, qu’il se concentre entièrement sur le drame ou pas. Luke la main froide reprend la dimension thématique du genre, mais se rapproche surtout de ce que Mervyn Le Roy avait fait, avec Je suis un évadé (1932). Suite au vandalisme effectué de sa part, le vétéran de guerre Luke Jackson doit purger deux ans de prison dans un camp de travail. Il ne souhaite rien d’autre que de vivre comme il

LIRE LA SUITE »
ANALYSE

[ANALYSE] Ad Astra – Au Cœur de James Gray

« Le futur proche. Une période d’espoirs et de conflits. L’humanité se tourne vers les étoiles pour chercher une forme de vie intelligente et la promesse du progrès. » C’est par ces mots que James Gray ouvre Ad Astra, son septième film, en 2019. Roy McBride, un explorateur de l’espace incarné par Brad Pitt, a pour mission de retrouver son père impliqué dans un projet qui pourrait détruire tout le système solaire. De la Terre à Mars, en passant par la Lune

LIRE LA SUITE »
C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Suspiria – Goblin pour tous

Après avoir triomphé avec son thriller giallo Les Frissons de l’angoisse, Dario Argento a une nouvelle fois marqué les esprits avec Suspiria, un film d’horreur fantasmagorique devenu culte. L’histoire inventive et délirante d’une cohorte de sorcières dirigeant une école de danse a ensorcelé l’imaginaire du public contemporain et a conquis, rétrospectivement, les critiques, malgré un accueil initial mitigé. Outre ses images surréalistes souvent acclamées et sa palette de couleurs éblouissantes, la partition et les choix musicaux du long-métrage se distinguent

LIRE LA SUITE »
C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Gerry – Réflexion sur la vie

Gerry est un film complexe. D’une part, il est incroyablement frustrant et ennuyeux, d’autre part, il est étrangement libérateur et vaut la peine d’être gardé en mémoire. Si l’intrigue du film est aussi maigre qu’une piste dans un vaste paysage de néant, la capacité d’indécision du film le plus méconnu de Gus Van Sant appelle à la réflexion. Pour résumer le film, il s’agit de deux hommes, tous deux nommés Gerry, qui partent en randonnée dans des contrées lointaines pour

LIRE LA SUITE »
C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Vacances romaines (1953) – Je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu

William Wyler s’intéresse de près ou de loin à l’affranchissement des barrières se mesurant à la liberté des personnages convoqués, sous toutes ses formes. Vacances romaines est une occasion parfaite pour affiner cette thématique, sous la présence d’une femme au regard angélique en la personne d’Audrey Hepburn. Ce film est sa révélation, mais surtout il renverra une image assez évidente de la femme-enfant délaissée du palais, découvrant la vie et les réalités du monde moderne. Cette image fut retranscrite dans

LIRE LA SUITE »
C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Ali – Être un homme libre

On oppose souvent les films d’auteurs aux simples films-commandes des studios. Comme si une commande vaut beaucoup moins, comme si elle ne serait que le fruit d’enjeux commerciaux. Pourtant il existe parfois des œuvres qui seraient a mi-chemin entre ces deux idéologies. Commandées par des studios et pourtant devenues des films d’auteurs. C’est le cas bien évidemment de l’Halloween de John Carpenter : le cinéaste américain va reprendre ce projet d’un tueur masqué pour le faire s’imprégner de toutes ses thématiques

LIRE LA SUITE »
ANALYSE

[ANALYSE] Pat Garrett et Billy le Kid – Apprendre à faire le deuil

Après le succès des Chiens de paille ou encore de Guet-apens, Peckinpah revient à son genre de prédilection, le western, cette fois-ci en reprenant le mythe américain du shérif Pat Garrett et du bandit Billy The Kid. Avec James Coburn (Pat Garrett) et Kris Kristofferson (Billy) dans les premiers rôles, le film intrigue surtout à sa sortie pour sa bande originale, spécialement composée par Bob Dylan, qui tient son premier rôle au cinéma, incarnant Alias, compagnon de route de Billy. 

LIRE LA SUITE »
ANALYSE

[ANALYSE] Le jour se lève – Social et politique

Considérés comme l’âge d’or du cinéma français, les années 1930 ont vu émerger de nombreux réalisateurs de talent tels que Jean Renoir, Jean Grémillon, Julien Duvivier ou encore Marcel Carné, qui nous intéresse aujourd’hui. Sorti en juin 1939 en France, Le Jour se lève signe la quatrième collaboration entre Carné et Prévert, à qui l’on devait un an auparavant les dialogues du sublime Quais des Brumes dont la réplique “T’as de beaux yeux tu sais” est aujourd’hui inscrite au rang de

LIRE LA SUITE »
C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Hurlements – Créer un récit au suspense palpitant

Compte tenu du nombre de films d’horreur des années 1980 qui font la part belle au sang et au gore dès la première image, les rares films qui ne le font pas ne peuvent que se démarquer. Ce qui est drôle, c’est que ces derniers sont ceux que je n’aimais pas quand j’étais enfant. Je me souviens avoir regardé Hurlements de Joe Dante il y a plusieurs années à la télévision et avoir pensé que c’était trop ennuyeux pour avoir

LIRE LA SUITE »
ANALYSE

[ANALYSE] La Communion – La grâce éternelle

2019 fut une année fructueuse pour le cinéma, conjuguant succès critiques et commerciaux, avec des œuvres telles que Parasite de Bong Joon-ho, Once Upon A Time in Hollywood de Tarantino ou encore Les Misérables, de Ladj Ly. Mais cette abondance de film en occulta d’autres et La communion, ou Boże Ciało en polonais (qui signifie littéralement Corpus Christi en polonais – d’où le titre anglais – soit le corps du christ en latin) fait parti de ces films reclus. Alors

LIRE LA SUITE »
C'est fini, snif