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Étiquette : Sam Mendes

FILMS

[ANALYSE] James Bond – Attendre pour mourir ?

Plusieurs années se sont écoulées depuis la fin du dernier long-métrage de la saga 007, Mourir peut attendre, et nous pouvons donc enfin parler de sa conclusion. James Bond, protagoniste des vingt-cinq films de la saga, meurt lors du dernier acte en se sacrifiant. Au-delà de l’effet dramatique de tuer son personnage principal, cette idée est surtout la fin logique, et attendue, d’un cycle qui a tant tourné autour d’un même thème : la mort. Les cinq longs-métrages où l’espion est

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Empire of Light – Amour, vie et cinéma

Ces deux dernières années, les gens ont été enfermés en raison de la pandémie de Covid-19 et des autres événements de propagation qui ont frappé le monde. Lorsque les confinements ont commencé, les gens sont restés bloqués chez eux, sans pouvoir se rendre dans les endroits qui ont de la valeur dans la vie, comme les salles de concert, les restaurants, et pour beaucoup, dont moi, le cinéma. Le cinéma est l’un des seuls endroits qui nous reste où nous

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TOPS

[TOP] Le James Bond de Daniel Craig, la fin peut attendre

Créé par l’éminent auteur Ian Fleming dans les années 50, James Bond est une figure ancrée dans notre culture depuis plus d’un demi-siècle. L’apparition de Dr. No, porté à l’écran avec panache par Sean Connery (qui s’est également distingué dans le film À la poursuite d’Octobre rouge), marque l’avènement sur le grand écran de cet agent des services secrets britanniques en 1962. Depuis lors, plusieurs acteurs se sont succédé dans ce rôle emblématique, certains y apportant une gravité excessive, d’autres

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ANALYSE

[ANALYSE] 1917 – Une nouvelle manière de filmer le temps, le lieu.

Comme beaucoup de gens, je monopolise mon canapé depuis quelques mois et aller au cinéma me manque cruellement. Ça me manque de m’asseoir dans un cinéma sombre, de laisser le monde extérieur derrière pendant quelques heures et de me perdre dans la présence écrasante d’un film sur le grand écran. L’une de mes dernières grandes expériences de cinéma me donne l’impression que c’était il y a très longtemps, en janvier quand j’ai vu 1917. En regardant cela, j’ai spontanément conçu

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