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Résultats de la recherche pour : blumhouse

AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Night Swim – pisse In Blumhouse

Un petit bateau électrique se délecte d’une agréable navigation au sein d’une ravissante piscine. Pendant ce temps, une jeune enfant, allongée dans son lit, prête à succomber au sommeil, perçoit le regrettable silence de l’embarcation miniature. Surprise, troublée, elle se décide à vérifier la source du dysfonctionnement et à le réanimer. Il est légitime de s’interroger en premier lieu : quel intérêt cela revêt-il ? Peut-être a-t-il simplement épuisé ses piles ? Et puis, franchement, est-ce réellement crucial ? C’est

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ACTUALITÉ CINÉMA - EN SALLES, (S)VOD, etc..

[CRITIQUE] L’I.A. du mal – Error 404

L’I.A. du mal tente de s’inscrire dans la longue tradition des œuvres où l’intelligence artificielle, créée pour nous faciliter la vie, se retourne contre ses créateurs. À l’image de HAL dans 2001 : l’Odyssée de l’espace, ce long-métrage de Chris Weitz, produit par Blumhouse, essaie de capturer nos angoisses face à la technologie. Pourtant, il finit par illustrer une autre peur : celle d’un cinéma d’horreur contemporain vidé de sa substance, habillé de thèmes modernes mais sans réelle profondeur. L’histoire

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[CRITIQUE] Imaginary – Mieux vaut l’imaginer

Imaginary s’inscrit résolument dans la lignée caractéristique de Blumhouse, imprégné de cette identité de bout en bout. Parfois, l’empreinte de Jason Blum donne naissance à des expériences horrifiques inventives, mais bien souvent, ses productions à faible coût et éphémères se retrouvent six pieds sous terre avec une cohorte de tueurs, de créatures étranges, de fantômes et de démons. Celui-ci ne déroge pas à la règle, revêtant tous les attributs distinctifs attendus : un casting d’illustres inconnus, un scénario semblant lacunaire,

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Five Nights at Freddy’s – Pas une nuit de plus

Par le passé, le nom “Five Nights at Freddy’s” évoquait terreur et tension dans l’univers du jeu vidéo. Malheureusement, sous la direction d’Emma Tammi, cette appellation a subi une métamorphose regrettable pour devenir une calamité. Ce qui était jadis un jeu d’horreur indépendant, célébré pour son approche épurée de l’effroi, s’est transmué en une tentative décevante d’exprimer ces frissons à l’écran. Les défauts du film sont multiples, allant de son inexplicable focalisation sur des intrigues secondaires superflues à sa représentation

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C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Christine – Dans l’Antre de Carpenter

En l’an de grâce 1983, Stephen King avait déjà conquis le statut d’auteur fantastique le plus éminemment vendu sur le sol américain. Les frénésies nées de ses créations avaient profondément enraciné leur emprise dans le paysage cinématographique américain. Les adaptations de son œuvre s’enchaînaient sans relâche, tissant une toile d’influence à travers l’industrie. Il convient de rappeler les métrages tels que Carrie au bal du diable (1976) de Brian de Palma, The Shining (1980), suivi de Creepshow (1982), où les

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[CRITIQUE] L’Exorciste : Dévotion – La Longue Nuit de l’Exorsieste

400 millions de dollars. C’est la somme qu’a payé Universal Pictures pour les droits d’adaptation au cinéma d’une nouvelle trilogie L’Exorciste, censée s’inscrire dans l’héritage du chef-d’œuvre de William Friedkin, qui fête les 50 ans de sa sortie cette année. À la mise en scène on retrouve David Gordon Green, accompagné au scénario de Danny McBride, un duo bien connu de la maison Blumhouse puisqu’ils ont signé les 3 derniers films de la franchise Halloween, qui s’inscrivent aussi dans l’héritage

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L'ÉTRANGE FESTIVAL 2023

[CRITIQUE] American Carnage & Moon Garden (L’Etrange Festival 2023 – Jour 5)

Vous ne rêvez pas : en ce cinquième jour de festival, je vais vous parler pour la deuxième fois de sorties à venir, après le jour d’ouverture. Aujourd’hui, deux films américains plutôt opposés. Le premier bien bourrin et actuel, le deuxième, pas moins calme, mais puisant plutôt dans le conte. AMERICAN CARNAGE Depuis le début du festival, j’ai été assez aimable. Il faut dire que je me suis réfugié dans les vieux films en évitant les sorties qui soit ne

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L'ÉDITO DE JEAN-AIGRI

Un film d’horreur ? Même pas peur ! (Oui, c’est normal)

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les films d’horreur ne vous font plus peur ? Pourquoi, peu importe ce que vous regardez dans le cinéma d’horreur populaire, vous ressentez un profond ennui ? Cette constatation amène à se questionner sur la répétitivité des films d’horreur au cinéma, tant au niveau de leur narration que de leur mise en scène. Cette répétition des schémas narratifs et visuels contribue à l’essoufflement du genre, privant ainsi les spectateurs de l’expérience terrifiante et immersive qu’ils

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LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Run Sweetheart Run – Le jeu du chat et la souris

Cherie (Ella Balinska, Charlie’s Angels), mère célibataire timide et travailleuse, fait abstraction de ses hésitations et décide de se remettre à fréquenter des hommes après y avoir été incitée par ses collègues. Elle est ravie lorsque son patron lui propose un rendez-vous avec Ethan (Pilou Asbæk, Game of Thrones), qui se révèle au départ aussi charmant et magnétique que sa photo. Ethan ne peut cependant pas cacher sa vraie nature très longtemps, et lorsque les choses prennent rapidement une tournure

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Face à l’inhumain – Quand les zombies attaquent Le Bus magique

Face à l’inhumain est le dernier film d’horreur à petit budget du prolifique Jason Blum et Blumhouse, et à première vue, il n’a rien de particulièrement innovant. Après tout, il n’y a pas grand-chose à faire avec les films de zombies lorsque ce sous-genre existe depuis des années et que presque tout a été déjà été expérimenté. Sous la houlette du duo de réalisateurs Patrick Melton et Marcus Dunstan – responsables d’un grand nombre de suites de Saw – ce

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C'est fini, snif