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Auteur : Louan Nivesse

C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Annie Hall – L’histoire d’une relation ratée

Sorti en septembre 1977 (il y a 45 ans cette année), Annie Hall était le film le plus important de Woody Allen. Huitième film d’Allen en tant que réalisateur, sur un total de près de cinquante, Annie Hall est l’histoire d’une relation ratée, du point de vue regretté de l’homme dans cette relation. Mais c’est bien plus que cela, il englobe les points de vue d’Allen sur tout, de l’identité juive à sa haine de Los Angeles en passant par

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[CRITIQUE] Tic et Tac, les rangers du risque : le film – Qui veut la peau d’Alvin et les Chipmunks

Le duo de choc préféré de tous est de retour dans Tic et Tac, les rangers du risque : le film. Ce film n’est pas vraiment un reboot, mais plutôt un aperçu des coulisses de la « vraie » vie de Chip et Dale. Pensez à la rencontre de Qui veut la peau de Roger Rabbit et de Space Jam : Nouvelle Ère. Le film est rempli à ras bord de caméos qu’il est amusant de repérer dans presque toutes les scènes.

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[CRITIQUE] The Duke – En cœur et en charme

Dernier long métrage du célèbre cinéaste britannique Roger Michell, The Duke offre une parenthèse appropriée à la carrière d’une force sous-estimée du cinéma britannique. Avec les vétérans Jim Broadbent et Helen Mirren, The Duke raconte l’histoire vraie de Kempton Bunyon (Broadbent), un retraité politiquement actif et un excentrique charmant qui se retrouve en procès pour avoir volé le portrait du duc de Wellington par Francisco de Goya. Sa femme Dorothy (Mirren), toujours exaspérée, et son fils Jackie (Fionn Whitehead) sont

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[CRITIQUE] Nitram – Silence inconfortable

Justin Kurzel continue de s’intéresser aux personnages tristement célèbres de notre histoire avec Nitram, un voyage inconfortable aux côtés de l’un des plus célèbres tueurs de masse de l’histoire australienne. La capacité de Kurzel à créer une atmosphère inhospitalière qui ne semble se calmer que dans la douleur n’est pas seulement étouffante, elle est carrément exaspérante. Ce n’est pas le cas du film lui-même, dont la performance centrale et le niveau élevé de tension placent le spectateur dans la peau

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[CRITIQUE] Les Passagers de la nuit – Observation et contemplation

Le cinéaste Mikhaël Hers, ayant scruté avec acuité les trajectoires de ses personnages après des pertes déstabilisantes telles qu’illustrées dans son précédent film Amanda en 2018, déploie une tendresse similaire et s’attarde sur les lueurs d’espoir dans Les Passagers de la nuit. L’événement catalyseur de cette histoire réside dans l’abandon subi par une femme, contrainte d’élever ses enfants adolescents sans soutien financier, un récit empreint d’une transparence émotionnelle saisissante, incarnée par la talentueuse Charlotte Gainsbourg. Malgré quelques écarts stylistiques parfois

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[CRITIQUE] Varsovie 83, Une affaire d’état – Des promesses futures

Bien que le réalisateur Jan Matuszyńki souligne que Burn After Reading a eu une influence marquante sur son deuxième film, Varsovie 83 – Une Affaire d’État, celui-ci ne se révèle guère humoristique au-delà de ses cinq premières minutes. Suite à la tragique disparition de l’étudiant en art Grzegorz Przemyk dans un poste de police de Varsovie en 1983, le long-métrage se déploie tel un drame historique, dénonçant les injustices du régime communiste, tout en offrant une réflexion subtile sur le

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[CRITIQUE] Le Roi Cerf – Retranscription Cer(f)tifiée

La série de romans fantastiques écrite par Nahoko Uehashi, Le Roi Cerf, est portée à la vie par Production I.G, la société de production à l’origine de Ghost In The Shell. Une maladie mortelle, la maladie du loup noir, sévit dans un pays récemment ravagé par la guerre. Il y a deux peuples principaux, l’empire zolien et les Aquafais, et pour une raison quelconque, cette maladie ne touche que Zol. Nous suivons l’histoire de la survie de deux des seules

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[CRITIQUE] La Colline où rugissent les lionnes – Vraiment des reines

La Colline où grondent les lionnes marque le début de Luàna Bajrami en tant que réalisatrice, cette jeune actrice franco-kosovare qui a captivé le public international sous le nom de Sophie dans Portrait de la jeune fille en feu de Céline Sciamma. Le récit dépeint l’histoire de trois jeunes femmes, Qe, Jeta et Li, et de leur combat pour se libérer des contraintes provinciales. Quand elles ne conversent pas sur une colline ou ne flânent pas sur la terrasse délabrée

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[CRITIQUE] La Gravité – Ce n’est pas grave

Dans La Gravité, un petit film de banlieue standard mélangé à de minces éléments de science-fiction, qui, malgré ses efforts pour réinventer les codes du genre, semble tout à fait banal. Un pas en avant quelque peu ambitieux pour le cinéaste franco-burkinabé Cédric Ido, le film fait miroiter une poignée de thèmes sur la loyauté et la fraternité au sein de la classe marginale, mais ne s’y engage jamais suffisamment pour avoir quelque chose de pertinent à dire. Les temps

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[CRITIQUE] Hit The Road – « Tel père, tel fils »

Panah Panahi, le fils du célèbre réalisateur iranien Jafar Panahi. Après avoir obtenu son diplôme de l’Université d’art de Téhéran, Panahi a d’abord travaillé comme assistant opérateur et réalisateur sur de petites productions, où il a ensuite collaboré avec son père dans différents rôles de consultation et de rédaction. Avec Hit The Road, fruit d’années de détermination et de travail acharné, Panahi junior s’est enfin libéré de l’étiquette condamnée qui lui avait été prescrite à la naissance. Son premier long

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C'est fini, snif