Résultats de la recherche pour : slasher

C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Smooth Talk – Loup y-es tu ?

Le cinéma est un art impitoyable, tant pour ceux qui le font que pour ceux qui le regardent. C’est un domaine et une industrie en perpétuel mouvement, sources à la fois d’innovations et de frustrations artistiques et technologiques. Un(e) cinéphile avance donc dans un cimetière qui ne dit pas son nom, conscient(e) à la fois de ce qui est et ce qui aurait pu être au moment du tournage et à la sortie du projet. Pour preuve, le patrimoine mondial

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[RETOUR SUR..] La chute de Dario – Le Sang des innocents & Card Player

Le terme italien “giallo” désigne à la fois la couleur “jaune” et un genre de film luride qui, inspiré par la série de romans italiens sensationnalistes aux manches jaunes caractéristiques, regorge de masques, de meurtres et de macabre. Bien qu’il ait ouvert la voie au genre du slasher, les gialli italiens étaient bien plus intensément baroques que leurs homologues américains. Si certains réalisateurs ont marqué ce genre, tels que Mario Bava, Lucio Fulci et Sergio Martino, le roi incontesté du

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12E PARIS INTERNATIONAL FANTASTIC FILM FESTIVAL​

[RECAP #4] À l’Intérieur, Wake Up & Late Night with the Devil (PIFFF)

À L’INTÉRIEUR de Julien Maury et Alexandre Bustillo (La Séance Culte) Beaucoup de choses positives sur En Boucle [dans le précédent RECAP], pour contrebalancer tout ça, parlons du premier film de Julien Maury et Alexandre Bustillo, qui repassait en séance culte, À l’Intérieur. La hâte pour le voir était grande, puisque le film est comparé à des grands noms du genre français tel Haute Tension ou Martyrs. Fort heureusement je ne suis ni Alexandre Aja ni Pascal Laugier, car je

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La rétrospective HUNGER GAMES

[RETROSPECTIVE] Hunger Games – Génération Battle Royale

En ouverture de cette rétrospective, il est malheureusement nécessaire de remercier la saga Twilight. Ne soyez pas surpris, car c’est grâce à cette série que la dernière vague de films pour adolescents, aujourd’hui considérée comme culte, a vu le jour. Les années 80 de John Hughes sont révolues, de même que le renouveau du slasher des années 90 et la comédie pour adolescents orientée vers la sexualité des années 2000. Bienvenue dans les années 2010 et leur déferlante d’adaptations de

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[RETOUR SUR..] Christine – Dans l’Antre de Carpenter

En l’an de grâce 1983, Stephen King avait déjà conquis le statut d’auteur fantastique le plus éminemment vendu sur le sol américain. Les frénésies nées de ses créations avaient profondément enraciné leur emprise dans le paysage cinématographique américain. Les adaptations de son œuvre s’enchaînaient sans relâche, tissant une toile d’influence à travers l’industrie. Il convient de rappeler les métrages tels que Carrie au bal du diable (1976) de Brian de Palma, The Shining (1980), suivi de Creepshow (1982), où les

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Fitting In – Lindy au bal du diable

Fitting In est une comédie au style de teen movie qui narre l’histoire d’une adolescente aux prises avec des problèmes médicaux. En effet, n’ayant jamais eu ses règles et souffrant d’une absence d’organes génitaux, elle doit faire face à divers ennuis, tant sur le plan médical que sentimental. Dans cet article, je ne vais pas critiquer le film dans son ensemble, mais plutôt me concentrer sur une séquence en particulier, que je trouve particulièrement intéressante en raison des paradoxes qu’elle

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[RETOUR SUR..] Nosferatu – Immortalité par le cinéma

On ne présente plus Nosferatu (et pourtant, nous allons le faire), le chef d’œuvre de l’expressionisme allemand. Réalisé en 1922 par Friedrich Wilhem Murnau, le film est une adaptation non-autorisée et non-officielle du roman “Dracula” de Bram Stoker. Si l’on décide de vous en parler aujourd’hui, c’est qu’il semble toujours autant d’actualité malgré ses cent-un ans au compteur. Plusieurs remakes ont vu le jour depuis sa sortie, notamment celui de 1979 par Werner Herzog et celui à venir l’année prochaine

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] La Maison du Mal – Métamorphoses de l’horreur

La Maison du Mal (ou Cobweb en version originale) est un film d’horreur américain réalisé par le cinéaste français Samuel Bodin, qui signe ici son premier long-métrage. On connaît le réalisateur pour son travail sur la série fantastique française Marianne, que nous apprécions à sa juste valeur, étant une histoire d’horreur originale se déroulant dans la campagne de l’ouest français. Pour son premier film, il s’entoure d’une production américaine et de deux acteurs renommés, Anthony Starr et Lizzy Caplan, dans

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REVIOWZ IN SHADOWZ

[REVIOWZ] The Evil Within – Dans les tourments

The Evil Within d’Andrew Getty est une expérience qui défie les conventions et s’aventure dans les recoins les plus sombres de l’expression artistique. Fruit de quinze années d’efforts acharnés, ce film incarne une obsession dévorante qui a emporté Getty jusqu’à sa mort prématurée. The Evil Within peut être qualifié d’étrangeté, mais il est impossible de nier le génie excentrique qui imprègne chaque plan. Cette plongée dans les abysses de l’esprit humain, empreinte d’horreur et de fascination morbide, mérite d’être explorée

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[REVIOWZ] The House on Sorority Row – Oh mamy met des bleues

LE SLASHER. Genre au combien exaltant lorsqu’il est parfaitement exécuté. Des adolescents insupportables, un personnage survivant auquel on s’attachera, et des meurtres! Des meurtres bien dégueulasses et qui viennent salir la pellicule! Ce genre nous aura tout donné: Tueur d’outre tombe avec Vendredi 13 (1980), tueur des rêves avec Les Griffes de la Nuit (1984), tueur adolescent dans Scream (1996), poupée tueuse avec Jeu d’enfant (1988)… Tueurs de partout et de tout le temps, tueurs increvables même après quatre balles

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C'est fini, snif