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Étiquette : Song Kang-Ho

AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[RETOUR SUR..] Sympathy for Mr. Vengeance – En sourdine

Lorsqu’on s’initie au cinéma, l’accès aux œuvres de Park Chan-wook commence souvent par la découverte d’Old Boy, le chef-d’œuvre par excellence du cinéaste sud-coréen. Les cinéphiles se piquent alors de curiosité pour ses réalisations antérieures. Si l’on peut comparer Park aux Beatles, considérons Old Boy comme son “I Wanna Hold Your Hand“, tandis que bien avant cela, il a captivé son public avec le bijou discret qu’est Sympathy for Mr. Vengeance, peut-être son “Love Me Do” ? Ce film sombre

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C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Foul King – J’ai rencontré le catch

Kim Jee-Woon, le cinéaste sud-coréen éminent reconnu pour ses œuvres soigneusement élaborées et d’une intensité saisissante, nous présente une création inattendue en Foul King, une fusion surprenante de comédie et de drame immergée dans l’univers du catch. À travers le personnage de Dae-ho, incarné par Song Kang-ho, le film explore les thèmes de la crise de la quarantaine, de la quête identitaire et de la lutte contre l’oppression au sein du monde professionnel. Le récit s’inaugure en présentant Dae-ho, un

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Ça tourne à Séoul ! Cobweb – Tournage en feu

Sélectionné en hors compétition au dernier Festival de Cannes, Ça tourne à Séoul ! Cobweb voit le retour de Kim Jee-woon au film de genre, que l’on connait très friand d’expérimentations sur les différents genres cinématographiques. D’un récit portant sur un réalisateur à la réputation toute faite, gâchée par les échecs critiques répétitifs de ses films, le cinéaste fait son autoportrait, à la manière de Gondry dernièrement, avec beaucoup d’autodérision. Persuadé que son projet pourrait devenir un chef-d’œuvre, il devra faire

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DVD/BLU-RAY/4K

[DVD/BLU-RAY/4K] Les Rascals de Jimmy Laporal-Tresor & Parasite de Bong Joon Ho (The Jokers Films)

LES RASCALS, Jimmy Laporal-Tresor Bien que Les Rascals présente des limites prévisibles dans sa construction narrative et cinématographique, il reste un film important pour son engagement politique et son traitement cru des événements souvent oubliés. Le film parvient à recréer avec soin l’esthétique des années 80, à travers des décors, des costumes, des dialogues et une musique qui permettent une immersion réaliste. Cependant, il se retient parfois en utilisant des gros plans pour éviter les anachronismes, ce qui peut sembler

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FESTIVAL DE CANNES (2023)

[RECAP’] Perfect Days, Cobweb & The Old Oak (Cannes 2023 – Jour 10)

Avant-dernière journée à Cannes avec les projections de Perfect Days, de Wim Wenders (en compétition), Dans la Toile, de Kim Jee-woon (Hors-Compétition), et The Old Oak de Ken Loach (en compétition). Perfect Days, Wim Wenders Six ans après son précédent film, Wim Wenders revient avec une fiction au Japon, et Kōji Yakusho au casting, qui incarne un agent d’entretien de toilettes publiques à Tokyo. On suit son quotidien, que le cinéaste filme avec une grande tendresse, montrant son application à

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C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] The Host – Bong Joon-Ho vs America

The Host a plus de nuances qu’un Godzilla vs Kong. Multiples facettes à la fois en termes de genre, mais aussi de commentaire social. C’est un film de monstres dans le genre de l’horreur, un film d’action à haute intensité, un drame familial et parfois une comédie pure et simple. C’est aussi une vision des relations américano-coréennes, des préoccupations environnementales, du contrôle administratif maladroit et inefficace du gouvernement, et de l’hystérie publique qui en résulte. Après Memories of Murder, qui

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Les Bonnes Étoiles – Un bon film classique de Kore-eda

Sans doute l’un des films les plus attendus du dernier festival de Cannes, Les Bonnes Étoiles est une exploration touchante, quoique parfois un peu légère, de la maternité, de la famille et des sacrifices qui les accompagnent. Convaincus de “sauver” des enfants du destin sans avenir des orphelinats, Sang-hyeon (Song Kang-ho, Parasite) et Dong-soo (Gang Dong-won, Peninsula) se sont lancés dans un petit trafic clandestin en arrachant des enfants de la boîte à bébés de l’orphelinat local pour les vendre

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Défense d’atterrir – Sortez le parachute !

Défense d’atterrir est un film laborieux, naviguant entre les genres comme beaucoup de productions coréennes, sans jamais confirmer la grandeur de son ambition. Song Kang-ho y interprète un ancien chef de police, prévenu d’un attentat terroriste sur le point de se dérouler dans un avion où un ancien pilote devenu aviophobe (Lee Byung-hun) accompagne sa fille malade. Les deux hommes essayeront de stopper la catastrophe.  Le réalisateur Han Jae-rim aurait eu intérêt à écrire davantage ses personnages, ne restant malheureusement

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